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    JSA (Joint Security Area)
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    143 critiques spectateurs

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    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2018
    Réalisé en 2000 en Corée, ce film de Park Chan-Wook (cf le récent « Mademoiselle »), entièrement tourné en studio, est enfin sorti sur les écrans français.

    « JSA », c’est la zone commune de sécurité à la frontière entre la Corée du Nord et la Corée du sud. De chaque côté les armées respectives veillent. Un pont sépare les deux postes.

    Ce jour de novembre, une fusillade éclate dans le poste frontière du Nord, laissant deux morts et un blessé nord coréens. Un suspect sud coréen présent sur les lieu est arrêté, l’arme du crime à la main.

    Afin d’établir la vérité (le pourquoi du drame) en toute neutralité, une enquêtrice suisse est mandatée. Elle interroge le suspect et le blessé nord coréen et poursuit des investigations.

    Ce film dur, sombre et violent est construit comme un thriller très précis avec un long flash back qui permet au spectateur de construire les faits la nuit de la fusillade. L’enquêtrice très perspicace et méthodique parvient petit à petit à mettre la lumière sur une réalité qu’on préférerait ne pas connaître.

    Les cinq acteurs principaux sont très crédibles et contribuent à la tension du film.

    Tant l’intrigue que la réalisation et le mise en scène brillantes valent le détour.

    Mon blog : larroseurarrose.com
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mai 2020
    Un des premiers films d’un grand, très grand réalisateur même. Jsa est un suspens qui a pour toile de fond une anomalie, un pays coupé en deux ou les frères se trouvent être des ennemis et semble être des extra terrestres les uns pour les autres alors que leurs racines sont identiques. La mise en scène est léchée et maintien la tension malgré certains passages plus creux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    La mise en place est un peu laborieuse et l'univers où se déroule le film est très austère (c'est le moins qu'on puisse dire). Du coup, le film met du temps à créer l'émotion censée porter le message du film. Par contre, quand il y arrive, c'est d'autant plus réussi et admirable que ce n'était pas gagné. Sinon, le scénario et la réalisation sont impeccables, mais j'en ressors plus avec le souvenir de la froideur ambiante qu'avec celui de la chaleur des personnages et de leur histoire d'amitié.
    Jonathan P
    Jonathan P

    69 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    Sur la ligne, des fraternités, dans ce local se jouent tous les thèmes de la vie. Drôle, tendu et bouleversant d'humanité. Boulevardducinema.com
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2018
    En me rendant dans la salle je pensais voir le dernier Park Chan-Wook, en réalité il s'agit d'une ressortie et d'une ressortie tout à fait appropriée étant donné l'actualité et le dernier réchauffement des relations entre les deux Corée.

    Je ne savais rien du film et j'ai marché tout du long. En effet au départ ça commence comme un thriller assez sanglant, mais pas inintéressant étant donné le contexte tendu. Cependant bien vite on part vers autre chose de finalement plus proche de ce que l'on connaît nous durant notre guerre de tranchées, à savoir 14-18.

    On a des gens qui parlent la même langue, qui vivent à 20m mètres d'écart, forcément des liens se créent. Alors là ils ne jouent pas au football, mais c'est tout comme.

    Et c'est finalement sur ça que s'oriente le film, une histoire humaine belle et tragique. La force du film est là. Nous montrer comment cette aventure se termine sans nous dire pourquoi elle se termine de la sorte, faisant ainsi planer le terrible destin qu'on sait être le leur sur les personnages.

    Ça ne rend le film que plus beau.

    D'ailleurs notons que c'est un film de réconciliation, absolument pas manichéen. Il n'est pas question donc de faire porter le moindre tort sur la Corée du Nord (ou du Sud), mais sans tomber dans l'angélisme non plus.

    En outre c'est assez cynique de la part du Nord et du Sud de transformer cette zone démilitarisée en zone touristique, comme c'est également montré dans le film. L'opposition devient une source de profits pour certains.

    En tous cas c'est assez intéressant de voir l'évolution de cette zone telle que présentée dans le film en 2000 et celle que j'ai pu voir début 2018. Maintenant les soldats ne se font plus face, mais gardent tour à tour la frontière... cependant pas grand chose n'a changé.

    Mais je trouve courageux de faire un film comme ça, souhaitant la réunion du peuple en 2000, alors que les tensions étaient à leur comble et que le Nord sortait à peine de dures famines.

    Bref, c'est vraiment bien pensé, mais c'est en plus bien fait, ça renforce l'intensité du film...
    Criticman17
    Criticman17

    6 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2018
    Joint Security Area (JSA) est un film utile et indispensable. Ce film démontre qu'à travers les frontières construites par les humains entre la Corée du Nord et la Corée du Sud, il y a des émotions et celles-ci ne peuvent pas s'arrêter à des démarcations entre deux territoires. La vie fabrique de l'espoir, la réalisation laisse planer ce sentiment. Park Chan-Wook montre dans son film la mort de façon violente. Park Chan-Wook réalise un film sur ce conflit de manière dépassionné intelligent et nécessaire. Il montre qu'à partir d'une rencontre cela peut engendrer une étincelle et conduire à un incendie pour terminer à un embrasement. Les acteurs du film sont très bons et on peut percevoir tout le mal être que cette situation provoque à travers leurs regards à des moments du film. Film à voir reposé pour en comprendre tout l'aspect cérébral des acteurs dans cette opposition très complexe.
    nada r.
    nada r.

    7 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juillet 2018
    Le film est en deux parties, une partie se passe au temps présent et l autre dans le passé. Le problème vient des scenes qui se passent dans le présent. Le jeu d’acteur laisse à désirer, ainsi que le scenario et les dialogues. Le film aurait ete bien bien mieux sans. Le denouement / la « revelation » de la fin semble par ailleurs revenir sur tout le message du film, qui reste tres beau. La derniere sequence est une des meilleures ( la toute derniere en noir et blanc) et rend une scene qui etait vraiment etrange voire mauvaise absolument excellente.

    Rien à redire sur les 4 personnages principaux, soldats. Les acteurs etaient tres bons, les personnage sont attachants. On est totalement de leur cote et on passe un excellent moment. Prise de position des scenaristes innattendue selon moi sur le conflit Nord Sud dans son traitement. La bande-son est aussi très bien. J ai apprecie le fait que tres different et chacun refusant l ideologie de l autre, (spoiler) ils ne changent pas sur ce point de vue. A voir.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    78 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    Considéré comme la première grande œuvre de Park Chan-Wook, « JSA » n’a pas volé sa réputation tant ce long-métrage est brillant en tout point. Le réalisateur coréen nous a habitués dans la suite de sa carrière au thriller psychologique violent mais c’est un véritable drame humaniste que nous offre ici le cinéaste. En partant du contexte politique tendu qui perdure dans la péninsule coréenne depuis plusieurs dizaines d’années, Park Chan-Wook s’attache à livrer une œuvre qui étudie les confins de l’âme humaine afin de délivrer un constat amer sur la situation de son pays doublé d’un plaidoyer en faveur de la tolérance. Plus que la noirceur et le nihilisme qui jalonnent la filmographie du cinéaste coréen, c’est ici la tendresse avec laquelle il filme ses personnages qui fait mouche, des personnages très attachants qui tentent de conserver leur humanité dans une société déshumanisée où la raison et le libre-arbitre n'ont pas leur place. Un film monumental qui se doit d'être vu tant pour sa superbe mise en scène, que pour la maîtrise de sa narration, l’intelligence de son propos et la justesse de ses interprètes.
    pauletvirginie
    pauletvirginie

    2 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2018
    C'est long, c'est long ! Scènes interminables, répétitives et inintéressantes dans le poste de garde, on en coupait 20 minutes, ça faisait un film d'1h30, parfait !
    andika
    andika

    107 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juillet 2018
    JSA est un film immense. C'est dit. L'histoire est simple, deux soldats nord coréens sont abattus de leur côté de la frontière par un soldat sud coréen, qui avoue le crime. Mais devant les tensions que la situation engendre, une enquête internationale est diligentée, menée par une suissesse, d'origine coréenne alias Sophie Jean (sublime Yeong-ae Lee), et un officier suédois. Très rapidement, on se rend compte que les déclarations des différents protagonistes n'ont aucun sens, et qu'il y a anguille sous roche. On comprend ce qui ne va pas mais ça ne révèle pas pour autant la vérité. De nombreux flashbacks viennent palier ce qui est lacunaire dans un style de Rashomon. L'histoire de ce film est tellement banale que avec une mise en scène moins inventive, le résultat aurait pu être médiocre. Au contraire, ici, que ce soit la scène clef montrée à travers les yeux d'un hiboux, le cadre suggérant constamment l'idée de frontière, ou la caméra complice de ses protagonistes; on sent à chaque plan un réalisateur partie prenante. Il ne montre rien par hasard, et est véritablement acteur de cette histoire. On comprend rapidement que la vérité n'est pas dite et lorsque le fin mot de l'histoire est révélée dans un flashback central plus long que les autres, au lieu d'apporter une résolution, cela crée de nombreux problèmes. En effet, la fraternisation étant strictement interdite, comment soulager sa conscience en raconter une vérité inavouable ? Ainsi, on découvre avant tout l'histoire d'une amitié naturelle, humaine, entre des soldats du nord et du sud qui ne forment définitivement qu'un peuple, une famille et se découvrent de nombreux points de convergences. C'est ici que le film fait curieusement écho avec une actualité récente et n'en a que plus de pertinence. En oubliant la politique et la propagande, la banalité de ces hommes et leurs interactions deviennent les choses les plus belles au monde, beaucoup d'humour et de tendresse ressort de nombreuses séquences mais la tension ne retombe jamais. Sachant que le spectateur est constamment au courant de l'inévitable puisque l'incident a déjà eu lieu dès le début du film. Et pourtant, là est le tour de force, on croit tout savoir, tout comprendre alors qu'on ne sait rien. La frontière entre le nord et le sud semble artificielle mais il n'en est rien, elle s'efface pour mieux nous revenir à la figure dans un suspens insoutenable qui ne cesse pas jusqu'aux derniers instants. Le dernier plan est éloquent, entre ce que l'on voit, ce que l'on croit voir et la réalité. Une même image peut prendre de nombreux sens une fois qu'on connaît le fin mot de l'histoire. Un pied de nez mi humoristique mi tragique et pleinement brillant.

    On s'attache à chacun de ces personnages, même si l'unique personnage féminin semble un peu effacé, il a le mérite de représenter l’œil du spectateur. Mais comment ne pas saluer les performances de Song Kang-Ho et Lee Byung-Hung qui sont si touchantes, intenses, poignantes. Même si c'est la Corée, même si c'est loin, même si on est étranger à cette langue, à cette culture, on trouvera ici des frères en humanité. Ainsi, ce film est la preuve que les frontières n'existent que dans nos têtes mais qu'il ne tient qu'à nous de ne pas en tenir compte.
    Bernard D.
    Bernard D.

    113 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juillet 2018
    « JSA » pour Joint Security Area ou Zone Commune de Sécurité entre les 2 Corée est un film du Sud-Coréen Park Chan-Wook extrêmement poignant nous montrant toute la haine/suspicion entre ces 2 peuples frères mais séparés depuis 50 ans par une guerre menée par la « triplette » USA/URSS/Chine, guerre qui a fait 2 millions de victimes civiles et plus de 800 000 morts parmi les militaires, les soldats prisonniers ayant du opter pour le régime du Nord ou celui du Sud … et de s’épier en chiens de faïence le long de cette JSA.
    Un incident arrive dans un poste contrôle Nord-Coréen avec la mort d’un soldat … Cet incident risquant de dégénérer en un véritable conflit éventuellement mondial, une enquête est confiée à une jeune femme dont le père est Coréen et la mère Suisse, assisté d’un officier Suédois mais très vite les témoignages s’avèrent préparés à l’avance. La vérité va se révéler au fil de plusieurs flash-backs, sortant du cadre de la guerre mais – comme le dit le Général des forces de l’ONU présent sur place – « on est présent ici pour préserver la Paix en cachant la vérité » !
    Un film de guerre très poignant sur la haine et la fraternité, sur l’honneur militaire, l’absurdité de la guerre… avec une fin logique mais inattendue ! Du très grand cinéma.
    Mathieu B.
    Mathieu B.

    32 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juillet 2018
    Un film atypique sur l’amitié entre des soldats sud et nord koréens chargés de surveiller la frontière entre les deux pays : la fameuse joint security area. J’ai souvent du mal avec le jeu des acteurs asiatiques : je n’arrive pas à savoir si les asiatiques se comportent réellement comme ça dans la vie normale (atitudes de robot, regards de psychopathe, réactions infantiles) ou s’il s’agit d’un style de jeu spécifique aux acteurs asiatiques. Ca gache un peu le film qui traite d’un sujet passionnant. Autre regret : les dialogues sont d’une pauvreté, les scènes sont d’un ennui parfois mortel. Quel manque de créativité !
    David S.
    David S.

    67 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2018
    « Joint Security Area » de Park Chan-Wook - La chronique qui réconcilie les frères ennemis !

    C’est un joli petit bijou serti d’émotions que nous propose le réalisateur coréen Park Chan-Wook avec « JSA (Joint Security Area) », son troisième film sorti initialement en 2000 et bénéficiant d’une ressortie remasterisée en 4K en France ce 27 juin 2018.

    En cette période de rapprochements des deux Corées, « JSA (Joint Security Area) » reste d’une actualité brûlante puisque le film raconte l’histoire d’amitiés interdites entre des soldats nord-coréens et sud-coréens. En 2000, les rapports entre les deux nations sont proches de la haine absolue, du moins au niveau des dirigeants respectifs.

    Démarrant sur une enquête touchy concernant le meurtre de deux soldats nord-coréens à la frontière séparant le Nord et le Sud, c’est en fait un tout autre voyage dans lequel nous embarque le réalisateur. Un voyage où il dissèque les comportements humains, une histoire étonnante et atypique qui résonne évidemment beaucoup dans l’actualité aujourd’hui.

    Même s’il n’oublie jamais d’être cruel et ne se dépare pas d’une certaine violence, le film parvient à proposer des plages de respiration en étant drôle voire volontairement naïf. Une merveille d’humanisme qui décrypte fort bien le dilemme entre les Sud et Nord-Coréens. Subtil. Et l’on se pâme devant ces moments attendrissants, à voir cette amitié contre nature prendre son envol.
    L’histoire arrive à te concerner même si tu n’es pas coréen car le réalisateur ne prend jamais partie dans le conflit qui oppose les deux frères ennemis.

    Il y a d’un côté ce que les politiciens imposent puis de l’autre comment les hommes sur le terrain en disposent. Park Chan-Wook dénonce l’absurdité de cet affrontement fraternel, de ces humains aux racines communes que les pouvoirs en place choisissent, peu importe les raisons, de séparer. Au final, les deux sociétés sont sclérosées par cet antagonisme, comme une sorte de piège à loup qui se referme sur la cheville la brisant et laissant des séquelles à vie.

    Les acteurs sont puissants de justesse, imprégnés par leurs rôles, probablement avec le sentiment de participer à un manifeste salutaire pour les deux pays.

    La caméra s’attarde longtemps sur les personnages privilégiant l’émotionnel au sensationnel. Les plans sont magnifiques et la photo sublime, le passage au 4K y étant certainement pour beaucoup.

    Le film n’évite pas certaines longueurs mais c’est pour mieux poser son postulat, laisser le spectateur reprendre son souffle entre deux scènes intenses et le laisser vagabonder dans ses pensées pour s’approprier le propos.
    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2018
    On connait peu la filmographie du réalisateur coréen Park Chan-Wook antérieure à sa trilogie de la vengeance, commencée en 2002 avec "Sympathy for Mr. Vengeance" (2002). C’est ainsi que "JSA– Joint Security Area", le film précédant cette trilogie et qui date de 2000, n’avait eu droit, en France, qu’à une sortie en DVD, et seulement en 2009 ! Grâce à La Rabbia, il va être enfin possible de le voir en salle, qui plus est dans une version restaurée 4K.
    L’actualité 2018 concernant les deux Corée et les qualités cinématographiques de "JSA -Joint Security Area", à coup sûr un des plus beaux films de Park Chan-Wook, doivent inciter un grand nombre de spectateurs à profiter de l’aubaine offerte par La Rabbia.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juin 2018
    Le conflit coréen avait donné il y a vingt ans ce film qui ressort aujourd’hui sur nos écrans, dans les eaux troubles d’un cinéma qui s’affirme tranquillement. Les collègues de Park Chan-Wook ont diversifié le panorama cinématographique pour sortir des sentiers battus par sa violence coutumière (« Company Man » de Lim Sang-yoon, « J’ai rencontré le diable » de Kim Jee-Woon…) .Le cinéma coréen s’affirme aujourd’hui sur un plan véritablement créatif , même dans l’engagement politique de Kim Ki-duk qui l’an passé avec « Entre deux rives » posait à mon avis de vraies questions sur le problème coréen que Park Chan-Wook aborde ici de manière simpliste et confuse. Sur une technique irréprochable, il effleure un sujet d’une gravité patente, autour d’un incident sur des postes de garde d’une ligne de démarcation. Les Nations Unies dépêchent une jeune inspectrice suisse, d’origine coréenne, afin d’éviter l’embrasement. Elle comprend qu’elle ne saura jamais réellement ce qui s’est passé ce jour là entre les deux Corée. Et Park Chan-Wook ne nous facilite pas la tâche …
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
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