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weihnachtsmann
On a parfois l'impression d'être dans le désert des tartares mais avec une histoire de frères et de diamant que je ne trouve vraiment pas passionnant.
Les scènes dans le désert s'enchaînent sans être véritablement notables.
Il n'y a rien qui nous tient en haleine. Au fil du récit, l'intérêt s'émousse grandement
Les scènes dans le désert s'enchaînent sans être véritablement notables.
Il n'y a rien qui nous tient en haleine. Au fil du récit, l'intérêt s'émousse grandement
Le beau Gary Cooper en lègionnaire lègendaire! Le beau geste, jusqu'au bout mesdames, correspondant bien au personnage! C'est un classique de la Paramount et de très loin le meilleur film sur la lègion ètrangère! On croirait un Henry Hathaway ou un Cecil B. DeMille de la grande pèriode! Hollywood s'offre ici un cocktail d'aventures exotiques, avec le sens de l'honneur et le goût du sacrifice! Le style Wellman dans tout son souffle et avec sa fraternitè au service d'une formidable distribution! Que demandez de plus, c'est du cinèma comme on n'en fait malheureusement plus de nos jours! On a reprochè à ce film les poncifs lourdingues sur le sacrifice et l'hèroïsme français! Quelle absurditè! Revu aujourd'hui, "Beau Geste" (1939) renvoie à un autre classique aussi inoubliable tournè deux ans auparavant et intitulè prècisèment ,"The Lives of a Bengal Lancer" (1937), toujours avec le charismatique Gary Cooper...
Un tissu d'inepties incohérentes. D'abord l'argument, plus abracadabrant tu meurs, et quand on connait la clé en fin de film c'est encore pire, ensuite il faut se farcir cette insupportable et interminable niaiserie avec les mioches. Les invraisemblances en tout genre fusent comme s'il en pleuvait, on a droit à des poncifs bien lourds ("le lieutenant est une ordure, mais quel bon guerrier !") et il n'y a aucun enjeu. C'est sans doute bien joué, la réalisation est sans doute correcte mais tout cela est masqué par l'indigence sans borne du scénario.
Considéré par beaucoup de monde comme étant un des meilleurs films sur la Légion étrangère et je ne sais pas si c’est vraiment le cas, mais une chose est sûr c’est que "Beau Geste" est un des films les plus abouti de la part de William A. Wellman. Sa mise en scène est vraiment très belle et le réalisateur à la chance d’avoir un casting assez royale. On y retrouve en effet le grand Gary Cooper dans le rôle principal et il est parfaitement secondé par des comédiens comme Robert Preston et Ray Milland, alors que la belle mais malheureusement trop discrète Susan Hayward apporte une bonne touche de sensualité et de beauté. On notera quelques séquences assez marquantes comme par exemple celle de l’attaque du fort qui est un excellent moment de cinéma.
soniadidierkmurgia
Un film d'aventures coloniales dans la lignée des "Trois lanciers du Bengale" d'Hathaway ou de "Gunga Din" de George Stevens. Bien sûr les valeurs mise en avant par Wellmann sont aujourd’hui un peu dépassées quand on sait ce qu’il est advenu des empires coloniaux. Mais l’argument du film est sans doute davantage dans la relation qui unit les trois frères à leur bienfaitrice . Les valeurs de solidarité et de gratitude ne sont après tout peut-être pas si ringardes que ça et nos élites de tout ordre feraient peut-être bien de les diffuser à nouveau dans les esprits du plus grand nombre. Gary Cooper est tout à fait convaincant dans son rôle ainsi que Brian Donlevy en sergent dur au mal.
« Beau geste » très beau film sur la légion ses exigences, ses sacrifices finaux, sa fraternité et ses débordements internes fut interdit en France pendant la seconde guerre mondiale.
Cette sphère rigide et guerrière salie de l’intérieur par l’arrivisme et la convoitise d’un de ses composants hiérarchique hyper dément montre une architecture austère, complètement sclérosée par des procédures menant sadiquement en se servant du réglement comme paravent ses incorporés vers l’élimination finale.
Les premières minutes ainsi que les dernières sont saisissantes admirablement proportionnées. Le final est bouleversant. Ces ultimes images sont incontestablement parmi les plus pathétiques du septième art.
Une incroyable force se dégage de cet enfer Saharien. Sous un soleil de plomb les hommes sont rabaissés, bestialisés de véritables moutons conditionnés incapables de se révolter devant le sadisme d’un déjanté.
Positionnés entre un règlement strict en lutte avec les perceptions personnelles d’un sergent halluciné le légionnaire environné de sable, traqué par le Touareg n’a plus que le linceul du fortin comme épilogue.
« Beau geste » est absolument à voir rien que pour l’admirable complémentarité de ce merveilleux et émouvant triangle fraternel restant soudé devant les déferlantes incessantes d’un déséquilibré.
Gary Cooper, Ray Milland, Robert Preston et Brian Donlevy sont extraordinaires dans leurs scènes chaleureuses et démentielles respectives.
Une triade fraternelle accablée de chaleur aux liens indestructibles se renforce dans la douleur de l'isolement .
Cette sphère rigide et guerrière salie de l’intérieur par l’arrivisme et la convoitise d’un de ses composants hiérarchique hyper dément montre une architecture austère, complètement sclérosée par des procédures menant sadiquement en se servant du réglement comme paravent ses incorporés vers l’élimination finale.
Les premières minutes ainsi que les dernières sont saisissantes admirablement proportionnées. Le final est bouleversant. Ces ultimes images sont incontestablement parmi les plus pathétiques du septième art.
Une incroyable force se dégage de cet enfer Saharien. Sous un soleil de plomb les hommes sont rabaissés, bestialisés de véritables moutons conditionnés incapables de se révolter devant le sadisme d’un déjanté.
Positionnés entre un règlement strict en lutte avec les perceptions personnelles d’un sergent halluciné le légionnaire environné de sable, traqué par le Touareg n’a plus que le linceul du fortin comme épilogue.
« Beau geste » est absolument à voir rien que pour l’admirable complémentarité de ce merveilleux et émouvant triangle fraternel restant soudé devant les déferlantes incessantes d’un déséquilibré.
Gary Cooper, Ray Milland, Robert Preston et Brian Donlevy sont extraordinaires dans leurs scènes chaleureuses et démentielles respectives.
Une triade fraternelle accablée de chaleur aux liens indestructibles se renforce dans la douleur de l'isolement .
Beau Geste est un roman qui connut de nombreuses adaptations pour le Cinéma ou la Télévision.
Celle de William Wellman est la plus connue de toutes, et elle donne à Gary Cooper l'un de ses plus beaux rôles, l'un des plus admirables, épaulé par un Ray Milland particulièrement attachant.
Ils sont trois frères, Michael, John et Digby, et l'un d'entre eux a honteusement volé le splendide saphir de leur tante respectable. Mais l'amour qui les unit est, selon le proverbe arabe écrit en avant-propos du film, plus fort encore que celui qui peut lier un homme et une femme. Ils s'accusent mutuellement du vol, et finissent par rejoindre la légion étrangère. L'histoire n'est pas racontée aussi simplement, mais en trois périodes distinctes : le présent du film en introduction, un flash-back qui nous ramène à l'enfance de Michael (John) et ses frères, l'enrôlement dans la légion suite au vol.
Beau geste, comme de nombreux films de Wellman, transporte de belles valeurs d'héroïsme, de probité et de fraternité. Mais, il y a un point faible dans le traitement des personnages de fourbes et de marginaux : mis à l'écart, ce sont des têtes de turcs parce qu'insupportables et donc irrécupérables. Malgré ces personnages caricaturaux, Beau geste surtout un excellent film d'aventures, qui nous emmène avec la légion étrangère très loin dans les dunes maléfiques du désert arabe.
Celle de William Wellman est la plus connue de toutes, et elle donne à Gary Cooper l'un de ses plus beaux rôles, l'un des plus admirables, épaulé par un Ray Milland particulièrement attachant.
Ils sont trois frères, Michael, John et Digby, et l'un d'entre eux a honteusement volé le splendide saphir de leur tante respectable. Mais l'amour qui les unit est, selon le proverbe arabe écrit en avant-propos du film, plus fort encore que celui qui peut lier un homme et une femme. Ils s'accusent mutuellement du vol, et finissent par rejoindre la légion étrangère. L'histoire n'est pas racontée aussi simplement, mais en trois périodes distinctes : le présent du film en introduction, un flash-back qui nous ramène à l'enfance de Michael (John) et ses frères, l'enrôlement dans la légion suite au vol.
Beau geste, comme de nombreux films de Wellman, transporte de belles valeurs d'héroïsme, de probité et de fraternité. Mais, il y a un point faible dans le traitement des personnages de fourbes et de marginaux : mis à l'écart, ce sont des têtes de turcs parce qu'insupportables et donc irrécupérables. Malgré ces personnages caricaturaux, Beau geste surtout un excellent film d'aventures, qui nous emmène avec la légion étrangère très loin dans les dunes maléfiques du désert arabe.
Ce superbe film d'aventure à la particularité de présenter un des débuts les plus étranges du cinéma. On ne peut qu'avoir envie de suivre le reste du film pour une explication claire et logique à un début qui n'en a pas l'apparence. Une fois cette explication donnée, on ne peut que ce dire qu'elle coulait de source mais on est très heureux d'avoir suivit ce film d'aventure très prenant et superbement réalisé par un William A. Wellman en très grande forme. D'une excellente interprétation, on retiendra surtout celle de Ray Milland qui arrive l'exploit de voler la vedette à Coop et de Brian Donlevy totalement à l'aise dans la peau d'un sergent sadique. L'attaque du fort quand à elle est un très grand moment de cinéma. Une petite perle du genre.
Caine78
Un bon film d'aventures. Très représentatif de son époque, ce film se passat durant une guerre coloniale est très efficace, avec d'excellents scènes d'action et une mise en scène très soignée et même assez émouvante parfois. Il faut dire que ce film compte d'excellents acteurs, à l'image de Gary Cooper, Ray Milland, Robert Preston ou encore Susan Hayward. Un grand divertissement.
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