Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une expérience de survie qui se double d'un film à suspense. Environné de dangers (la soif, les serpents, les guérillas), Frank Cole affronte le spectre de la mort qui l'obsède, tout en réalisant un film d'une beauté et d'une concision absolues.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Aden
par Philippe Piazzo
Entre la gêne et la fascination (forcément morbide), on regarde, stupéfait, cette aventure. Embarrassé, quand le réalisateur s'attarde sur sa déchéance comme sur une victoire (...).
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par J.-F.R
Cole montre la lente désagrégation de son corps et les stigmates de son calvaire, enregistre les images d'objets et de bêtes croisés dans l'immensité sableuse : rochers, terre desséchée, (....) insectes dévorés par les fourmis, (...), les images décrivent alors un univers fantasmagorique, d'une létale et obtuse beauté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Frank Cole se filme, tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, s'apitoie. C'est son droit. On a celui de ne pas être sensible à sa douleur, trop ostentatoire, trop impudique pour être communicative.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
Une expérience de survie qui se double d'un film à suspense. Environné de dangers (la soif, les serpents, les guérillas), Frank Cole affronte le spectre de la mort qui l'obsède, tout en réalisant un film d'une beauté et d'une concision absolues.
Aden
Entre la gêne et la fascination (forcément morbide), on regarde, stupéfait, cette aventure. Embarrassé, quand le réalisateur s'attarde sur sa déchéance comme sur une victoire (...).
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Cole montre la lente désagrégation de son corps et les stigmates de son calvaire, enregistre les images d'objets et de bêtes croisés dans l'immensité sableuse : rochers, terre desséchée, (....) insectes dévorés par les fourmis, (...), les images décrivent alors un univers fantasmagorique, d'une létale et obtuse beauté.
TéléCinéObs
Frank Cole se filme, tantôt en noir et blanc, tantôt en couleur, s'apitoie. C'est son droit. On a celui de ne pas être sensible à sa douleur, trop ostentatoire, trop impudique pour être communicative.