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Le film réussit (...) à garder tout son intérêt grâce à un scénario qui laisse le suspense entier jusqu'à la fin. Même s'il n'est pas inoubliable, VISIONNAIRES se laisse... visionner.
(...) on est tenté de prendre pour un canular ce qui nous est donné comme un mystère de la foi et le moteur de l'action. Le chemin de croix de ces illuminés prend alors des allures de folklore.
Que dire (...) des lumières latérales verdâtres qui enlaidissent les visages et alourdissent la photo ? Les hésitations désuètes du réalisateur trahissent ce qui lui fait cruellemnt défaut: un manque de vision.
Le spectateur, lui, reste sans voix devant tant d'efforts vains. L'ennui envahit très rapidement même un esprit indulgent. L'histoire n'a pas d'intérêt et les personnages sont sans relief.
Aragon se contente d'illustrer gentiment l'histoire vraie de ces illuminés involontaires, en effleurant chaque sphère brassée pas son sujet (politique, mystique, romanesque...) sans vraiment en traiter aucune.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
Le film réussit (...) à garder tout son intérêt grâce à un scénario qui laisse le suspense entier jusqu'à la fin. Même s'il n'est pas inoubliable, VISIONNAIRES se laisse... visionner.
Aden
(...) on est tenté de prendre pour un canular ce qui nous est donné comme un mystère de la foi et le moteur de l'action. Le chemin de croix de ces illuminés prend alors des allures de folklore.
TéléCinéObs
Une reconstitution historique sans grande légèreté qui parvient toutefois à maintenir l'intérêt du spectateur jusqu'au bout.
Télérama
D'un romanesque subversif, d'une beauté sombre et morbide, il est traversé de crépuscules fantasmagoriques et de lunes baroques.
Cahiers du Cinéma
Que dire (...) des lumières latérales verdâtres qui enlaidissent les visages et alourdissent la photo ? Les hésitations désuètes du réalisateur trahissent ce qui lui fait cruellemnt défaut: un manque de vision.
Cine Libre
Le spectateur, lui, reste sans voix devant tant d'efforts vains. L'ennui envahit très rapidement même un esprit indulgent. L'histoire n'a pas d'intérêt et les personnages sont sans relief.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Aragon se contente d'illustrer gentiment l'histoire vraie de ces illuminés involontaires, en effleurant chaque sphère brassée pas son sujet (politique, mystique, romanesque...) sans vraiment en traiter aucune.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com