Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Garrel filme ces éléments inconciliables dans une sorte de désespoir rentré, un noir et blanc à la tristesse intemporelle. De même les corps, postures, intonations de voix donnent à ce noir et blanc son évanescence sans âge autant qu'ils l'inscrivent dans une historicité.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Sauvage Innocence est le récit d'un tournage en marche qui est aussi une déroute. Une façon de parler de l'amour, de l'usure des corps et du courage à vivre (et à travailler, à filmer) quand on a tout perdu.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Sans doute plus scénarisé, moins "à vif" que J'entends plus la guitare (...), Sauvage innocence recèle de vrais instants de grâce, où il tend vers un âge pur et encore irréfléchi du cinéma, une "innocence" à jamais perdue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Mélanie Lemaire
La lumière dans laquelle baigne le film est hallucinante, très contrastée. Et le choix du noir et blanc accentue l'ambiance énigmatique dans laquelle baigne le récit. Bref, un très beau film, techniquement parlant. Trop beau peut-être ?
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
Qu'on pardonne ces retours en arrière sur des films et des entretiens anciens : c'est que, plus que jamais peut-être dans Sauvage innocence, sont à l'oeuvre ces questions de pudeur et de morale qui travaillent toute l'oeuvre de Garrel (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Sauvage innocence, vingt-deuxième film de Philippe Garrel, est un film hanté. Sa beauté qui s'impose d'emblée et l'émotion qui peu à peu en émane tiennent même à une saturation de revenants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) Sauvage innocence est un beau film fluide, au lyrisme contenu, et dont la progression dramatique ne paraît ni forcée ni désinvolte, comme si Garrel avait trouvé le juste point d'équilibre entre son intégrité d'expérimentateur et l'affirmation de plus en plus précise de se désirs de narrateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury, Olivier Seguret
Découpé dans un scope en noir et blanc d'une douloureuse splendeur (...), Sauvage innocence regarde vers le passé mais reste pourtant un vrai Garrel des années 2000, celles où le cinéaste, dans une sorte d'impatience, a entrepris d'écrire sa propre mythologie (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Le début, portrait du jeune-cinéaste-idéaliste-qui-n'arrive-pas-à-faire-son-film, fait peur. On ne sait pas quelle est la part d'ironie et de narcissisme. Mais le film décolle vite (...). SAUVAGE INNOCENCE devient alors une comédie absurde très drôle, puis un objet étrange et mouvant.
Première
par Olivier De Bruyn
Sublimement photographié en noir et blanc par Raoul Coutard, Sauvage Innocence enregistre à fleur de peau le naufrage d'un couple désaccordé avec le monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Philippe Garrel tourne Sauvage innocence et son metteur en scène aussi. Au final, c'est une superbe mise en abîme sur le cinéma sur fond de tragédie classique que nous livre le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Claire Vassé
(...) dès les premiers plans, on sait que ce film est un grand Garrel, fluide, émouvant et drôle. Le noir et blanc de Raoul Coutard, la présence de Mehdi Belhaj Kacem et de Michel Subor finissent de nous séduire.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Le Figaroscope
par La rédaction
Le talent qu'on connaît à Philippe Garrel, rien de moins, mais rien de plus.
Télérama
par François Gorin
(...) un souffle inédit, grisant, d'ampleur romanesque ; et encore l'insistance romantique, un peu idiote et magnifique. Après tout, qui sait, les films de Garrel, à force d'être anachroniques, finiront par tomber dans le temps juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
Garrel filme ces éléments inconciliables dans une sorte de désespoir rentré, un noir et blanc à la tristesse intemporelle. De même les corps, postures, intonations de voix donnent à ce noir et blanc son évanescence sans âge autant qu'ils l'inscrivent dans une historicité.
Aden
Sauvage Innocence est le récit d'un tournage en marche qui est aussi une déroute. Une façon de parler de l'amour, de l'usure des corps et du courage à vivre (et à travailler, à filmer) quand on a tout perdu.
Chronic'art.com
Sans doute plus scénarisé, moins "à vif" que J'entends plus la guitare (...), Sauvage innocence recèle de vrais instants de grâce, où il tend vers un âge pur et encore irréfléchi du cinéma, une "innocence" à jamais perdue.
Cine Libre
La lumière dans laquelle baigne le film est hallucinante, très contrastée. Et le choix du noir et blanc accentue l'ambiance énigmatique dans laquelle baigne le récit. Bref, un très beau film, techniquement parlant. Trop beau peut-être ?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Qu'on pardonne ces retours en arrière sur des films et des entretiens anciens : c'est que, plus que jamais peut-être dans Sauvage innocence, sont à l'oeuvre ces questions de pudeur et de morale qui travaillent toute l'oeuvre de Garrel (...).
Le Monde
Sauvage innocence, vingt-deuxième film de Philippe Garrel, est un film hanté. Sa beauté qui s'impose d'emblée et l'émotion qui peu à peu en émane tiennent même à une saturation de revenants.
Les Inrockuptibles
(...) Sauvage innocence est un beau film fluide, au lyrisme contenu, et dont la progression dramatique ne paraît ni forcée ni désinvolte, comme si Garrel avait trouvé le juste point d'équilibre entre son intégrité d'expérimentateur et l'affirmation de plus en plus précise de se désirs de narrateur.
Libération
Découpé dans un scope en noir et blanc d'une douloureuse splendeur (...), Sauvage innocence regarde vers le passé mais reste pourtant un vrai Garrel des années 2000, celles où le cinéaste, dans une sorte d'impatience, a entrepris d'écrire sa propre mythologie (...).
MCinéma.com
Le début, portrait du jeune-cinéaste-idéaliste-qui-n'arrive-pas-à-faire-son-film, fait peur. On ne sait pas quelle est la part d'ironie et de narcissisme. Mais le film décolle vite (...). SAUVAGE INNOCENCE devient alors une comédie absurde très drôle, puis un objet étrange et mouvant.
Première
Sublimement photographié en noir et blanc par Raoul Coutard, Sauvage Innocence enregistre à fleur de peau le naufrage d'un couple désaccordé avec le monde.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Philippe Garrel tourne Sauvage innocence et son metteur en scène aussi. Au final, c'est une superbe mise en abîme sur le cinéma sur fond de tragédie classique que nous livre le cinéaste.
Zurban
(...) dès les premiers plans, on sait que ce film est un grand Garrel, fluide, émouvant et drôle. Le noir et blanc de Raoul Coutard, la présence de Mehdi Belhaj Kacem et de Michel Subor finissent de nous séduire.
Le Figaroscope
Le talent qu'on connaît à Philippe Garrel, rien de moins, mais rien de plus.
Télérama
(...) un souffle inédit, grisant, d'ampleur romanesque ; et encore l'insistance romantique, un peu idiote et magnifique. Après tout, qui sait, les films de Garrel, à force d'être anachroniques, finiront par tomber dans le temps juste.