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GabbaGabbaHey
205 abonnés
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3,5
Publiée le 11 avril 2011
Rien de tel pour passer un bon moment qu'un film de Mel Brooks... "Sacré Robin Des Bois" (que je préfère sous le nom de "Robin Des Bois, Héros En Collant", qui est le titre Québécois, et une traduction plus stricte du titre original.) est un film qui accumule les gags étincelants, fascinants par leur degré absurdité, qui font littéralement éclater de rire ! Un grand moment de bonheur... Des acteurs pas nécessairement excellents mais qui apportent au film ce qu'il faut et le rendent parfaitement "Brooksien", une alchimie forte intéressante qui fait la force de tous les films de Mel Brooks ! Vraiment drôle..
Parvenir à capter l'essence de Robin Hood sous un angle inédit, tel est le génie de Mel Brookes (qui apparait en frère Tuck). Depuis le générique jusqu'à la scène finale, le film parvient à nous éblouir avec des gags les plus hilarants les uns que les autres. Les anachonismes, les personnages pathétiquement comiques (Petit Jean, Blinky...), les allusions sexuelles, . Prince John et le sheriff forment la paire la plus marquantes du film. Les scènes entre les deux sont off the hook, leurs plans pour éliminer Robin Hood échouent à chaque fois. Chaque scène est mémorable et plus particulièrement la scène du banquet, la chason à la belle étoile, le combat avec le shériff, la scène d'"amour" final! Le film marque les débuts du jeune Dave Chapelle qui délivre un magnifique discours à la Malcolm X!
Quelques citations qui m'ont faire mourrir de rire. .....Because, unlike other Robin Hoods, I can speak with an English accent et le fameux "white men cant jump" lancer par Atchoum
Une sympatique parodie, vraiment trés drôle. Mel Brooks retrouve un certain humour anglais qu'il affectionne particuliérement, mais qu'il utilise ici au maximum. Un film bien dans son style, donc, avec un Cary Elwes parodiant allégrement Errol Flynn et Kévin Cotner: "Contrairement a mon prédécesseur, je ne danse pas avec les loups", dit-il au début du film...
Mel Brook parodie Robin des Bois. C'est drôle par moment, un peu lourd à d'autres. L'humour est souvent assez absude, on peu donc l'identifier à l'humour british bien que certains gags soient très américains. Le scénario n'est pas exceptionnel, et les longueurs sont beaucoup trop nombreuses La parodie est sympa mais rien à voir avec "Frankenstein Junior", le meilleur de Mel Brooks.
Attention, avalanche de gags en approche ! Mel Brooks décide de s'attaquer à la légende de Robin Des Bois, après avoir notamment refaite celle de Frankestein ou après avoir refait son propre Star Wars.
Et encore une fois, Mel Brooks montre son talent pour la comédie et les gags vieux comme le monde, les gags prévisibles et les gags gros comme Big Daddy V... Bref, Mel Brooks nous sert du Mel Brooks mais au meilleur de sa forme, au summum de son art. Si quelques gags tombent à l'eau, ils sont éclipsés par la qualité du reste. Cary Elwes, comme dans Saw, est une des bénédictions de ce film. De plus, il y a Tracey Ullman, Dave Chappelle, Isaac Hayes, Mark Blandfield, Roger Rees, Amy Yasbeck et Richard Lewis sans oublier Patrick Stewart et Robert Ridgeley qui sont très bons aussi... Les deux scènes d'ouverture sont très bonnes (surtout celle avec les rappeurs). Le petit côté film à sketches n'est pas déplaisant et le premier doublage français n'est vraiment pas mal, voire même très bon. Les combats d'épée sont très bien filmés mais malheureusement, il y a quelques temps morts, Mel Brooks n'ayant pas une bonne notion du mot rythme...Bref, ce film est hilarant et on a rarement vu aussi drôle.
Mais le rythme ne suit pas et le film est un peu long... Pour rire et rire encore...
Ce film est très étrange car il possède un humour que je qualifierais de Britishissime et pourtant, je ne me rappelle pas avoir autant ri devant un film (je suis pas un amateur d'humour anglais). Quand je l'ai vu, j'étais gamin et ça me faisait rire, et il me fait toujours rire maintenant. Les acteurs sont tous parfaits, les dialogues sont cultes et source de nombreux délires si vous voyez le film entre amis ("j'ai un grain de beauté ?", "Abattre délit de porc majesté de ça très grave c'est", "C'est une sage décision, c'est une très sage décision"...). L'histoire est menée de main de maître par Mel Brooks. Enfin pour ma part, je ne saurais que conseiller à tout le monde de voir ce film au plus vite, il est hilarant.
Un film parodique un peu passé aux oubliettes… à juste titre ! Pourtant, c’est le grand Mel Brooks qui est aux commandes de ce pastiche de "Robin des Bois, Prince des voleurs" (avec Kevin Costner) et Cary Elwes, tout droit sorti de "Hot Shot" campe le personnage principal. Malheureusement, ce film ne fait que confirmer que Mel Brooks n’est définitivement plus dans le coup, surtout depuis que le trio infernal des ZAZ (à qui l’on doit la série des "Y a-t-il un flic…?", "Y a-t-il un pilote…?" et autres "Hot Shot") l’a ringardisé. Parmi les nombreux défauts du film, on retiendra un sens du rythme plus que discutable, un héros loin d’être mémorable (Carey Elwes n’a visiblement pas l’étoffe d’un Leslie Nielsen ou d’un Charlie Sheen), une succession de gags inégaux et souvent poussifs voire complètement ratés (l’apparition finale de Patrick Stewart en Roi Richard est loin d’être à la hauteur de celle de Sean Connery), une quasi-absence des références autres qu’au film de Kevin Reynolds (et un peu au dessin animé de Disney), ainsi qu’une brochette d’illustres inconnus dans des rôles secondaires (heureusement que la VF s’est offert les services de doubleurs de talent tels que Patrick Poivey, Jacques Frantz ou encore Emmanuel Curtil). Et surtout, on ne rigole qu’à de rares moments. Parmi les quelques passages amusants, on retiendra la 1ere apparition de Mirette le serviteur aveugle qui mate un magazine porno en braille, les interventions du rabbin Tuckman campé par Mel Brooks himself ou encore la scène où les personnages sortent leur script pour connaître la suite de l’histoire. C’est malheureusement très insuffisant pour empêcher "Sacré Robin des bois" d’être une parodie dépassée dès sa sortie !
Moi l’humour Mel Brooks, je suis assez client. Après ce n’est pas toujours remarquablement subtil et (comme souvent) cela devient vite répétitif la faute à un véritable travail d’intrigue, mais bon, pour moi ça passe.