Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cine Libre
par Luciène Mardore
Lundi matin transgresse le réalisme allegrissimo ; crée des personnages planants, (...) installe dans la campagne lyonnaise des cosaques, des gitans et un crocodile ; monte sur les toits de Venise et trempe un pinceau aquarelliste dans la lagune (...).
Urbuz
par Vincent Malausa
Lundi matin, qui s'achève évidemment sur un autre lundi matin, révèle les deux pôles qui animent le cinéma tout à la fois pépère et bohème de Iosseliani : le figement et la course perpétuelle (...).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
(...) chez Iosseliani, les princes sont de pauvres gens, les ouvriers des marins seigneurs, les vieux des trésors vivants. Chacun est triste et beau, pathétique et drôle. Les histoires n'en sont pas.
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Au dernier plan de ce film impressionnant, drôle, fantaisiste, magiquement captivant, les cheminées des usines se dressent, menaçantes, dragon moderne qui ne caresse aucune femme.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Lundi matin cultive ainsi une forme de nostalgie du bonheur, dénonce la sédentarité au nom d'un impossible nomadisme. (...) Les rencontres, souvent drôles, sont tragi-comiques (...), sénile et mégalomane.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Emile Breton
Tout cela est admirablement dit, et mené au pas de charge d'une satire alertement menée. Mais parfaitement désespérante, et l'on ne s'étonnera pas que Vincent, dans la dernière séquence, laisse au pied de sa 4L ses sabots de jardin pour partir au travail.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
L'ado en deltaplane témoin de ce retour relaie le point de vue de Iosseliani, cinéaste aux visées élevées, pour porter sur le théâtre du monde un regard non dupe et néanmoins apaisé, indispensable vigie de nos tourments (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Tout ce paradis (le plaisir que l'autre existe) est dans le film mais Iosseliani, extralucide, sait aussi qu'il est perdu. C'est la douce mélancolie de Lundi matin. (...). Moralité: le bonheur est dans ce film, cours-y vite, il va filer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pelisson
On retombe parfois en enfance en regardant ses films, entre rire et larmes. Si vous ne connaissez pas le petit monde d'Otar Iosseliani, n'hésitez pas, démarrez votre semaine cinéma avec LUNDI MATIN.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Histoire d'entraver une mécanique trop huilée, celle d'un quotidien pas plus ennuyeux qu'un autre, juste trop routinier. Alors en route pour Venise, pour un entracte à l'âme slave, entre la carte postale et le masque qui tombe sur une ville moribonde.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Olivier De Bruyn
Avec Lundi matin, Iosseliani, le pince-sans-rire, délivre une comédie mi-désabusée mi-épicurienne où, par une succession de petites touches incisives, il épingle la scandaleuse obligation de se conformer aux règles du monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Voilà tout le charme des habitants de la planète Iosseliani. Otar le Grand ne fait jamais tourner ses personnages en rond. Il les libère. En leur glissant sa morale personnelle à l'oreille : " Ne servir à rien ni à personne. " -
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par La rédaction
Au début de ce neuvième long-métrage du cinéaste géorgien, le monde du travail dans une usine chimique est filmé avec une acuité poétique. Profitez-en bien, parce que Vincent, son héros, n'est pas prêt d'y retourner de sitôt.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Magazine
par Laure Croiset
Voir la critique sur www.studiomag.com
Positif
par Noël Arpe
L'éternité contenue dans l'instant, matérialisée dans le passage, rendue visible par la succession précaire des images: c'est dans cet entre-deux que s'inscrit la morale paradoxale du cinéaste (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cine Libre
Lundi matin transgresse le réalisme allegrissimo ; crée des personnages planants, (...) installe dans la campagne lyonnaise des cosaques, des gitans et un crocodile ; monte sur les toits de Venise et trempe un pinceau aquarelliste dans la lagune (...).
Urbuz
Lundi matin, qui s'achève évidemment sur un autre lundi matin, révèle les deux pôles qui animent le cinéma tout à la fois pépère et bohème de Iosseliani : le figement et la course perpétuelle (...).
Aden
(...) chez Iosseliani, les princes sont de pauvres gens, les ouvriers des marins seigneurs, les vieux des trésors vivants. Chacun est triste et beau, pathétique et drôle. Les histoires n'en sont pas.
Cahiers du Cinéma
Au dernier plan de ce film impressionnant, drôle, fantaisiste, magiquement captivant, les cheminées des usines se dressent, menaçantes, dragon moderne qui ne caresse aucune femme.
Chronic'art.com
Lundi matin cultive ainsi une forme de nostalgie du bonheur, dénonce la sédentarité au nom d'un impossible nomadisme. (...) Les rencontres, souvent drôles, sont tragi-comiques (...), sénile et mégalomane.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Tout cela est admirablement dit, et mené au pas de charge d'une satire alertement menée. Mais parfaitement désespérante, et l'on ne s'étonnera pas que Vincent, dans la dernière séquence, laisse au pied de sa 4L ses sabots de jardin pour partir au travail.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
L'ado en deltaplane témoin de ce retour relaie le point de vue de Iosseliani, cinéaste aux visées élevées, pour porter sur le théâtre du monde un regard non dupe et néanmoins apaisé, indispensable vigie de nos tourments (...).
Libération
Tout ce paradis (le plaisir que l'autre existe) est dans le film mais Iosseliani, extralucide, sait aussi qu'il est perdu. C'est la douce mélancolie de Lundi matin. (...). Moralité: le bonheur est dans ce film, cours-y vite, il va filer.
MCinéma.com
On retombe parfois en enfance en regardant ses films, entre rire et larmes. Si vous ne connaissez pas le petit monde d'Otar Iosseliani, n'hésitez pas, démarrez votre semaine cinéma avec LUNDI MATIN.
Novaplanet.com
Histoire d'entraver une mécanique trop huilée, celle d'un quotidien pas plus ennuyeux qu'un autre, juste trop routinier. Alors en route pour Venise, pour un entracte à l'âme slave, entre la carte postale et le masque qui tombe sur une ville moribonde.
Première
Avec Lundi matin, Iosseliani, le pince-sans-rire, délivre une comédie mi-désabusée mi-épicurienne où, par une succession de petites touches incisives, il épingle la scandaleuse obligation de se conformer aux règles du monde.
Télérama
Voilà tout le charme des habitants de la planète Iosseliani. Otar le Grand ne fait jamais tourner ses personnages en rond. Il les libère. En leur glissant sa morale personnelle à l'oreille : " Ne servir à rien ni à personne. " -
Zurban
Au début de ce neuvième long-métrage du cinéaste géorgien, le monde du travail dans une usine chimique est filmé avec une acuité poétique. Profitez-en bien, parce que Vincent, son héros, n'est pas prêt d'y retourner de sitôt.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Positif
L'éternité contenue dans l'instant, matérialisée dans le passage, rendue visible par la succession précaire des images: c'est dans cet entre-deux que s'inscrit la morale paradoxale du cinéaste (...).