Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le bel édifice menace à tout moment de s'écrouler. Notamment sous les coups de la maladie - physique (dans Haut les coeurs !) ou mentale (comme ici) - que Sólveig Anspach filme non pas comme un " raté " de l'existence, mais comme une étape de l'aventure humaine.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
De manière implacablement paisible, au détour d'un plan, d'une séquence ou d'un regard, Solveig Anspach dénonce, comme dans Haut les Coeurs ! (1999), un système hospitalier où celui qui a besoin d'aide peut être broyé par l'organisme qui devait le sauver.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Solveig Anspach filme extrêmement bien les émotions rentrées, le feu sous la glace. Elle le prouve à nouveau avec Stormy Weather. (...) Derrière les douleurs physiques et psychiques des êtres, la réalisatrice met en lumière des visages et des corps avec beaucoup d'amour et d'attention, et jamais avec complaisance
Positif
par Matthieu Darras
Ce qui est important, c'est la justesse du trait. Rendre compte des états vaporeux que traversent ses personnages (...) telle est l'ambition de Solveig Anspach. Le spectateur, frappé àq on tour d'une sensation indéfinissable, comme étranger à lui-même, sera certes dérouté. Cela signifiera aussi que la tentative de la réalisatrice aura réussi.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Solveig Anspach, par la seule force de sa mise en scène, enregistre les cataclysmes intérieurs de ses héroïnes, les rapports de dépendance qui s'instaurent peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Stormy Weather évite le poncif du choc des cultures (...) et la psychologie explicative (pourquoi Cora est-elle fascinée par Loa ? La seule réponse est le visage d'Elodie Bouchez, filmé à toute heure et sous toutes les lumières).
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Sur les traces d'Ingmar Bergman, Solveig Anspach à qui l'on doit déjà le magnifique Haut les coeurs sait aussi montrer l'opacité des êtres, leur impossibilité de communiquer. Et l'Islande, pays dur et violent, fournit un superbe écrin à cette relation.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut s'interroger sans fin sur les responsabilités respectives des ingrédients dans cet échec alchimique, il n'empêche que Stormy Weather, récit d'une frustration, est un peu trop en phase avec son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Dans ce film modeste et dépouillé, qui fait de l'allusion une force, Sólveig Anspach (remarquée pour son premier long métrage, Haut les coeurs) ne donne aucune réponse. Elle fuit les facilités : le lyrisme du lieu un port de pêche battu par les vents , l'épanchement émotionnel, elle en use avec parcimonie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Le seul reproche que l'on pourrait faire à ce film est de vouloir parfois mettre des mots sur cet indéfinissable, de ne pas assez faire confiance à l'esprit des lieux. Car loin de réduire l'île à un décor, Solveig Anspach en fait le révélateur de la fragilité humaine.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une fiction franco-islandaise construite en dépit du bon sens sur la notoriété d'Elodie Bouchez.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
Le bel édifice menace à tout moment de s'écrouler. Notamment sous les coups de la maladie - physique (dans Haut les coeurs !) ou mentale (comme ici) - que Sólveig Anspach filme non pas comme un " raté " de l'existence, mais comme une étape de l'aventure humaine.
Fluctuat.net
De manière implacablement paisible, au détour d'un plan, d'une séquence ou d'un regard, Solveig Anspach dénonce, comme dans Haut les Coeurs ! (1999), un système hospitalier où celui qui a besoin d'aide peut être broyé par l'organisme qui devait le sauver.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Solveig Anspach filme extrêmement bien les émotions rentrées, le feu sous la glace. Elle le prouve à nouveau avec Stormy Weather. (...) Derrière les douleurs physiques et psychiques des êtres, la réalisatrice met en lumière des visages et des corps avec beaucoup d'amour et d'attention, et jamais avec complaisance
Positif
Ce qui est important, c'est la justesse du trait. Rendre compte des états vaporeux que traversent ses personnages (...) telle est l'ambition de Solveig Anspach. Le spectateur, frappé àq on tour d'une sensation indéfinissable, comme étranger à lui-même, sera certes dérouté. Cela signifiera aussi que la tentative de la réalisatrice aura réussi.
Première
Solveig Anspach, par la seule force de sa mise en scène, enregistre les cataclysmes intérieurs de ses héroïnes, les rapports de dépendance qui s'instaurent peu à peu.
Cahiers du Cinéma
Stormy Weather évite le poncif du choc des cultures (...) et la psychologie explicative (pourquoi Cora est-elle fascinée par Loa ? La seule réponse est le visage d'Elodie Bouchez, filmé à toute heure et sous toutes les lumières).
Le Figaroscope
Sur les traces d'Ingmar Bergman, Solveig Anspach à qui l'on doit déjà le magnifique Haut les coeurs sait aussi montrer l'opacité des êtres, leur impossibilité de communiquer. Et l'Islande, pays dur et violent, fournit un superbe écrin à cette relation.
Le Monde
On peut s'interroger sans fin sur les responsabilités respectives des ingrédients dans cet échec alchimique, il n'empêche que Stormy Weather, récit d'une frustration, est un peu trop en phase avec son sujet.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Dans ce film modeste et dépouillé, qui fait de l'allusion une force, Sólveig Anspach (remarquée pour son premier long métrage, Haut les coeurs) ne donne aucune réponse. Elle fuit les facilités : le lyrisme du lieu un port de pêche battu par les vents , l'épanchement émotionnel, elle en use avec parcimonie.
Zurban
Le seul reproche que l'on pourrait faire à ce film est de vouloir parfois mettre des mots sur cet indéfinissable, de ne pas assez faire confiance à l'esprit des lieux. Car loin de réduire l'île à un décor, Solveig Anspach en fait le révélateur de la fragilité humaine.
Les Inrockuptibles
Une fiction franco-islandaise construite en dépit du bon sens sur la notoriété d'Elodie Bouchez.