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    Fear and Desire
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    2,5
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    56 critiques spectateurs

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    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    291 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 novembre 2014
    Beaucoup d'émotion à voir le premier film du maître Kubrick, mais malheureusement une déception à l'arrivée. "Fear and desire" est un conte sur la guerre et son absurdité, et dans le fond c'est pas mal. C'est plus la forme, qui a quand même mal vieilli, qui pêche un peu. On a quand même droit à de bons moments, et Kubrick n'a pas son pareil pour transmettre l'émotion de ses personnages, à travers des gros plans sur leurs visages. De même, quelques dialogues sont assez forts. Pour le reste, pas grand chose à signaler, l'ensemble reste très vague, on ne sait pas le but des personnages dans cette guerre.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2014
    Se prétendre cinéphile sans connaître les Kubrick est un non-sens. Je n'aime pas les non-sens, et je m'estime cinéphile. Pour éviter une faille spatio-temporelle potentiellement dévastatrice, je suis donc contraint de mettre les petits plats dans les grands et de découvrir, puisque jusque là je n'avais vu que Full Metal Jacket, en intégralité la contribution au septième art d'un de ses plus illustres représentants. On commence avec Fear and Desire (1953), essai renié, que dis-je, répudié par le maître, qui voyait probablement dans ses raccords lourdauds, ses plans parfois tâtonnants et sa philosophie un poil pompeuse une insulte à sa volonté de perfectionnisme. Pourtant, à 25 ans et avec un budget de quelques dizaines de milliers de biftons seulement, le moins qu'on puisse dire est qu'on aurait pu s'attendre à pire. Kubrick s'empare d'abord d'un thème qui l'inspirera à nouveau pour Paths of Glory et Full Metal Jacket ; la guerre et l'évolution d'un groupe de soldats. Son postulat de base est intelligent, permettant de se concentrer sur ses personnages sans allonger en durée le long-métrage ni même s'empêtrer dans des trames parasites. D'autant qu'il universalise le propos. Là où cette impersonnalité me gêne un peu, c'est quand elle débouche sur quelques réflexions maladroites et un peu ampoulées, amenées par une voix-off très Malickienne par moments. Photographe de métier, Kubrick m'a déjà enthousiasmé par sa maîtrise de l'éclairage, variant subtilement, et maintenant d'ailleurs une luminosité assez forte dans les phases nocturnes, donnant une impression de découvert. Certains plans témoignent d'un vrai sens du cadre, le problème étant ici que ces moments de grâce contrastent vraiment avec certaines séquences où, on le sent, Kubrick ne s'est pas tout à fait rôdé. Si on peut lui reprocher d'être un peu trop ambitieux, voire prétentieux, vis à vis des moyens à sa disposition, il est me semble t-il plus naturel d'apprécier Fear and Desire comme le brouillon d'un artiste qui, si brillant qu'il soit, n'aurait certes, pas pu réussir du premier coup. A mettre au musée, et non à la poubelle, sort qui aurait, dixit la légende, failli échoir à Fear and Desire après que Stanley Kubrick se soit mis en tête de détruire le négatif. Le filicide a fort heureusement été déjoué, et voilà qui permet, le temps de 62 minutes, d'assister à l'oeuvre fondatrice d'une des filmographies les plus impressionnantes du XXème siècle.
    JeffPage
    JeffPage

    39 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Le premier film de Kubrick s'offre enfin à nous avec cette version restaurée magnifique. Cela est l'occasion de remonter au source du cinéma de ce génie, qui trouve ici un début... disons... étrange. En effet, le film, datant de 1952, aborde le sujet de la guerre avec une vision bizarre : la guerre n'est jamais montré, seul quelque soldats apparaissent. Néanmoins, le scénario nous parle des conséquences de la guerre et de ce qu'elle pousse l'homme à faire. On retrouve aussi déjà le thème de la dualité de l'homme cher à Kubrick. Seulement, le film est vraiment "spécial", notamment dû à l'époque de sa sortie, où celui-ci n'a pas reçu l’accueil qu'il mérite, poussant Kubrick à le renier et à détruire les copies existantes. Malgré out, ce film est aujourd'hui un témoignage des débuts d'un des plus grands génie du 7ème art, et il faut bien reconnaître que c'était prometteur.
    romano31
    romano31

    278 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 avril 2011
    Fear and Desire est le premier film de Stanley Kubrick et autant dire que le résultat est médiocre voir pas terrible du tout. On comprend mieux pourquoi Kubrick a essayé de le faire disparaître. Cependant, il ne faut pas oublier que Kubrick a tourné ce film avec trés peu de moyens et qu'en 1953 il était encore inexpérimenté. On en voudra pas à Kubrick vu tous les chefs-d'oeuvre qu'il a, par la suite, tourné. Ce film reste, cependant, à voir pour tous les fans du Maître.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 novembre 2009
    Film amateur qui peut laisser de l'espoir au débutant, l'atmosphère est tout de même très particulière pour son époque.
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2016
    Premier film de Kubrick et premier scénario sur la guerre et la lâcheté, le courage, la folie, les monstres qu'elle engendre.... c'est beau et long à la fois, c'est décousu et parfois tendu, c'est du Kubrick.....la question est, si c'était pas la première oeuvre du maître, y aurait-il un intérêt ?......bon, il y a beaucoup plus mauvais que ça mais c'est pas terrible quand même....
    Truman.
    Truman.

    228 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 novembre 2013
    Pour son premier long métrage Kubrick aborde des thèmes comme la guerre, le désire, la peur et la folie, mais en dehors de ces thèmes qui nous rappel que l'on est bien dans un film de Kubrick le reste ne fait pas ressortir son talent et ce n'est pas pour rien que lui même a renié ce film .

    Montage simpliste, acteurs qui jouent vraiment mal ou qui sont mal dirigés je ne sais pas trop mais c'est surtout vite ennuyeux, en 1h l'ennui s'installe dès les dix premières minutes .

    Mérite bien un visionnage pour son statut emblématique du premier film de Kubrick mais ne vaut vraiment pas plus .
    Chuck Carrey
    Chuck Carrey

    311 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 janvier 2015
    Voici le premier film de Stanley Kubrick et le premier d'une longue liste de films surestimés de la part du cinéaste américain. En fait, « Fear and Desire » annonçait déjà la couleur pour ce qui allait venir. Pour sa première œuvre, Stanley Kubrick réalise un film de guerre. Ou du moins un film qui se déroule en temps de guerre, on y suit 4 soldats qui se retrouvent en territoire ennemi suite au crash de leur avion. Sans grande surprise, ils vont tenter de retourner dans leur camp. Bien sûr, il ne sert à rien de s'attendre à un film avec de l'action ou beaucoup de combat, c'est un film à très petit budget qui n'en avait absolument pas les moyens. On peut lui pardonner cela mais le problème est que ce manque de moyen se fait terriblement ressentir durant tout le film. C'est un long-métrage d'un peu plus d'une heure où il ne se passe finalement pas grand chose. Une grande partie du récit se concentre seulement sur ce que pensent les personnages. C'est en réalité un film très psychologique mais surtout très ennuyeux. L'exemple le plus flagrant est l'un des 4 soldats qui va littéralement perdre les pédales au cours du film sans que l'on sache vraiment trop comment ni pourquoi. Il existe de nombreux films psychologiques qui traitent en profondeur des pensées des personnages mais tous ne sont pas synonyme d'ennui. Pour son premier coup d'essai, c'est un ratage de la part du réalisateur de « Shinning ». A cause du faible budget à disposition, Kubrick s'est centré sur les pensées des personnages, sans grande réussite.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2012
    La curiosité et l’effervescence de découvrir l’un des premiers jalons signé par un maître du cinéma mondial laissent bien vite place à une certaine gêne et surtout à l’ennui. A l’issue de la projection de ce « Fear and Desire », on comprend les raisons qui ont poussé Stanley Kubrick à tenter de maintenir à tout prix invisible cette œuvre de jeunesse. Si le sens du cadrage pour la forme et la dénonciation de la violence chez l’homme pour le fond sont déjà présents et tangibles, pour le reste on demeure sur sa faim et stupéfait face à ce qui ressemble davantage à un film d’amateur amélioré plutôt qu’à un film abouti justifiant une exploitation commerciale en salle. Hormis Frank Silvera, la prestation des autres interprètes du film est vraiment médiocre et ne sauve rien cette entreprise filmique brouillonne qui aurait dû demeurer dans l’ombre.
    Matis H.
    Matis H.

    21 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 août 2016
    Fan du réalisateur, j'étais pourtant réticent à l'idée de voir Fear and Desire. Pour la simple et bonne raison que Kubrick avait renié le film, et cherché à le détruire par la même occasion. Mais après l'excellente surprise que fût L'ultime Razzia, je me suis finalement décidé à voir ce métrage, banni par son auteur. Le cinéaste livre donc un film de guerre, sur un groupe de soldat perdu derrière les lignes ennemies. Et, même si le film n'est pas exempt de qualités, c'est vraiment laborieux.

    Ce qui saute toutefois aux yeux, c'était que, avant de devenir cinéaste, Kubrick était photographe et cela se ressent. Le film est est plastiquement très réussi, la photographie est superbe et les cadrages sont d'une grande beauté.

    En revanche, le reste du métrage souffre de l'amateurisme du futur, grand, cinéaste. Sa mise en scène tout d'abord est assez chaotique, elle semble s'évertuer à montrer tout les angles d'une même situation, sans pour autant avoir de cohérence dans son déplacement dans l'espace, c'est parfois intéressant mais le plus souvent indigeste.

    Il faut dire que tout cela n'est pas aidé par un montage très hasardeux. De nombreux plans sont réutilisés à outrance, cela fini par perdre le spectateur dans le déroulé de certaines scènes, comme celle de l'attaque dans la cabane.

    En terme narratif, le film souffre de beaucoup de défauts mais possède aussi quelques qualités. Le fait de rendre ce conflit universel en ne donnant aucune indications et en précisant dès le départ que "Cette situation n'existe pas" est à double tranchant. Car autant le manque d'indications permet de rendre l'oeuvre intemporelle et ainsi faciliter l'identification aux personnages, autant assumer le côté fictif du récit dès le départ par une voix-off détruit la dramaturgie.

    De plus, le métrage ne propose pas d'approche particulièrement novatrice du film de guerre, les thèmes sont éculés au possible (aliénation du soldat) et traités de manière très peu subtil, surtout pour le même auteur que "Les sentiers de la gloire". Rajoutez à cela des monologues internes tous plus fumeux les uns que les autres, et le tout se révèle peu convaincant.

    Au final Fear and Desire est une oeuvre bancal, brouillon des futurs travaux de Krubick. Le film est très hasardeux et souffre d'un vrai manque d'originalité et de maitrise. Reste toutefois quelques qualités formels, mais trop peu pour rattraper les maux du métrage.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 décembre 2013
    Qui sont ces soldats ? Dans quelle guerre sont-ils engagés ? Peu importe. La voix off pose d'emblée le cadre du film : un espace mental, une abstraction, pour toucher ce qu'il y a d'universel dans la guerre, à savoir la peur, le doute, la folie, la mort. Tout cela teinté d'une forte absurdité. On reconnaît dans ce premier long-métrage de Stanley Kubrick des thèmes phares de son oeuvre à venir, qu'il développera (en mieux) dans Les Sentiers de la gloire, Docteur Folamour ou encore Full Metal Jacket.
    Kubrick avait 24 ans quand il a travaillé sur ce film. Il était photographe pour Look depuis sept ans, venait de réaliser deux courts-métrages (Day of the Flight, 1950 ; Flying Padre, 1951) et voulait résolument orienter sa carrière vers le cinéma. C'est grâce à l'argent de son oncle et de son père qu'il a pu financer ce long-métrage très court. Homme-orchestre, il en assuré la production, la réalisation, la photographie, le son et le montage. Il a laissé l'écriture du scénario à un ancien copain de lycée, Howard Sackler (futur prix Pulitzer), mais l'a regretté par la suite, jugeant au final les textes en voix off et les dialogues bien prétentieux. Disons que la dimension métaphorique et abstraite de l'histoire ne manque pas d'ambition, mais que son traitement est inégal, parfois pertinent, parfois fumeux. L'idée de faire interpréter par les mêmes acteurs des personnages des deux camps est excellente. En revanche, la scène entre la femme ligotée et le gamin soldat gêne par sa maladresse. Globalement, le film vaut surtout pour sa photographie, superbe. Les angles, les cadres et la lumière témoignent déjà d'une certaine virtuosité. Le montage aussi, même un peu trop.
    Kubrick faisait ainsi ses premières armes, imparfaitement, c'est normal. Mais quand on sait à quel point le cinéaste était obsédé par la perfection, on comprend qu'il ait renié ce film dont il détestait "l'amateurisme" (bon, tout est relatif...). Il a fait son possible, dans la suite de sa carrière, pour le rendre invisible en retirant les copies des circuits de diffusion. Cependant, il y a toujours une copie qui demeure cachée ici ou là... Voilà qui nous permet aujourd'hui, contre la volonté du "maître", de visionner avec une grande curiosité cet essai de jeunesse, pas transcendant, certes, mais déjà plein de promesses.
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2014
    (...) 61 minutes pour tout dire : telle semble être la pression imposée à Kubrick (probablement par lui-même) pour ce galop d’essai qu’il reniera plus tard. Film ambitieux, maladroit et hétérogène, Fear & Desire n’est pas raté, n’est pas bouleversant non plus. Tout au plus peut-on, du haut de notre position dominante que l’histoire nous accorde, y voir quelques promesses de l’œuvre à venir.
    Dense et saturée d’intentions, sa fable sur une guerre universelle et atemporelle où un groupe restreint d’individus joue la comédie humaine offre des débuts un peu laborieux. Jeu théâtral, expérimentations formelles un peu vaines (voix off superposées, gros plans des visages en cut, discours pseudo philosophiques et didactisme moral) déréalisent probablement volontairement le propos mais au détriment d’une immersion dans le récit (...)
    Thibault F.
    Thibault F.

    52 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Moi qui pensait que le vénérable Stanley Kubrick allait réussir hauts les mains un film sur un conflit fictif avec de faibles moyens; il faut bien le concéder que je me suis radicalement trompé. Pourtant, on serait prêt à le pardonner notamment car il nous a régaler par la suite mais aussi, car ce fut son premier long métrage et donc, dans la folie de la jeunesse, n'a pas véritablement approfondi son sujet et questionner les personnages suffisamment sur leurs conditions et situations. Certainement un film beaucoup trop ambitieux à l'époque pour le génie du 7ème art, ce film n'est pas pour autant dénudé de tout intérêt. La photographie reste fort sympathique mais si le chemin est encore long pour arriver aux prouesses de 2001 ou encore Full Metal puis l'évolution des personnages restent fortes intéressantes. Néanmoins, le tout manque clairement d'ambition et de volonté, les acteurs étant insipides (les dialogues pompeux n'aidant pas) et l'ennui s'installant relativement vite au point de voir les 1h10 comme une oeuvre d'une durée de 2h30. Etant fan de Kubrick, l'oeuvre devait être vu, pour ceux qui ne le connaisse point, passer votre chemin au risque d'être terriblement déçu.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2013
    Chez les Kubrickolâtres - dont je suis - "Fear and Desire" avait une réputation de chef d’œuvre caché. L'a remarquable exposition de la Cinémathèque l'an passé lui consacrait d'ailleurs trois vitrines intéressantes. Pour financer son premier long-métrage, Stanley Kubrick, à peine âgé de 24 ans, sollicita ses parents et son oncle. Ce premier film, disait-on, annonçait déjà "Les Chemins de la Gloire" et "Full Metal jacket". Pourtant le maître l'avait renié ordonnant - comme Kafka à Max Brod - qu'on en détruisit toutes les copies.
    Le film, inédit en France, sort sur les écrans. On comprend mieux en le voyant, la détestation que lui portait son auteur. S'il comporte quelques fulgurances (le soldat tombant dans la folie avant d'assassiner la jeune fille) et s'il révèle les qualités de cadreur de Kubrick, cet ersatz d'Apocalypse Now qui dure 1 heure à peine est embarrassé de références shakespeariennes prétentieuses et lesté d'une voix off métaphysique qui pèse des tonnes.
    Sinon la satisfaction d'avoir complété la filmographie de Kubrick, on voit mal quel intérêt on pourrait trouver à le voir.
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    205 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2010
    il est assez difficile de noter ce film, il faut tout de même tenir compte qu'il s'agit d'un film a la fois amateur et expérimental, et n'ayant connu qu'une légère distribution (Kubrick voulait juste se forger une expérience, il ne voulais pas que ce film devienne célèbre, il a même tenté de le faire disparaitre plus tard), et par sa rareté,donc, il est difficile, pardon, impossible de trouver un moyen de voir ce film dans une qualité respectable tant pour l'image que pour le son. ainsi on regarde un flm avec un son et une image de très basse qualité, et des acteurs pas tellement bon, puisqu'ils ne sont pas de vrais acteurs, juste des amis de Stanley Kubrick, alors on a du mal a aimer, mais en même temps du mal a ne pas aimer, enfin merde quoi il s'agit du travail du plus grand réalisateur de tout les temps !!! reconnaissont que notre réalisateur bien-aimé étant a l'époque photographe nous offre d'intéressantes prises de vues, et privilégie, ce qui est rare dans le cinéma amateur et comme il l'as fait dans ses trois précédents court-métrages documentaires, la musique, le film est très bien accompagné musicalement ce qui lui donne quelques air de grands films de guerre, alors malgré la qualité moindre de ce film, reconnaissont le talent de Stanley Kubrick qui offre pour son premier long-métrage, et sans expérience ni formation, un film qui ressemble tout de même a un film.
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