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Mystères du cinéma ! Pourquoi ce film est-il si moyen alors que Decoin nous avait accrochés deux ans auparavant avec son Razzia sur la Chnouf ? Les acteurs sont bons. On retrouve Ventura et pas mal de têtes connues. Françoise Fabian, pas Lara, n'est pas inférieure à Magali Noël. Il y manque peut-être Jean Gabin. Ce qui manque sans doute aussi c'est un cadre et un sujet. Cette cache d'armes à Roquefort cela ne vaut pas du trafic de drogue en région parisienne. J'ai visité les caves de roquefort. La tension n'y est pas aussi dramatique que dans les bistrots mal famés de Paris. Dernière chose : je voulais voir et entendre Dario Moreno chanter. C'est annoncé dans le générique. Chanson composée par Loulou Gasté, plagiée par un brésilien qui en a fait un tube mondial, chantée sous un autre titre par Mike Brant. Rien vu de tout ça, juste Dario Moreno acteur habillé cradoque. Je m'en consolerai.
Un bon petit polar aves des acteurs et actrices de premier choix: Raymond Pellegrin en inspecteur infiltré dans un trafic d'armes, la belle Françoise Fabian virevoltante, Charles Vanel, excellent, Dario Moreno, Lino Ventura à ses débuts, Pierre Louis,... qui se laisse voir malgré tout.
Très lent au démarrage ! On entre enfin dans le vif su sujet seulement à la moitié du film avec l'apparition de Lino Ventura et Charles Vanel. "Demain, il sera trop tard" est une excellente scène qui sera reprise tellement de fois au cinéma ! Trop inégal et lent pour être un bon film, il mérite tout de fois un coup d'oeil car il y a de bonnes scènes et les gangsters / policiers ne manquaient ni d'anecdotes sur les trafics, ni de bonnes manières et de courtoisies toutes en muscles entre eux.
L’intrigue n’est pas très prenante et le film n'a pas laissé un grand souvenir contrairement au grand classique
"Touchez pas au grisbi" d'Albert Simonin qui participa à l'adaptation du feu aux poudres . Un petit côté documentaire avec le clin d’oeil au fromage de Roquefort , la "visite" de ses caves et le troupeau de Brebis vu à la fin du film.
Il règne une atmosphère étrange dans l'appartement de Pedro avec un jeu d'ombres et de lumières mystérieux. Un éclairage de bas en haut qui projette des ombres inquiétantes au mur, des chandeliers bougies éteintes, allumées ou sans bougies.
Lola allongée sur le tapis écoute un disque auprès de pochettes de musique russe : Rachmaninoff et "Cosaques du Don " , le film diffuse alors une musique douce .
"Touchez pas au grisbi" d'Albert Simonin qui participa à l'adaptation du feu aux poudres . Un petit côté documentaire avec le clin d’oeil au fromage de Roquefort , la "visite" de ses caves et le troupeau de Brebis vu à la fin du film.
Il règne une atmosphère étrange dans l'appartement de Pedro avec un jeu d'ombres et de lumières mystérieux. Un éclairage de bas en haut qui projette des ombres inquiétantes au mur, des chandeliers bougies éteintes, allumées ou sans bougies.
Lola allongée sur le tapis écoute un disque auprès de pochettes de musique russe : Rachmaninoff et "Cosaques du Don " , le film diffuse alors une musique douce .
Un très honnête polar de série B. Le réalisateur ne fait rien pour nous dissimuler le véritable rôle joué par Pellegrin, on suppose que c'est volontaire. Tout cela est assez prévisible, mais l'apparition de Charles Vanel constitue un passage savoureux tandis que celle de Françoise Fabian ajoute un peu de charme et de mystère. A noter Lino Ventura dans un petit rôle de, rien d'exceptionnel, mais une "gueule". Quant au dernier plan avec les moutons, je n'ai pas compris. Pas grandiose, ce film, mais tout à fait regardable.
Classique coup du policier en pleine infiltration, le film avait à l’époque récolté près de deux millions d’entrées, probablement sur le seul nom du réalisateur Henri Decoin pour le moins productif. Il faut dire qu’en dehors d’un Lino Ventura en simple figurant, la plupart des autres noms du casting ne nous disent plus grand chose, et l’histoire n’est pas exactement palpitante. La restauration est en revanche de qualité, que ce soit pour l’image ou le son, mais on ne peut que regretter les choix de scénario. Le film perd un temps incroyable à nous décrire le milieu du marché noir, pour au final expédier dans le dernier quart d’heure la confrontation « tant attendue ». Dommage, il y avait mieux à faire.
désolé pour ce film que j'ai arrêté au bout de 20 minutes
je n'ai pas pu rentrer dedans
les dialogues sonnaient faux, les acteurs désolés n'étaient pas justes
dommage je 'n'ai meme pas vu VENTURA et VANEL
je n'ai pas pu rentrer dedans
les dialogues sonnaient faux, les acteurs désolés n'étaient pas justes
dommage je 'n'ai meme pas vu VENTURA et VANEL
démarre pas mal puis devient rapidement pas crédible, lourd et ennuyeux. les acteurs principaux sont médiocre.
Pas un grand film mais un policier assez solide avec un bon casting. La réalisation n'est pas toujours à la hauteur avec des dialogues parfois un peu forcés et quelques scènes de piètres qualités.
film a fort suspense,francoise fabian apporte la
touche feminine a toutes ces brutes qui ne font
pas ds la dentelle,quoi que
belle lumiere et belle photographie
touche feminine a toutes ces brutes qui ne font
pas ds la dentelle,quoi que
belle lumiere et belle photographie
Lun des premiers films tournés par Lino Ventura, et oublié, probablement car limmense acteur, flic pour loccasion, ny apparaît quà sa moitié. Ceci dit, cette réalisation dHenri Decoin (Razzia sur la chnouf), certes ultra-classique, se laisse suivre plus quhonorablement. Raymond Pellegrin, celui qui fut la voix de Fantômas, campe un policier sinfiltrant dans un trafic international darmement, à une époque (1957) où les conflits étaient légion dans le monde. Ce trafic est orchestré par un acteur à laccent allemand toujours savoureux, Peter Van Eyck (Cent Mille dollars au soleil), ami de Albatrasse (Charles Vanel, primé au festival de San Sebastian pour ce film), Françoise Fabian apportant la touche féminine habituelle. Cocasse mais convaincante aussi, lapparition dAlbert Simonin, plutôt célèbre pour sa plume (Touchez pas au grisbi, Les tontons flingueurs
) que pour ses talents dacteur. Cette fiction se caractérise par de splendides plans dextérieurs (Sète, Roquefort
), qui parviennent à illuminer le noir et blanc, cest dire, et à rendre une ambiance un peu à contre-sens des films policiers noirs de lépoque. Plaisant.
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