Deuxième long-métrage de Steven Spielberg(le premier véritablement conçu pour le cinéma), "Sugarland Express"(1974) est un road-movie énergie,voulant faire passer un message,comme en vit beaucoup dans les années 70. Mais en hésitant tout du long entre la virée tragique et la comédie burlesque,Spielberg perd un peu son fil conducteur,et se retranche derrière sa mise en scène,forcément parsemées de multiples idées. Un couple en cavale,voulant retrouver leur fils placé en famille d'accueil,sont suivis par une horde de policiers et même par les médias. Le délire grossissant et ubuesque de ce fait-divers est forcé de se conclure radicalement,mais entre-temps,Spielberg prend le temps de développer des personnages attachants,bien que paumés. Goldie Hawn passe du rire aux larmes en une seconde sur la banquette arrière de la voiture de police détournée. On a de belles images de l'Amérique rurale,celle qui intéresse depuis toujours Spielberg,de même que ses thématiques de l'enfance brisée et lde l'abandon. Les scènes de poursuite sont parfaitement coordonnées. Le film manque de liant,et ne fait pas le poids face aux autres road-movies désespérés de cette période. A découvrir tout de même.
On connait tous Steven Spielberg et il coule de source que ce mec fait partie des illustres cinéastes contemporains. Seulement voilà, même les meilleurs ne sont pas à l'abri d'un semi échec. Spielberg ne déroge donc pas à la règle, et signe donc avec « Sugarland express » un film loin d'être honteux, mais dont on peut se dispenser facilement. Une histoire de cavale. Celle d'un jeune couple. Un homme, une femme, désireux de récupérer leur petite fille. Voilà, c'est tout. Mais bon, on s'en fout un peu quand même de l'originalité du scénario, si c'est pas trop bidon et si c'est bien traité, ça peut le faire. Or, on a l'impression que Spielberg ne sait pas trop quoi faire de ce qu'il a entre les mains. Qu'il ne sait pas trop quelle forme lui donner. Donc, on se retrouve avec un objet fortement inégal. Parfois enthousiasmant (à l'image des scènes d'action), parfois assez barbant. Et bien que le duo Hawn/Walker soit sympathique, il ne semble jamais en mesure de tirer l'ensemble vers le haut.
Direction Sugarland, Texas pour ce couple en cavale bien décidé à tout tenter pour récupérer leur enfant, même si cela comprend un trajet dans une voiture de police volée avec otage et tous les flics de l’état à leurs trousses. De flamboyants losers faisant penser aux personnages des films des frères Cohen. C’est la seconde fois (après "Duel") que Steven Spielberg fait prendre la route à ses personnages principaux, pas étonnant qu’il ait pas la suite enchaîné avec l’océan et l’espace. Il est toujours intéressant de découvrir les premiers pas des grands noms du cinéma et après un premier long-métrage brillement mis en scène, force est de constaté que sur "Sugarland Express" Steven Spielberg ne fait pas une aussi forte impression. Sans néanmoins démériter il est vrai qu’au moment du montage il n’arrive pas à maintenir un certain rythme qui aurait permis à son film de fonctionner de bout en bout. En effet on expérimente un réel ventre mou à l’approche de la première demi-heure où des péripéties, souvent poussives, s’enchainent sans véritable saveur. C’est lors de son final plein d’humanité que l’on retrouve la patte Spielberg qui rend ses films si uniques. Sans briller, le metteur en scène de "Le Liste de Schindler" confirme son talent en attendant le projet qui le propulsera aux firmaments.
Une réalisation inégale de spielberg qui semble hésiter sur la direction à prendre. Par moments on a l'impression que le film va décoller et puis non, ça plafonne dans le comique comme dans le tragique.
Le premier long métrage du grand Spielberg : rien à dire, on sent déjà le potentiel dans la précision des plans et le rythme mais c'est légèrement long et répétitif. Dans cette histoire, on suit un couple un peu simplet, encore un peu jeunes dans leurs têtes prêts à tout pour récupérer leur gosse, sans trop se rendre compte des conséquences de leurs actes. Goldie Hawn est très jolie mais un peu énervante au final. Certains détails sont assez inexplicables (spoiler: pourquoi autant de voitures ? pourquoi le capitaine tire dans les pneus du camion TV, ce qui entraine un accident ? ). Au fil du film, on se lasse un peu. Ce film nous laissera donc un peu indifférent et restera seulement comme un des premiers galons d'essai d'un futur maitre du cinéma, malgré quelques critiques de la société américaine.
Il fait partie de ce catalogue de films cultes qui n'ont de culte que le nom. J'attendais énormément du premier road movie de monsieur Spielberg encore petit jeunot. Et déjà là, je retrouve tout ce je n'aime pas dans son cinéma. Une cavale qui tourne au vinaigre, c'est du beaucoup vu. Mais en faire des caisses à ce point, ça... L'excuse du premier film à peine audible, tant tout est exagéré dans cette poursuite. Je n'y crois pas et ris à peine. Un Easy Rider sans alcool.
C’est un Spielberg faiblard ce film (oui, ça existe). On est très loin des chefs-d’œuvre que sont « Les dents de la mer », « Rencontres du 3ème type », « La liste de Schindler », « Il faut sauver le soldat Ryan »… Là, le réalisateur signe une petite série B sans entrain, une prise d’otage interminable. J’ai été incapable de m’intéresser vraiment à ce couple de neuneus genre « Bonnie and Clyde » du pauvre. Les voitures de police US, gyrophares allumés, envahissent l’écran en permanence mais ne font que meubler. J’ai également trouvé l’humour sous-jacent plutôt malvenu. Spielberg ne pousse pas assez loin l'aspect comique du film et néglige le côté dramatique. Le résultat ne satisfait donc personne. Mauvais film ? Non, pas vraiment. Insignifiant ? Oui, sans aucun doute.
Retour en 1974 avec un des tout premier film de Steven Spielberg , un film qui lorsqu'on le regarde on reconnait facilement la patte du maitre qu'il deviendra. Les scenes sont intéressantes et bien foutus pour l'époque avec l’ambiance musicale de l'harmonica les acteurs sont plutôt attachant certes il y a de nombreux défauts comme un manque de crédibilité et d 'actions réalistes mais comme c'est de 1974 on vas lui pardonner a Spilberg..car il débute ici.. Une femme qui veux revoir son fils et qui est prête a faire évadé son amoureux alors qu'il n'a que 4 mois seulement de prison a terminer et bien sa commence fort..... Une blonde assez capricieuse et qui nous donne de belles prestations.. Une cavale s'en suis entre eux et les autorités mais ce couple est prêt a braver les kilomètres pour retrouver leur petit garçon a Sugarland.. La file de voiture est assez impressionnante et quand Spielberg veux commencer sa carrière il ne plaisante pas... Un bon film pour l'époque et sachant que c'est le Maestrom Spielberg derrière l'écran on prends plaisir a voir ces aventuriers fous de la route..
Après son fabuleux téléfilm « Duel », le jeune Steven Spielberg se voit ouvrir les portes du cinéma pour un premier essai assez décevant. Celui qui est maintenant surnommé « the entertainment king » a lui-même admis que « Sugarland express » était le seul film de sa carrière qu’il referait totalement différemment et je le comprends. La mise en scène est loin d’être aussi dynamique et inspirée que celle de « Duel » qui était bien plus inventif. Cette course poursuite manque beaucoup d’intensité, le suspense est absent et la bande originale assez timide de John Williams ne donne pas d’avantage de relief à une œuvre sans grande saveur. Le long-métrage s’épuise à mi-parcours en peinant à se réinventer, la faute à une intrigue assez creuse qui manque à mon sens de densité, à l’image des personnages auxquels je ne suis pas parvenu à m’attacher. Cela est sans doute du à un manque d’épaisseur dans l’écriture ou, dans le cas de Lou Jean, à son interprète que tout le monde semble acclamer mais que j’ai trouvé pour ma part absolument insupportable. Même si j’ai principalement parlé des défauts du film, « Sugarland express » est bien sûr loin d’être un nanar imbuvable. Il y a des scènes qui fonctionnent bien, certains plans-séquences sont réussis, il y a quelques bonnes idées dans l’évolution de la relation entre les membres du trio infernal et la critique des médias ainsi que de l’opinion publique dans ce genre d’affaire est pertinente. On est donc loin de la catastrophe mais également à mon sens loin du bon film, un Spielberg que l’on oublie facilement face aux nombreux chefs-d’œuvre qui peuplent sa filmographie.
Un film montrant que la stupidité peu emmené loin dans la bêtise. L'histoire tourne un peu en rond et au bout d'un quart d'heure, on se lasse de cette course poursuite qui est sans queue ni tête.
Un temps soit peu décu par ce road-movie, peut être trop bien calibré à mon goût. Il n'empêche que Sugarland Express laisse parler le véritable talent de Steven Spielberg, qui fut nettement plus connu en signant un an plus tard Les dents de la mer.
Premier long métrage de l'immense Steven Spielberg pour le cinéma après le succès de "Duel". Un road movie qui ne parvient pas à trouver son rythme et qui baisse en intensité au fil du film après des premières minutes assez rythmées. Le film parait au final assez long dans son ensemble avec un scénario simple (et un prix du meilleur scénario au festival de Cannes 1974 bizarrement décerné). Spi elberg parvient pourtant à éviter la catastrophes avec une happy end qui aurait été moisie. Les personnages sont, malgré tout, bien travaillés entre les trois personnages principaux et l'amitié à la fin du film est bien retranscrite. Les acteurs sont bons malgré des doublages français effroyables et la voix de Goldie Hawn absolument insupportable.
JE NE LE RECOMMANDE PAS ! Que ce soit bien clair !^^
Wowowow ! Non mais c'est quoi ça? X) Ce film est UUUUUUUUUUUUUULTRRA-LONG !!! Et en plus y a vraiment rien de bien dedans (à part la manière de filmer qui fera que Spielberg est bon !) C'est vraiment dur à supporter comme film et c'est digne d'un na-nard ça !
Résumé : Un folle dingue et un soumis partent en voyage pour récupérer un gosse et tout ce que les flics trouvent à faire, c'est suivre sans rien faire ? C'est vraiment pas crédible et ça le rend même pas drôle (pourtant c'est ce que la promo du film disait :/) Un remake de Bonnie et Clyde? T'as vu ça où?
C'est quoi ça? Les bisounours? X) Pour moi, le film "Le convoi" est bien bien meilleur (bien que sorti 4 ans après :/
C'est limite dégradant pour la condition féminine parce que la fille est juste une grosse timbrée qui, soit menace son soumis-d'ex-taulard-de-truc-qui-ressemble-à-un-mec de le plaquer, soit hurle comme une dégénérée spoiler: parce que je comprends pas pourquoi on me tire dessus alors que j'ai pris un film en otage ! Enfin c'est pas mieux pour le mec vu que son rôle se limite à dire "la ferme" (et encore ça c'est quand il a un coup de testostérone !) et pointer un flingue ou alors à gémir comme un gros bébé...
En tout cas, désolée si je froisse certaines personnes qui l'ont aimé mais je comprends pourquoi ça a fait un bide aux USA! Mais bon on excuse Spielberg parce que ça reste l'un de ses premiers films et que les autres le rattrapent plus que bien... Mais bon quand même, ça fait un choc :P
C’est le 1er long métrage de Steven Spielberg. On est très loin des chefs-d’œuvre que sont « Les dents de la mer », « Rencontre du 3ème type », « La liste de Schindler », « Il faut sauver le soldat Ryan »… Là, le réalisateur signe un film qui ressemble à une série B, sans entrain avec pour ligne conductrice une prise d’otage interminable. J’ai été incapable de m’intéresser vraiment à ce couple de neuneus genre « Bonnie and Clyde » du pauvre. Les voitures de police US, gyrophares allumés, envahissent l’écran en permanence mais grand intérêt. Spielberg aurait dû trancher entre une version comique ou une version dramatique. Le résultat ne satisfait donc personne. Mauvais film ? Non, pas vraiment. Insignifiant ? Oui, sans aucun doute.