C’est le 1er long métrage de Steven Spielberg. On est très loin des chefs-d’œuvre que sont « Les dents de la mer », « Rencontre du 3ème type », « La liste de Schindler », « Il faut sauver le soldat Ryan »… Là, le réalisateur signe un film qui ressemble à une série B, sans entrain avec pour ligne conductrice une prise d’otage interminable. J’ai été incapable de m’intéresser vraiment à ce couple de neuneus genre « Bonnie and Clyde » du pauvre. Les voitures de police US, gyrophares allumés, envahissent l’écran en permanence mais grand intérêt. Spielberg aurait dû trancher entre une version comique ou une version dramatique. Le résultat ne satisfait donc personne. Mauvais film ? Non, pas vraiment. Insignifiant ? Oui, sans aucun doute.
plutôt moyen comme film de Steven Spielberg comme quoi il n'a pas réaliser que des chef d'oeuvre. ce film a quel que passage bien mais c'est tous . normalement dans ce genre de film on a de la sympathie pour les personnage principaux mais la ce n'est pas le cas on a pas envie de les soutenir . histoire plutot moyenne voir mauvaise . sa me fait mal de critiquer un film du maître Spielberg mais je suis obliger la malheureusement
Premier long-métrage de cinéma "officiel" réalisé par Steven Spielberg, après le surprenant *Duel*, ce film s'avère très intéressant dans sa manière de déconstruire un couple de criminels à la *Bonnie and Clyde* mais de montrer pourquoi et comment ils en sont arrivés à une telle situation. De fait, j'ai trouvé le développement scénaristique particulièrement original, notamment dans la façon dont le trio de personnages principaux est traité. Ils s'avèrent particulièrement réalistes et permettent au spectateur de s'attacher assez facilement à eux.
La réalisation et la mise en scène du jeune Steven Spielberg sont déjà bien maîtrisées et même si le film peut souffrir de quelques baisses de rythme, le cinéaste arrive à maintenir l'intérêt en construisant une relation solide entre les personnages mais également le spectateur.
Il ne s'agit pas de son meilleur film mais il constitue une entrée en matière assez intéressante et se révèle similaire aux débuts d'un autre cinéaste majeur de sa génération : Martin Scorsese, avec son *Bertha Boxcar* (que j'ai légèrement préféré).
Quoi qu'il arrive, je conseille ce film car il s'agit d'un bon road movie et s'inscrit dans la logique de la carrière de Steven Spielberg.
On connait tous Steven Spielberg et il coule de source que ce mec fait partie des illustres cinéastes contemporains. Seulement voilà, même les meilleurs ne sont pas à l'abri d'un semi échec. Spielberg ne déroge donc pas à la règle, et signe donc avec « Sugarland express » un film loin d'être honteux, mais dont on peut se dispenser facilement. Une histoire de cavale. Celle d'un jeune couple. Un homme, une femme, désireux de récupérer leur petite fille. Voilà, c'est tout. Mais bon, on s'en fout un peu quand même de l'originalité du scénario, si c'est pas trop bidon et si c'est bien traité, ça peut le faire. Or, on a l'impression que Spielberg ne sait pas trop quoi faire de ce qu'il a entre les mains. Qu'il ne sait pas trop quelle forme lui donner. Donc, on se retrouve avec un objet fortement inégal. Parfois enthousiasmant (à l'image des scènes d'action), parfois assez barbant. Et bien que le duo Hawn/Walker soit sympathique, il ne semble jamais en mesure de tirer l'ensemble vers le haut.
Premier film de Steven Spielberg à sortir en salle (Duel étant initialement un téléfilm), Sugarland Express a déjà certaines qualités du grand réalisateur qu'il va devenir. Si peut reprocher quelques scories de réalisation et de montage pour certaines scènes (la scène de fusillade chez le loueur de voiture est très brouillone), Steven Spielberg se montre plutôt à l'aise derrière la caméra et propose un road movie rythmé aux personnages attachants. Ce film est aussi la première collaboration entre le réalisateur et John Williams à la musique qui signe une très bonne partition, collaboration qui perdurera pendant de longues années. Sugarland Express, s'il n'a pas l'aura d'autres des films de son auteur, est un film sympathique qui préfigure le talent en devenir de son réalisateur.
Le premier long métrage du grand Spielberg : rien à dire, on sent déjà le potentiel dans la précision des plans et le rythme mais c'est légèrement long et répétitif. Dans cette histoire, on suit un couple un peu simplet, encore un peu jeunes dans leurs têtes prêts à tout pour récupérer leur gosse, sans trop se rendre compte des conséquences de leurs actes. Goldie Hawn est très jolie mais un peu énervante au final. Certains détails sont assez inexplicables (spoiler: pourquoi autant de voitures ? pourquoi le capitaine tire dans les pneus du camion TV, ce qui entraine un accident ? ). Au fil du film, on se lasse un peu. Ce film nous laissera donc un peu indifférent et restera seulement comme un des premiers galons d'essai d'un futur maitre du cinéma, malgré quelques critiques de la société américaine.
L'histoire est simple mais efficace.de très beau plans notamment sur la quantité de véhicules à l'écran, les beaux paysages, et l'immersion dans l'Amérique des années 70.je mets 3 uniquement parce que l'œuvre se regarde plus difficilement aujourd'hui , le rythme est un peu lent parfois.mais un bon Classic avec de belles scènes de courses poursuites!
Voilà un Spielberg assez méconnu mais qui vaut assurément le détour et le coup d'oeil. Ce n'est certes pas Duel mais ça se passe (encore) sur la route tandis que l'ambiance fait penser au Convoi de Peckinpah, avec une ambiance quelque peu drolatique par son ironie sur la force des forces de l'ordre, leurs bagnoles, leurs flingues... et leurs chapeaux !
Evidemment, ça se passe au Texas, état où non seulement les flics sont nerveux mais au sein duquel se trimballent des bouseux avec leurs fusils, des bouseux qui n'aiment certes pas les communistes mais leurs armes à la folie, plus dangereux que tous les flics réunis.
Bon évidemment, le film s'éternise un peu trop dans cette longue ballade routière et si la mise en scène de Spielberg s'avère efficace, elle n'est pas aussi percutante et inventive que dans son si fameux Duel ; en outre la Goldie Hawn est assez pénible à supporter, cela du début à la fin, ce qui finit par nous fatiguer.
Nonobstant ces petits impairs, Sugarland n'en reste pas moins l'un des meilleurs films du si surestimé réalisateur.
Un road movie intense mené de main de maitre par Steven Spielberg qui réalise ici une mise en scène très aboutie. Le rythme est bien soutenu avec comme toujours, le souci du détail. Le scénario, est lui aussi admirable : il nous offre humour, émotion, mais aussi pas mal d'action et de cascades. Le suspense est continu et l'intérêt croissant. Pour couronner le tout, ce film bénéficie également d'une bonne affiche : Goldie Hawn est assurément adorable dans le rôle de Lou, tout comme Michael Sacks, parfait dans le rôle de l'officier de police Slide. Le pitch : Lou Jean pousse son mari Clovis Poplin à aller reprendre leur fils qui se trouve à Sugarland dans une famille d'accueil. Clovis étant un fugitif, la route à travers le Texas va être longue et périlleuse.
Premier long-métrage de Steven Spielberg – si l'on considère que l'excellent Duel, tourné trois ans auparavant, a été réalisé pour la télévision – Sugarland express bénéficie d'une mise en scène absolument géniale et d'une atmosphère étrangement truculente qui préfigure assez peu la filmographie future du cinéaste américain, bien plus sérieuse ou plus familiale. Tirée d'une histoire vraie, cette histoire tragi-comique du kidnapping improvisé d'un agent de police par un couple de petits délinquants est magnifiquement portée par deux acteurs éblouissants, Goldie Hawn et William Atherton. S'il souffre de quelques maladresses, notamment de séquences un peu moins percutantes, ce road movie se laisse suivre avec le plus grand des plaisirs.
Il faut oser le dire : ce film tourné par Spielberg est quand même un redoutable navet. Certes, il y a quelques plans bien tenus mais cela est loin de rattraper l'ensemble des maladresses qu'on note tout au long du film. Et puis, très vite, ce ballet de voitures lasse très vite les spectateurs.
Un couple au paroxysme de l'inconscience, de la naivettée et de la stupidité... mais au fond attachant d'autant plus de part la motivation qui les poussent dans cette course poursuite.. bien réalisé
Il fait partie de ce catalogue de films cultes qui n'ont de culte que le nom. J'attendais énormément du premier road movie de monsieur Spielberg encore petit jeunot. Et déjà là, je retrouve tout ce je n'aime pas dans son cinéma. Une cavale qui tourne au vinaigre, c'est du beaucoup vu. Mais en faire des caisses à ce point, ça... L'excuse du premier film à peine audible, tant tout est exagéré dans cette poursuite. Je n'y crois pas et ris à peine. Un Easy Rider sans alcool.