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Bouleversant, atypique, SUR LE BOUT DES DOIGTS vaut aussi pour son interprétation sans failles : Anne-Sophie Latour, petit génie pianiste à la ville, Marina Hands (...), tout bonnement incroyable, et enfin le piano, personnage à part entière, à la fois attachant et monstrueux.
Sur le thème délicat des rivalités entre mères et filles, Yves Angelo (...) pose un regard pudique, subtil et étouffant. Bien que forçant sur les très gros plans, sa mise en scène reste brillante, respectueuse d'une musique envoûtante et magnifique. Les deux comédiennes (...) parviennent aussi à ajuster leur partition pour donner toute sa force à cette histoire d'amour hors norme.
Le reste du film s'applique à expliquer, en de lourds flashbacks, l'attachement fusionnel et pathologique de la mère pour sa fille - née prématurée à cause d'un accident de (livraison de) piano ! Reste une belle confrontation de comédiennes, dont la jeune Anne-Sophie Latour, pianiste émérite mais actrice débutante, se tire avec panache.
Dominé par deux actrices excellentes, Marina Hands et Anne Sophie Latour, le film d'Yves Angelo ne parvient qu'imparfaitement à harmoniser leur talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette histoire sans grande originalité vaut principalement par la découverte d'Anne-Sophie Latour, vraie prodige du piano et comédienne débutante à la présence indiscutable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Yves Angelo, chef opérateur de formation, qui tient ici la caméra, ne convainc guère dans sa volonté de décrire la violence des conflits ou de mettre en scène les ambivalences des liens de filiation, mais il parvient à créer, par ses manques mêmes, une tension pas inintéressante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est une sonate émouvante, admirablement interprétée par la comédienne Marina Hands et la jeune pianiste Anne-Sophie Latour.
MCinéma.com
Bouleversant, atypique, SUR LE BOUT DES DOIGTS vaut aussi pour son interprétation sans failles : Anne-Sophie Latour, petit génie pianiste à la ville, Marina Hands (...), tout bonnement incroyable, et enfin le piano, personnage à part entière, à la fois attachant et monstrueux.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Rarement le cinéma n'avait donné à entendre Schumann et Schubert avec autant de pudeur visuelle.
Zurban
Sur le thème délicat des rivalités entre mères et filles, Yves Angelo (...) pose un regard pudique, subtil et étouffant. Bien que forçant sur les très gros plans, sa mise en scène reste brillante, respectueuse d'une musique envoûtante et magnifique. Les deux comédiennes (...) parviennent aussi à ajuster leur partition pour donner toute sa force à cette histoire d'amour hors norme.
Aden
Le reste du film s'applique à expliquer, en de lourds flashbacks, l'attachement fusionnel et pathologique de la mère pour sa fille - née prématurée à cause d'un accident de (livraison de) piano ! Reste une belle confrontation de comédiennes, dont la jeune Anne-Sophie Latour, pianiste émérite mais actrice débutante, se tire avec panache.
Le Monde
Dominé par deux actrices excellentes, Marina Hands et Anne Sophie Latour, le film d'Yves Angelo ne parvient qu'imparfaitement à harmoniser leur talent.
Le Parisien
Cette histoire sans grande originalité vaut principalement par la découverte d'Anne-Sophie Latour, vraie prodige du piano et comédienne débutante à la présence indiscutable.
Libération
Yves Angelo, chef opérateur de formation, qui tient ici la caméra, ne convainc guère dans sa volonté de décrire la violence des conflits ou de mettre en scène les ambivalences des liens de filiation, mais il parvient à créer, par ses manques mêmes, une tension pas inintéressante.
TéléCinéObs
Le propos n'a rien de nouveau, mais le charme des comédiennes opère.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Un opus vaguement Bergmanien, référence beaucoup trop grande pour un film sans parti pris fort de mise en scène.
Première
La persistance d'Angelo à filmer a nuque et le regard perdu de Marina Hands plombe hélas son discours sur la maternité et la transmission.