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(...) un sommet d'humour potache (...). Les gags sont énormes, la mise en scène aussi raffinée que d'habitude. Ça donne du Kitano 100 pour cent : inattendu, provocant, profondément réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Aden
(...) une bonne grosse farce fumante, un ovni dans la filmographie du yakusa de Tokyo. Une sorte de grand pétage de plombs organisé autour d'une féroce satire de la société japonaise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) une ébauche scatologique et maladroite, à peine sympathique, de tout ce qui, dans l'onirisme chatoyant de L'Eté de Kikujiro par exemple, tient chez Kitano, du cartoon triste (...), aux contours d'autant plus envoûtant qu'ils peinent à se dessiner dans l'immédiateté
Malgré quelques longueurs et la bêtise profonde de certains gags, le film est une occasion assez réjouissante de faire la connaissance avec la facette nettement plus débridée du cinéaste, véritable Docteur Jekyll et Mr Hyde du cinéma nippon.
L'esprit du film (...) est, paraît-il, très proche du personnage comique qui fit le succès télévisuel de Kitano. Les fans du cinéaste vont-ils le suivre jusque-là ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) une succession de gags de potache mal embouché, où le non-sens graveleux, la provocation scatologique, les citations appuyées de films de genre et les gags de carabins se mêlent avec un certain aplomb, à défaut du moindre sens des enchaînements, sans parler d'un quelconque raffinement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
« Getting Any ? » n'est (...) pas un film à aller voir aveuglément, mais en sachant où il se situe dans la filmographie et la biographie de son réalisateur. Ça n'en fait certes pas un chef-d'oeuvre (...) , mais une sorte de document témoin.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
(...) un assemblage rudimentaire d'épisodes burlesques, absurdes, volontiers débiles, reliés par une trame des plus basique (...). L'absence de bon goût n'a d'égale que celle de mise en scène.
Même si l'on connaît le Kitano clownesque, on ne pouvait pas se douter qu'il pouvait aller aussi loin dans l'humour trash. Entre nanar poussif et parodie hilarante, cette potacherie est pour le moins saugrenue.
Même si certains de ses fims sont plus prestigieux que d'autres, ils portent tous sa marque. Getting Any ? est comme un membre de la famille dont on on a un peu honte. C'est le frère qui pète à table. Mais il n'y a aucun doute sur le père.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voir Getting Any ? c'est faire l'expérience la plus déroutante du cinéma de Takeshi Kitano. Il y règne, (...) , une sorte de vide, un côté désincarné et absurde, renforcé par l'aspect discontinu de la narration, par la mince frontière qui sépare le gag de son absence fondamentale de drôlerie, ou, inversement, le comique de situations souvent tragiques.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Délaissant la violence et la mélancolie coutumières à son univers, le cinéaste plonge sans retenue dans l'humour crado avec une série de sketches qui ont en commun le même personnage ahuri, dont l'unique obsession est de faire l'amour.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Aden
(...) un sommet d'humour potache (...). Les gags sont énormes, la mise en scène aussi raffinée que d'habitude. Ça donne du Kitano 100 pour cent : inattendu, provocant, profondément réjouissant.
Libération
(...) une bonne grosse farce fumante, un ovni dans la filmographie du yakusa de Tokyo. Une sorte de grand pétage de plombs organisé autour d'une féroce satire de la société japonaise.
Positif
C'est bien sûr, effroyablement inégal, mais ne rirait-on qu'à un gag sur dix, l'avalanche est telle que l'expérience reste en tout cas mémorable.
Cahiers du Cinéma
(...) une ébauche scatologique et maladroite, à peine sympathique, de tout ce qui, dans l'onirisme chatoyant de L'Eté de Kikujiro par exemple, tient chez Kitano, du cartoon triste (...), aux contours d'autant plus envoûtant qu'ils peinent à se dessiner dans l'immédiateté
Chronic'art.com
Malgré quelques longueurs et la bêtise profonde de certains gags, le film est une occasion assez réjouissante de faire la connaissance avec la facette nettement plus débridée du cinéaste, véritable Docteur Jekyll et Mr Hyde du cinéma nippon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
L'esprit du film (...) est, paraît-il, très proche du personnage comique qui fit le succès télévisuel de Kitano. Les fans du cinéaste vont-ils le suivre jusque-là ?
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) une succession de gags de potache mal embouché, où le non-sens graveleux, la provocation scatologique, les citations appuyées de films de genre et les gags de carabins se mêlent avec un certain aplomb, à défaut du moindre sens des enchaînements, sans parler d'un quelconque raffinement.
Les Echos
« Getting Any ? » n'est (...) pas un film à aller voir aveuglément, mais en sachant où il se situe dans la filmographie et la biographie de son réalisateur. Ça n'en fait certes pas un chef-d'oeuvre (...) , mais une sorte de document témoin.
Les Inrockuptibles
(...) un assemblage rudimentaire d'épisodes burlesques, absurdes, volontiers débiles, reliés par une trame des plus basique (...). L'absence de bon goût n'a d'égale que celle de mise en scène.
MCinéma.com
Même si l'on connaît le Kitano clownesque, on ne pouvait pas se douter qu'il pouvait aller aussi loin dans l'humour trash. Entre nanar poussif et parodie hilarante, cette potacherie est pour le moins saugrenue.
Première
Même si certains de ses fims sont plus prestigieux que d'autres, ils portent tous sa marque. Getting Any ? est comme un membre de la famille dont on on a un peu honte. C'est le frère qui pète à table. Mais il n'y a aucun doute sur le père.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
Voir Getting Any ? c'est faire l'expérience la plus déroutante du cinéma de Takeshi Kitano. Il y règne, (...) , une sorte de vide, un côté désincarné et absurde, renforcé par l'aspect discontinu de la narration, par la mince frontière qui sépare le gag de son absence fondamentale de drôlerie, ou, inversement, le comique de situations souvent tragiques.
L'Humanité
Délaissant la violence et la mélancolie coutumières à son univers, le cinéaste plonge sans retenue dans l'humour crado avec une série de sketches qui ont en commun le même personnage ahuri, dont l'unique obsession est de faire l'amour.
Télérama
Une pochade inédite de Takeshi Kitano, qui aurait probablement gagné à le rester.