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Dudley Moore fait sa crise de la quarantaine, et tombe amoureux d'un 10/10, la sublime Bo Derek croisée dans la rue.
Un peu brouillon mais simple, beau et better than life, le film fait passer un bon moment. Fin un peu moralisatrice.
La scène de la mémé qui sert le café et celle du dentiste sont hilarantes.
Un peu brouillon mais simple, beau et better than life, le film fait passer un bon moment. Fin un peu moralisatrice.
La scène de la mémé qui sert le café et celle du dentiste sont hilarantes.
Je ne l'ai pas trouvé drôle du tout, même la scène de sortie du dentiste, bonne trouvaille mal exploitée. L'attirance d'un quadragénaire pour une jeune femme
spoiler:
que finalement.... Non, elle n'est pas parfaite alors il retourne chez sa première maîtresse
. Un film sur l'infidélité liée à la crise de la quarantaine ? Le scénario n'était pas génial, le casting offrait peu de promesse malgré Julie Andrews et Bo Derek. Le film a mal vieilli et le vin s'est changé en vinaigre. Pas intéressant, aujourd'hui.
. Un film sur l'infidélité liée à la crise de la quarantaine ? Le scénario n'était pas génial, le casting offrait peu de promesse malgré Julie Andrews et Bo Derek. Le film a mal vieilli et le vin s'est changé en vinaigre. Pas intéressant, aujourd'hui.
Jolie comédie fantasmatique, George, compositeur réputé, croise Bo Derek alors même que son mari l'emmène à son mariage. Le voici illico amoureux, et poursuivi par une succession de déveines, choc frontal avec une voiture de police, soins dentaires douloureux,malentendus aggravés avec sa compagne. Il se retrouve dans un hôtel mexicain, à guetter la belle en voyage de noces, puis dans la chambre de celle-ci en posture très favorable après avoir sauvé le mari de la noyade. Mais le démon de la quarantaine, ici ange moral implacable le fait renoncer.
Dieu que les années 80 étaient belles, libres et drôles, les seins de Bo Derek plantés dans vos yeux, entre un joint et un verre d'alcool fort. Obsédées aussi, avec ses messieurs qui observent mutuellement leurs ébats au télescope..
Vous n'écouterez plus jamais le boléro de Ravel de la même manière...
Dieu que les années 80 étaient belles, libres et drôles, les seins de Bo Derek plantés dans vos yeux, entre un joint et un verre d'alcool fort. Obsédées aussi, avec ses messieurs qui observent mutuellement leurs ébats au télescope..
Vous n'écouterez plus jamais le boléro de Ravel de la même manière...
Un petit bijou, vu à sa sortie en salles, revu récemment. Un film à voir pour comprendre ce que "sex appeal" signifie... Bo Derek est La Femme, Dudley Moore trouve son meilleur rôle au cinéma. Un des très grands Blake Edwards.
Bien que les gags soient généralement drôles et bien trouvés, "Elle" souffre d'une histoire barbante qui le hantera de la première à la dernière scène présente sur la bobine. Entre crise de la quarantaine, rêves Msexuels et remise en questions l'ennuie ne vous épargnera pas malgré la brillante prestation de Dudley Moore. Totalement fou, ce-dernier nous permet de passer quelques bons moments humoristiques qui sauveront le long-métrage du carnage. A ses côtés on retrouve une une Julie Andrews bien loin de "Marry Poppins" qui enfile un costume de femme banale qui ne retiendra que peu l'attention du spectateur. Formant un duo peu efficace, les deux acteurs s'éloignent peu à peu l'un de l'autre afin d'obtenir un résultat plus percutant mais loin de l'efficacité que l'aurait souhaitée.
Un grand film de Blake Edwards qui allie burlesque et nostalgie de la jeunesse. Avec l'envoûtante Bo Derek et ses mémorables tresses.
La fibre comique de Blake Edwards bat son plein dans "Ten" où le regrettè Dudley Moore campe un auteur de chansons quadragènaire atteint du dèmon du midi! Le cinèaste conte une fable cocasse sur le dèsir incarnè par Bo Derek, une crèature de rêve dècouverte dans "Love You" par un certain John Derek! Bo mèrite incontestablement la note de 10 (d'où le titre anglais) que lui dècerne Edwards! La scène de la plage où elle court au ralenti face à l'amour transi Dudley Moore est devenue culte, pour ne pas dire mythique! Un 10 sur 10 pour cette splendide beautè où le cinèaste de "Breakfast at Tiffany's" s'est intèressè ici à la comèdie de genre romantique qui lui a permis de renouer avec une partie (laissèe pour compte) de son oeuvre, sans pour autant renoncer à son goût de la dèrision et du slapstick...
Un film à voir et à revoir qui recèle de scènes hilarantes (le dentiste et le Boléro !). Certes, Blake Edwards n'atteint pas les sommets de "The Party" ou de "Diamants sur canapé", mais ce "Elle" n'en demeure pas moins un vrai régal. Malgré la faiblesse des trente premières minutes, le film gagne rapidement les sommets grâce à l'interprétation géniale de Dudley Moore, à la mise en scène nerveuse de Blake Edwards et à son sens aigu de la comédie. Un vrai moment de bonheur.
Pour la scène de la vieille gouvernante et de son plateau à thé que je me passe en boucle ( la scène, pas le plateau) quand j'ai le blouze; pour la fragilité de femme délaissée de Julie Andrews et la beauté extraterrestre de Bo Derek,parce que c'est un instantané de la Californie de la fin des 70's. Et pour le Boléro aussi, bien sûr.
Les 4 étoiles ne sont pas forcément pour la qualité du film, bien que très drôle, mais pour le souvenir que cela me procure lorsque mon père le regardait en boucle sur une vieille VHS abîmée. Une histoire cocasse et somme toute hilarante pour un quarantenaire faisant sa crise. Des scènes d'anthologie et une Bo Derek sublime suffisent à passer un grand moment d'humour.
bsalvert
Film lent et dont la musique n'aide pas le rythme. Très mal vieilli et sans intérêt.
Comédie de Blake Edwards incontournable, drôle du début à la fin, "Elle" est un de ses meilleurs films. Un film où l'on rit des malheurs amoureux d'un homme malchanceux, un film où l'on oublie son sérieux et où l'on ose rire sans retenue. Les Farrelly n'ont rien inventé, Edwards fut le premier dans le genre de la comédie romantique moderne. Acteurs excellents, un bon moment de détente mais aussi de cinéma !
Une comédie bien lourdingue et menée par un acteur qui en fait des tonnes.
Un Blake Edwards un peu mou, aux gags parfois un peu lourd et le film en apparence tout du moins fait parfois preuve de peu de subtilité. Ce qui n'est pas le cas pour les personnages car Julie Andrews et Dudley Moore livrent d'excellentes interprétations. Une petite invraisemblance tout de même : Comment un homme peut-il préférer ne serait-ce qu'une micro-seconde Bo Derek à Julie Andrews ?
Avec tout l'humour et la subtilité qui font sa marque, Blake Edwards nous livre sa vision de la crise de la quarantaine... soit George, compositeur célèbre mais qui ne se sent plus tout à fait dans le coup, se lancant dans une fuite éperdue derrière une belle inconnue parti en voyage de noces au Mexique. Au dela de situations toutes plus drôles les unes que les autres (le point d'orgue en étant la scène hilarante du Bolero), il y a des personnages humains et attachants qui nous disent que - heureusement !-nobody's perfect.
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