AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,2
745 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Replicant ?
5
11 critiques
4
24 critiques
3
21 critiques
2
15 critiques
1
8 critiques
0
3 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
C’est excellent comme dans double impact, le jumeau est un replicant crée par la science de l’agence de sécurité nationale dans ce scénario fiction, il y aura de l’action et du thriller américain, Jean Claude Van Damme joue un rôle dramatique sanguinaire.
Un tueur en série sévit, une terreur contre les mères, nargue la police à ses trousses pour l'arrêter, insaisissable, l’enquête au point mort à cause de sa personnalité complexe surdouée enfance maltraitée, émotion et colère.
L’impuissance gagne et rend cynique l’inspecteur officier de police partant à la retraite dépité, le bon acteur Michael Rooker, actif réactif pas le temps pour rigoler dans la salle de bain en laissant place au caustique désabusé.
Le clone naissance JCVD nous fait sa démonstration gymnastique depuis sa cellule mère création, un sens inné télépathique par le sang scientifique et l’ADN manipulation génétique gouvernementale, l’apprentissage est correctionnel, nourri par un mauvais cultivateur.
Menottes aux poignets, contusions, ecchymoses et traces de mauvais traitement subi, ça en fait des bombes criminels à retardement, la philosophie est littéraire et venue de Hong Kong, une réalisation de Ringo Lam, le facteur est passé pour remettre une lettre de US Postal en mot final, méchant original out, copie in.
Un tueur en série sévit, une terreur contre les mères, nargue la police à ses trousses pour l'arrêter, insaisissable, l’enquête au point mort à cause de sa personnalité complexe surdouée enfance maltraitée, émotion et colère.
L’impuissance gagne et rend cynique l’inspecteur officier de police partant à la retraite dépité, le bon acteur Michael Rooker, actif réactif pas le temps pour rigoler dans la salle de bain en laissant place au caustique désabusé.
Le clone naissance JCVD nous fait sa démonstration gymnastique depuis sa cellule mère création, un sens inné télépathique par le sang scientifique et l’ADN manipulation génétique gouvernementale, l’apprentissage est correctionnel, nourri par un mauvais cultivateur.
Menottes aux poignets, contusions, ecchymoses et traces de mauvais traitement subi, ça en fait des bombes criminels à retardement, la philosophie est littéraire et venue de Hong Kong, une réalisation de Ringo Lam, le facteur est passé pour remettre une lettre de US Postal en mot final, méchant original out, copie in.
Redzing
Un serial killer fait des ravages à Seattle, et la police est incapable de l'arrêter. Une organisation gouvernementale décide alors de cloner le tueur, afin de les aider à le traquer. Jean-Claude Van Damme est un adepte de tous les bons prétextes pour apparaître en double à l'écran. Jumeau caché, voyage dans le temps, et cette fois-ci clonage ! Un concept pas forcément bien amené, et à peine exploité par un scénario faible et souvent maladroit. Sans compter que JCVD peine à convaincre en tueur psychotique (son rôle de clone niais est plus crédible). Néanmoins, Michael Rooker apporte un peu de charisme en policier déterminé à coincer le tueur mais se méfiant de son clone. Par ailleurs, les (rares) séquences de castagne entre les deux JCVD sont honorablement filmées. Mais c'est bien trop peu pour faire un film qui tient vraiment la route !
Cinq années après le sympathique Risque Maximum, Ringo Lam retrouve Jean-Claude Van Damme dans un thriller plaçant ce dernier dans la peau d’Edward Garrotte, un tueur en série traumatisé par son passé qui ne peut s’empêcher de trucider des femmes qu’il voit se comporter sévèrement avec leur enfant. Surnommé La Torche, il ne cesse d’échapper à l’inspecteur Jake Riley, interprété par Michael Rooker (La part des ténèbres, Cliffhanger, À l’aube du sixième jour, mais surtout Merle Dixon dans les premières saisons de la série The Walking Dead), qui ne cesse de devenir cynique et agressif à force de subir des désillusions. Si le film porte le nom du type d’androïde popularisé par Blade Runner en 1982, c’est parce que Ringo Lam nous offre une nouvelle fois deux Jean-Claude pour le prix d’un avec la création d’un clone génétique dont Jake se sert pour retrouver Garrotte.
Réplicant prend alors la forme d’une grande enquête dans laquelle un flic et son chien retracent la vie et la psychologie du tueur en se servant de son clone qui peut ressentir des choses et voir des scènes qu’il a vécues grâce à des pouvoirs télépathiques. Sa croissance ayant été accélérée pour qu’il atteigne l’âge biologique de Garrotte, son manque d’expérience de vie le rendant naïf et juvénile au point qu’il ait souvent à subir le courroux de Jake. La relation qu’ils développent reste toutefois intéressante, le clone parvenant de plus en plus à prédire les événements et devenant indépendant au point de courir lui-même aux trousses du tueur, qui remet alors son existence en question et lui disant qu’ils sont frères et que Jake chercherait plutôt à lui faire du mal.
Le manichéisme est alors remis en question à cause de l’acharnement de Jake et de ses méthodes pas vraiment raffinées, tout comme la question de l’éthique sur le clonage se pose irrémédiablement. Van Damme montre un certain talent en interprétant deux personnages aux caractères autrement plus opposés que ceux de Double Impact, avec un jeu d’acteur parfois émouvant dans le background de l’un ou de l’autre. Les scènes d’action sont peu nombreuses mais assez soignées, le combat de fin ayant un rendu intéressant avec le mode miroir provoqué par la lecture dans les pensées d’un double à l’autre. Un film très correct, qui marque le début de la reconversion de l’acteur en grand Platon des temps modernes à travers plusieurs émissions télévisées, comme son passage épique chez Ardisson où l’effet de la coke commençait vraiment à se faire ressentir !
Réplicant prend alors la forme d’une grande enquête dans laquelle un flic et son chien retracent la vie et la psychologie du tueur en se servant de son clone qui peut ressentir des choses et voir des scènes qu’il a vécues grâce à des pouvoirs télépathiques. Sa croissance ayant été accélérée pour qu’il atteigne l’âge biologique de Garrotte, son manque d’expérience de vie le rendant naïf et juvénile au point qu’il ait souvent à subir le courroux de Jake. La relation qu’ils développent reste toutefois intéressante, le clone parvenant de plus en plus à prédire les événements et devenant indépendant au point de courir lui-même aux trousses du tueur, qui remet alors son existence en question et lui disant qu’ils sont frères et que Jake chercherait plutôt à lui faire du mal.
Le manichéisme est alors remis en question à cause de l’acharnement de Jake et de ses méthodes pas vraiment raffinées, tout comme la question de l’éthique sur le clonage se pose irrémédiablement. Van Damme montre un certain talent en interprétant deux personnages aux caractères autrement plus opposés que ceux de Double Impact, avec un jeu d’acteur parfois émouvant dans le background de l’un ou de l’autre. Les scènes d’action sont peu nombreuses mais assez soignées, le combat de fin ayant un rendu intéressant avec le mode miroir provoqué par la lecture dans les pensées d’un double à l’autre. Un film très correct, qui marque le début de la reconversion de l’acteur en grand Platon des temps modernes à travers plusieurs émissions télévisées, comme son passage épique chez Ardisson où l’effet de la coke commençait vraiment à se faire ressentir !
Replicant est criminellement sous côté. Dans ce film, JCVD se donne à fond à tout les niveaux et prouve une fois de plus qu'il a de réelles qualités d'acteur. La grande force de ce film est son scénario qui est excellent avec ces deux Van Damme qui ont une personnalité radicalement différente (Van Damme a fait un travail exemplaire pour que l'on puisse différencier les deux personnages). La relation Van Damme/Rooker est aussi excellente, le duo fonctionne à merveille. L'action est bien évidemment au rendez-vous avec de bonnes chorégraphies et un affrontement entre les deux Van Damme (clin d'œil à Double Impact). Alors ce film n'est pas exempt de défauts, le principal étant son aspect cheap. Niveau réalisation c'est classique, dans la ligné des autres DTV sortis à la même époque. On est pas non plus sur un chef d'œuvre, mais c'est un très bon divertissement, probablement un des meilleurs films de JCVD. Pour apprécier vraiment ce film, il est nécessaire de passer outre son aspect film à bas budget. 4/5
Introduction :
En ce moment, j'ai souvent envie de voir des films sans prise de tête et c'est dans cet optique que je me suis acheté un coffret Bluray avec quelques films où Jean-Claude Van Damme est la vedette. Et c'est justement parce qu'il y avait "Replicant" que j'ai choisi ce coffret. En effet, sans être fan de l'acteur, j'ai toujours été assez curieux et intrigué vis à vis de ce film et j'avais vraiment envie de le découvrir.
Le scénario :
Il est assez intéressant et captivant. Fidèle à mes attentes, j'ai été pris par cette histoire pourtant assez classique. Mon seul principal reproche à mes yeux, c'est d'avoir doté ce Replicant d'un mental d'un enfant de 5 ans. Cela donne des moments sympathiques mais ça casse aussi pas mal le rythme alors que cette histoire de serial killer avait tout pour être un thriller beaucoup plus dur et sombre. Maintenant, c'est quand même efficace mais en ayant vu juste avant "In hell", je suis convaincu que l'association Ringo Lam - Jean-Claude Van Damme aurait pu être plus percutante avec un tel récit.
Le casting :
Sans surprise, Jean-Claude Van Damme (Garrotte / Le Replicant) porte le film sur ses épaules. Si je regrette le côté juvénile du Replicant, l'acteur m'a convaincu en tueur en série. Il est certes dans l'exagération mais il a une certaine prestance à l'écran et il fait un très bon psychopathe. Face à lui, Michael Rooker (Jake Riley) est pas mal du tout également. Le comédien tient bien sa caricature, il en fait peut-être parfois un peu trop mais c'est dans les échanges entre ses deux acteurs que le film a su me captiver.
La réalisation :
Elle est impeccable. Ringo Lam va a l'essentiel et fait du bon travail. Il n'innove rien de bien nouveau mais son divertissement est aussi efficace que prenant. A l'image de son scénario, je pense que le cinéaste aurait pu aller plus loin mais je me suis laissé prendre au jeu. Il ne manque vraiment pas grand-chose à ce projet mais ce fut plaisant à suivre avec très peu de temps mort. A cause du côté léger du Replicant et des traits parfois poussif de Jake, j'aurais aimé que Ringo Lam s'attarde davantage sur Garotte mais ça passe quand même.
Conclusion :
Je ne regrette vraiment pas l'achat de mon coffret bluray que j'ai pris pour ce "Replicant". L'association Jean-Claude Van Damme - Ringo Lam est payante même si je me suis davantage pris une claque avec "In hell". Ici, il manque un peu de noirceur au film mais j'ai quand même eu un long métrage qui m'a fait passé une bonne soirée malgré son côté classique et prévisible. Je le reverrais d'ailleurs avec plaisir.
Mr Vladdy - 2 février 2019.
En ce moment, j'ai souvent envie de voir des films sans prise de tête et c'est dans cet optique que je me suis acheté un coffret Bluray avec quelques films où Jean-Claude Van Damme est la vedette. Et c'est justement parce qu'il y avait "Replicant" que j'ai choisi ce coffret. En effet, sans être fan de l'acteur, j'ai toujours été assez curieux et intrigué vis à vis de ce film et j'avais vraiment envie de le découvrir.
Le scénario :
Il est assez intéressant et captivant. Fidèle à mes attentes, j'ai été pris par cette histoire pourtant assez classique. Mon seul principal reproche à mes yeux, c'est d'avoir doté ce Replicant d'un mental d'un enfant de 5 ans. Cela donne des moments sympathiques mais ça casse aussi pas mal le rythme alors que cette histoire de serial killer avait tout pour être un thriller beaucoup plus dur et sombre. Maintenant, c'est quand même efficace mais en ayant vu juste avant "In hell", je suis convaincu que l'association Ringo Lam - Jean-Claude Van Damme aurait pu être plus percutante avec un tel récit.
Le casting :
Sans surprise, Jean-Claude Van Damme (Garrotte / Le Replicant) porte le film sur ses épaules. Si je regrette le côté juvénile du Replicant, l'acteur m'a convaincu en tueur en série. Il est certes dans l'exagération mais il a une certaine prestance à l'écran et il fait un très bon psychopathe. Face à lui, Michael Rooker (Jake Riley) est pas mal du tout également. Le comédien tient bien sa caricature, il en fait peut-être parfois un peu trop mais c'est dans les échanges entre ses deux acteurs que le film a su me captiver.
La réalisation :
Elle est impeccable. Ringo Lam va a l'essentiel et fait du bon travail. Il n'innove rien de bien nouveau mais son divertissement est aussi efficace que prenant. A l'image de son scénario, je pense que le cinéaste aurait pu aller plus loin mais je me suis laissé prendre au jeu. Il ne manque vraiment pas grand-chose à ce projet mais ce fut plaisant à suivre avec très peu de temps mort. A cause du côté léger du Replicant et des traits parfois poussif de Jake, j'aurais aimé que Ringo Lam s'attarde davantage sur Garotte mais ça passe quand même.
Conclusion :
Je ne regrette vraiment pas l'achat de mon coffret bluray que j'ai pris pour ce "Replicant". L'association Jean-Claude Van Damme - Ringo Lam est payante même si je me suis davantage pris une claque avec "In hell". Ici, il manque un peu de noirceur au film mais j'ai quand même eu un long métrage qui m'a fait passé une bonne soirée malgré son côté classique et prévisible. Je le reverrais d'ailleurs avec plaisir.
Mr Vladdy - 2 février 2019.
Roub E.
Le film pour lequel JCVD a joué Neutral !! Cette phrase restée célèbre si on aime les Vandameries est finalement ce qui restera de cette série B pas assez mauvaise pour virer au Nanard et être drôle. C’est filmé avec les pieds, mêmes les High Kicks de Van Damme font peine à voir. La seule chose amusante du film est que la production n’est même pas arrivé à trouver une doublure avec la même coupe de cheveux que les muscles de Bruxelles pour faire illusion. Bref c’est mauvais mais pas assez pour être drôle.
Un JCVD (traumatisé durant son enfance) devenu Serial-Killer, avec un look d'enfer, totalement fou, qui s'en prend à de jeunes mamans... Son clone génétique, du même age, mais avec l'esprit et la maturité d'un enfant de 5 ans, et qui va se voir maltraité par l'inspecteur Riley (Michael Rooker) physiquement et psychologiquement... L'histoire est sombre mais les deux JCVD, bien qu'ayant des personnalités totalement opposées font écho l'un envers l'autre pour ne former qu'un... Bref, un film pas si con que ça, ou l'acteur Belge se montrera généreux avec son public: à la fois "gymnaste": il nous proposera entre autre son plus beau "grand écart", ainsi que de nombreuses scènes de karaté toujours bien réalisées (avec son fameux coup de pied retourné par exemple). Le tout avec 2 autres scènes d'action justes et prenantes. Le meilleur JCVD après "Chasse à l'Homme"
Alors au vu des notes globales on pourrait penser que replicant est une bouse et finalement non c'est une petite série b bien sympa avec un bon casting et un pitch original.
Le film est plutôt inspiré et les acteurs Van Damme en tête jouent bien avec un scénario des plus trépidants.
Cependant si il est intéressant le rythme lui est lent voire mou parfois et les scènes d'action pas si nombreuses sont bien filmées et lisibles mais sont peu inspirées mais restent divertissantes.
Finalement, on se retrouve avec un film d'action sympa regroupant un "gentil" van damme pour qui on arrive à avoir de l'affection sans un manichéisme poussé à l’extrême ( michael rooker joue un personnage qui évolue vraiment passant de anti-héros peu appréciable voire cruel à vraiment attachant).
Un film à regarder surtout si vous aimez van damme qui livre une prestation unique dans sa carrière même si les mawashigeri ne sont pas loin .
Le film est plutôt inspiré et les acteurs Van Damme en tête jouent bien avec un scénario des plus trépidants.
Cependant si il est intéressant le rythme lui est lent voire mou parfois et les scènes d'action pas si nombreuses sont bien filmées et lisibles mais sont peu inspirées mais restent divertissantes.
Finalement, on se retrouve avec un film d'action sympa regroupant un "gentil" van damme pour qui on arrive à avoir de l'affection sans un manichéisme poussé à l’extrême ( michael rooker joue un personnage qui évolue vraiment passant de anti-héros peu appréciable voire cruel à vraiment attachant).
Un film à regarder surtout si vous aimez van damme qui livre une prestation unique dans sa carrière même si les mawashigeri ne sont pas loin .
Quand Ringo Lam quitte Honk-Kong pour Hollywood, c'est globalement au détriment de son talent réel, quasiment toujours avec notre Jean-Claude national. Il est surprenant de constater tous ces réalisateurs talentueux venant d’Asie, se saborder chez les ricains (Tsui Hark en premier lieu)... Quand à ce "Replicant", que vaut-il vraiment ? J'avoue avoir été agréablement surpris par ce petit film. Déjà, pour une fois, JCVD peut se vanter d'un effort réel de jeu d'acteur, au delà de toutes mes espérances,.. Son binôme avec l’excellent Michael Rooker fonctionne très bien, ainsi que ses rôles de tueur sadique et son réplicant utilisé pour le traquer. En somme, une série B honnête qui se laisse regarder.
Un film d'action réalisé par Ringo Lam avec un Jean-Claude Van Damme étonnant !! "Replicant" est sortit en 2001 à l'époque ou Van Damme était "aware" devant les médias ou tout le monde se moquait de lui , pourtant ce long métrage a beaucoup de qualités mais il sera un échec dans les salles obscures. C'est dommage parce JCVD a un double role, l'un psychopate dérangé dont la police a crée un clone qui peut, avec l'aide d'un flic caractériel, lire dans les pensées du premier. Van Damme tueur en série, looké avec des cheveux mi longs et des lunettes noirs, fait peur et Van Damme le clone arrive dans un monde nouveau avec maladresse mais bon pour l'enquète et je dois avouer que c'est deux roles de compositions inédites que nous livre l'acteur Belge avec brio. La mise en scène de Ringo Lam est divertissante et nous offre une bonne série B honnète. Michael Rooker, un second couteau du cinéma Américain , est excellent en flic tenace. Pour les aficionados de JCVD qui ne seront pas déçus.
AMCHI
Je m'attendais à un meilleur film, ce Replicant n'a pas forcément une réputation désastreuse pour un JCVD en plus c'est Ringo Lam à la réalisation, réalisateur hongkongais plutôt doué toutefois ici il ne retrouve pas la virtuosité de ses films d'action précédents.
Donc je m'attendais à mieux dans les limites d'une série B divertissante mais la partie SF est assez foireuse, l'ambiance assez plate, le film se veut noir et il est gris de plus JCVD est peu convaincant en tueur fou mais plus par contre en clone benêt.
Niveau action Replicant se rattrape à peine avec des scènes de combats plaisants mais manquant d'originalité.
Donc je m'attendais à mieux dans les limites d'une série B divertissante mais la partie SF est assez foireuse, l'ambiance assez plate, le film se veut noir et il est gris de plus JCVD est peu convaincant en tueur fou mais plus par contre en clone benêt.
Niveau action Replicant se rattrape à peine avec des scènes de combats plaisants mais manquant d'originalité.
Il semblerait que le thème du dédoublement intéresse vraiment Jean-Claude Van Damme étant donné que notre pote belge s'était déjà dédoublé dans le film « Double Impact », qui rappelons-le, était un action movie au contenu hautement nanardesque mais réellement sympa si l'on parvenait à rentrer dans le délire. Dans « Replicant », bis répétita, deux Van Damme pour le prix d'un. L'un est tueur en série aux cheveux longs bête et méchant, ne s'attaquant qu'aux femmes célibataires et mère d'un enfant, l'autre est un clone, qui...comment dire...n'a pas toutes se facultés. « Replicant » est comme un symbole du paradoxe inhérent au cinéma. En effet, depuis ses débuts, Van Damme était le spécialiste des action movies karaté, enchaînant succès sur succès, et ce film de Ringo, aux moyens limités certes, mais beaucoup plus ambitieux fut un véritable four (du moins lors de sa sortie en France). Certes, il y a bien quelques scènes un peu ridicules, le propos (intéressant) n'est pas forcément fouillé, mais ces défauts ne font pas de « Replicant » une mauvaise œuvre. Loin de là. A voir. Même ceux qui n'aiment pas JCVD pourraient apprécier.
La force de REPLICANT: le contre emploi des acteurs principaux .Il s'en sortent très bien dans le contexte de ce thriller SF des années 90 .
C'est une série B oui mais avec le recul c'est beaucoup plus séduisant que beaucoup de blockbusters post 2010
les acteurs donnent tout : acting et cascades !
c est pas un chef d’œuvre mais c' est un joli Van Damme!
C'est une série B oui mais avec le recul c'est beaucoup plus séduisant que beaucoup de blockbusters post 2010
les acteurs donnent tout : acting et cascades !
c est pas un chef d’œuvre mais c' est un joli Van Damme!
Yannickcinéphile
Replicant est un Van Damme de qualité, profitant surtout d’une histoire assez originale, et d’un duo principal à la hauteur.
En effet la confrontation Van Damme-Rooker est bonne. Ce dernier est comme toujours très à l’aise dans les rôles musclé, un peu borderline parfois, et il se fait visiblement plaisir ici, face à un Van Damme, qui, et ce n’est pas la première fois, endosse deux rôles différents. Et très différents, c’est le cas de le dire. Il saura surprendre, surtout dans la peau du méchant, son deuxième rôle étant un peu « nunuche » parfois, et l’acteur n’ayant quand même pas la palette de jeu pour rendre réellement pertinent un tel rôle. Mais enfin, ça tient, et le film repose très largement sur leur confrontation, les autres acteurs étant un peu mis de côté.
Le scénario est efficace, et sait se montrer nerveux. Au final c’est un peu vide, et le film ressemble principalement à une traque émaillée de l’évolution du relationnel entre Van Damme et Rooker, mais c’est simple et efficace. On ne s’ennuie pas, le méchant très méchant offre des moments incisifs, et l’idée de base, originale, suffit à ouvrir des perspectives intéressantes pour un divertissement sans prétention.
Pour le reste Ringo Lam emballe bien son film, offrant quelques belles scènes d’action très proprement tournées. C’est le principal atout visuel du film, qui pour le reste assume un statut de série B certain, avec des décors de base, et un travail sur la photographie qui n’est pas tonitruant. En sommes je critiquerai quand même la relative absence d’ambiance prenante, et peut-être une certaine fainéantise sur la forme. Que l’on retrouve d’ailleurs dans la musique.
En clair Replicant n’est pas le film le plus connu de Van Damme mais c’est un cru très honorable. C’est sans grande profondeur certes, mais ce que l’on peut demander à ce genre de film d’action c’est d’être prenant et de nous conduire sans déplaisir jusqu’à son terme. Il le fait, 3.5.
En effet la confrontation Van Damme-Rooker est bonne. Ce dernier est comme toujours très à l’aise dans les rôles musclé, un peu borderline parfois, et il se fait visiblement plaisir ici, face à un Van Damme, qui, et ce n’est pas la première fois, endosse deux rôles différents. Et très différents, c’est le cas de le dire. Il saura surprendre, surtout dans la peau du méchant, son deuxième rôle étant un peu « nunuche » parfois, et l’acteur n’ayant quand même pas la palette de jeu pour rendre réellement pertinent un tel rôle. Mais enfin, ça tient, et le film repose très largement sur leur confrontation, les autres acteurs étant un peu mis de côté.
Le scénario est efficace, et sait se montrer nerveux. Au final c’est un peu vide, et le film ressemble principalement à une traque émaillée de l’évolution du relationnel entre Van Damme et Rooker, mais c’est simple et efficace. On ne s’ennuie pas, le méchant très méchant offre des moments incisifs, et l’idée de base, originale, suffit à ouvrir des perspectives intéressantes pour un divertissement sans prétention.
Pour le reste Ringo Lam emballe bien son film, offrant quelques belles scènes d’action très proprement tournées. C’est le principal atout visuel du film, qui pour le reste assume un statut de série B certain, avec des décors de base, et un travail sur la photographie qui n’est pas tonitruant. En sommes je critiquerai quand même la relative absence d’ambiance prenante, et peut-être une certaine fainéantise sur la forme. Que l’on retrouve d’ailleurs dans la musique.
En clair Replicant n’est pas le film le plus connu de Van Damme mais c’est un cru très honorable. C’est sans grande profondeur certes, mais ce que l’on peut demander à ce genre de film d’action c’est d’être prenant et de nous conduire sans déplaisir jusqu’à son terme. Il le fait, 3.5.
Replicant : Un thriller d’action des plus efficace et prenant avec un scénario original et un Jean-Claude Van Damme des plus impeccable. Vraiment, c’est une bonne surprise grâce déjà à son idée de départ qui est bien trouvée et qui est bien soutenu du bout en bout. Car, JCVD joue dans les deux camps : c’est un tueur en série de femme mais aussi un pyromane. Il est poursuivie pas un flic a la retraite et lors de leurs dernières course poursuite, des agents spéciaux retrouvent de l’ADN du meurtrier et décide de le cloné afin que son double le retrouve : comme il pense comme lui, a les mêmes souvenir… Donc voila, franchement, l’histoire tiens la route et il y a un bon développement des personnages, surtout au niveau de leurs psychologies. Car, on va voir l’évolution du double qui est au début comme un bébé et qui est traité comme un chien par le flic. Et on aperçoit que petit à petit, il apprend et devint plus humain que les autres. D’ailleurs, l’interprétation de JCVD est surprenante de justesse quand il est le clone : on aurait pitié pour ce personnage ; vraiment excellent double rôle pour lui. Et les autres acteurs sont aussi bon quoique un peu caricaturé : flic méchant… Et pour finir, la réalisation est très bonne car elle profite de plans larges et de scènes d’action bien chorégraphiés et efficaces ; mêmes si des fois, on voit les doublures. Donc voila, un agréable surprise ce divertissement.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse