Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Indispensable.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Œuvre magistrale et précieuse, "JSA" constitue à la fois un point de départ pour Park Chan-wook et la quintessence même de son cinéma. Découverte – ou redécouverte – indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Plus que par l'arrière-fond politique, qui prend quand même de la place et qui est passionnant (le poids historique de la situation, les ressentiments, les jalousies, la trahison latente...), le film est porté par l'extraordinaire mise en scène, tendue, précise, étouffante et le scénario, entre policer et thriller, haletant de bout en bout.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Joint Security Area est un film subtil et puissant qui vient percuter l’actualité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Luc Chessel
Presque deux décennies après sa sortie, en 2000, le JSA (Joint Security Area) du Sud-Coréen Park Chan-wook, ici inédit en salles, apparaît comme un genre de chef-d’œuvre intenable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par La Rédaction
La violence crue de ses films à venir n'est qu'effleurée, mais sa mise en scène clinique, étouffante, est déjà là, impressionnante.
CNews
par La rédaction
Un thriller haletant et intense.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Park Chan-wook accorde le ton de sa mise en scène à l’irresponsabilité jouissive d’un acte profondément révolutionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Lino Cassinat
Message de paix entre les peuples et retour de la question humaine au centre des réflexions, "JSA" transmet une triste joie de vivre et une électricité rageuse. Park Chan-wook se sert ici de son pessimisme pour alimenter l'énergie de l'indignation, et s'il voit encore la lumière de l'espoir au bout du tunnel de noirceur, celle-ci ne tardera pas à devenir un véritable brasier quasi-nihiliste dans ses prochains films. Profitez de l'espoir, tant qu'il y en a encore.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est dans son long flash-back central, entre le western et "la Grande Illusion" version coréenne, que ce pamphlet antimilitariste puise sa force : la noirceur romanesque, l’humour tordu et la virtuosité en germe du cinéaste y font exploser les codes bien rodés du film d’enquête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À l'heure du rapprochement entre les deux Corées, un des premiers films du réalisateur se déroulant dans la fameuse zone démilitarisée sort demain sur nos écrans pour nous rappeler avec brio l'absurdité humaine d'une nation coupée en deux.
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"JSA" est un film indispensable, tant dans son portrait sensible du conflit que pour son rôle dans l’affirmation d’une nouvelle ère du cinéma coréen, dans laquelle Park Chan-wook et ses deux acteurs, Song Kang-ho et Lee Byung-hun, tiennent un rôle central.
La Voix du Nord
par La Rédaction
Passionnant et terriblement actuel.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Une poignante tragédie humaine.
aVoir-aLire.com
par Hugo Maurier
Il aura fallu attendre dix-huit ans pour voir le premier grand film de Park Chan-wook trouver le chemin des salles françaises. Une belle excuse pour découvrir sur grand écran cette petite perle et son remaster 4K.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Mais au-delà du sujet et de ses enjeux, c’est dans sa mise en scène que le cinéaste convainc le plus. La composition de plans somptueux, et un montage sophistiqué des plus pertinents, participent d’une dramaturgie poignante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On retrouve la fluidité, l'élégance et l'audace de Park Chan-wook, ainsi que son constat implacable de la noirceur de l'âme humaine.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Entre film de guerre et chronique d'une histoire d'amitié, « JSA », mené à un rythme très nerveux, met l'accent sur les drames humains qui résultent de la séparation entre les deux Corées.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On pense autant à un film de guerre qu’à un thriller d’espionnage avec ce film tiré au cordeau, que le récit bouscule en montrant comment des soldats des deux camps fraternisent secrètement, préfigurant une réunification inaccessible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Samuel Douhaire
Vu d’ici, on repère aussi les raccourcis d’un survol simpliste du sujet et les artifices d’un formalisme tapageur. Pourtant, de cet exercice de style émerge une humanité qui, elle, n’a rien de factice : celle d’une poignée de jeunes types héroïques, tragiquement piégés dans une histoire sans issue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Indispensable.
Culturopoing.com
Œuvre magistrale et précieuse, "JSA" constitue à la fois un point de départ pour Park Chan-wook et la quintessence même de son cinéma. Découverte – ou redécouverte – indispensable.
L'Express
Plus que par l'arrière-fond politique, qui prend quand même de la place et qui est passionnant (le poids historique de la situation, les ressentiments, les jalousies, la trahison latente...), le film est porté par l'extraordinaire mise en scène, tendue, précise, étouffante et le scénario, entre policer et thriller, haletant de bout en bout.
L'Humanité
Joint Security Area est un film subtil et puissant qui vient percuter l’actualité.
Libération
Presque deux décennies après sa sortie, en 2000, le JSA (Joint Security Area) du Sud-Coréen Park Chan-wook, ici inédit en salles, apparaît comme un genre de chef-d’œuvre intenable.
Première
La violence crue de ses films à venir n'est qu'effleurée, mais sa mise en scène clinique, étouffante, est déjà là, impressionnante.
CNews
Un thriller haletant et intense.
Critikat.com
Park Chan-wook accorde le ton de sa mise en scène à l’irresponsabilité jouissive d’un acte profondément révolutionnaire.
Ecran Large
Message de paix entre les peuples et retour de la question humaine au centre des réflexions, "JSA" transmet une triste joie de vivre et une électricité rageuse. Park Chan-wook se sert ici de son pessimisme pour alimenter l'énergie de l'indignation, et s'il voit encore la lumière de l'espoir au bout du tunnel de noirceur, celle-ci ne tardera pas à devenir un véritable brasier quasi-nihiliste dans ses prochains films. Profitez de l'espoir, tant qu'il y en a encore.
L'Obs
C’est dans son long flash-back central, entre le western et "la Grande Illusion" version coréenne, que ce pamphlet antimilitariste puise sa force : la noirceur romanesque, l’humour tordu et la virtuosité en germe du cinéaste y font exploser les codes bien rodés du film d’enquête.
La Croix
À l'heure du rapprochement entre les deux Corées, un des premiers films du réalisateur se déroulant dans la fameuse zone démilitarisée sort demain sur nos écrans pour nous rappeler avec brio l'absurdité humaine d'une nation coupée en deux.
La Septième Obsession
"JSA" est un film indispensable, tant dans son portrait sensible du conflit que pour son rôle dans l’affirmation d’une nouvelle ère du cinéma coréen, dans laquelle Park Chan-wook et ses deux acteurs, Song Kang-ho et Lee Byung-hun, tiennent un rôle central.
La Voix du Nord
Passionnant et terriblement actuel.
Le Monde
Une poignante tragédie humaine.
aVoir-aLire.com
Il aura fallu attendre dix-huit ans pour voir le premier grand film de Park Chan-wook trouver le chemin des salles françaises. Une belle excuse pour découvrir sur grand écran cette petite perle et son remaster 4K.
Franceinfo Culture
Mais au-delà du sujet et de ses enjeux, c’est dans sa mise en scène que le cinéaste convainc le plus. La composition de plans somptueux, et un montage sophistiqué des plus pertinents, participent d’une dramaturgie poignante.
Le Journal du Dimanche
On retrouve la fluidité, l'élégance et l'audace de Park Chan-wook, ainsi que son constat implacable de la noirceur de l'âme humaine.
Le Parisien
Entre film de guerre et chronique d'une histoire d'amitié, « JSA », mené à un rythme très nerveux, met l'accent sur les drames humains qui résultent de la séparation entre les deux Corées.
Les Inrockuptibles
On pense autant à un film de guerre qu’à un thriller d’espionnage avec ce film tiré au cordeau, que le récit bouscule en montrant comment des soldats des deux camps fraternisent secrètement, préfigurant une réunification inaccessible.
Télérama
Vu d’ici, on repère aussi les raccourcis d’un survol simpliste du sujet et les artifices d’un formalisme tapageur. Pourtant, de cet exercice de style émerge une humanité qui, elle, n’a rien de factice : celle d’une poignée de jeunes types héroïques, tragiquement piégés dans une histoire sans issue.