Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
C'est la vie mérite son titre. Lumineux comme le sourire de Sandrine Bonnaire, puissant comme l'immense talent de Jacques Dutronc, qui trouve ici l'un de ses plus grands rôles, c'est un film - osons ce mot qui n'existe pas - sensiblissime.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cine Libre
par Maureen Loiret
Un peu de peps donne du sens à la vie... la mort aussi? Un formidable duo interprète ce thème audacieux.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Servie par une mise en scène apaisante, cette philosophie du bien mourir, en s'ajoutant au caractère nécessairement programmatique de son intrigue, confère au film d'Améris une sorte de perfection déterministe qui semble faire de la mort l'équivalent métaphysique du happy end hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Edouard Waintrop
Evidemment, le sujet saisit le spectateur, risque même de le mettre KO. Mais Améris n'oublie jamais la mise en scène. Il filme les relations qui se nouent, les soins, la douleur aussi, avec sensibilité, soigne les détails, l'espace, les personnages et les anecdotes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Les deux acteurs, excellents et crédibles de bout en bout, forment l'un des plus beaux duos du cinéma français de ces dernières années, dont la complicité évidente frise le génie. Un petit bonheur, auquel il faut ajouter la performance d'Emmanuelle Riva et la réalisation élégante d'Améris, qui permet d'oublier les longueurs d'un scénario somme toute assez prévisible.
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Pierre Améris arrive à montrer plutôt bien cet entre-deux, où la vie et la mort cohabitent, propice à l'irruption de sentiments imprévus, à l'introspection et pourquoi pas à un dépassement de soi (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Elysabeth François
C'est la vie sent (...) le mélo à plein nez avec prise en otage du spectateur de rigueur. Pourtant, ce n'est pas cet aspect là qui gêne le plus mais bien plutôt le manque d'ambition de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Positif
par Grégory Valens
(...) un film hybride devant lequel le spectateur passe en permanence de l'inconfort à la lassitude, de l'émotion au désintérêt.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Le point de vue d'Améris n'est jamais celui du malade, toujours celui de l'hôpital, comme si cette altérité (un homme sachant qu'il va mourir) lui faisait peur. Elle était pourtant le vrai sujet du film.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Véronique Le Bris
Jacques Dutronc, en solitaire récalcitrant, est très attachant; Sandrine Bonnaire, lumineuse et bouleversante. Mais ni l'un ni l'autre ne sont servis par des dialogues souvent abrupts, maladroits. Leur duo d'acteurs reste toutefois éclairé de vrais moments de complicité, même si la caméra manque de retenue, surtout avec les autres malades, pour défendre avec finesse un sujet si délicat.
Aden
par Philippe Piazzo
L'humanisme est martelé jusqu'à la nausée : bons sentiments, compassion, (...) Le plus gênant -un comble-, ce sont les comédiens... excellents ! Dutronc a quelques moments qui arrachent les larmes. Et on a honte. Vraiment honte d'être ému par un film qui accumule les procédés factices (...) Honte que l'on joue devant nous la comédie de la vie et de la mort, chaussant de si gros sabots
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Bernard Achour
Difficile (...) de trouver plus à côté de la plaque que ce catalogue d'agonies tout droit sorti d'un casting pour Ca se discute et feuilleté en images tellement élégantes qu'elles en deviennent obscènes ou risibles selon l'humeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Virginie Apiou
Améris (...) s'empêtre (...) dans ces trames, principale ou secondaires, sans parvenir jamais à instaurer la tension viscérale inhérente à un tel sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
C'est la vie mérite son titre. Lumineux comme le sourire de Sandrine Bonnaire, puissant comme l'immense talent de Jacques Dutronc, qui trouve ici l'un de ses plus grands rôles, c'est un film - osons ce mot qui n'existe pas - sensiblissime.
Cine Libre
Un peu de peps donne du sens à la vie... la mort aussi? Un formidable duo interprète ce thème audacieux.
Le Monde
Servie par une mise en scène apaisante, cette philosophie du bien mourir, en s'ajoutant au caractère nécessairement programmatique de son intrigue, confère au film d'Améris une sorte de perfection déterministe qui semble faire de la mort l'équivalent métaphysique du happy end hollywoodien.
Libération
Evidemment, le sujet saisit le spectateur, risque même de le mettre KO. Mais Améris n'oublie jamais la mise en scène. Il filme les relations qui se nouent, les soins, la douleur aussi, avec sensibilité, soigne les détails, l'espace, les personnages et les anecdotes.
MCinéma.com
Les deux acteurs, excellents et crédibles de bout en bout, forment l'un des plus beaux duos du cinéma français de ces dernières années, dont la complicité évidente frise le génie. Un petit bonheur, auquel il faut ajouter la performance d'Emmanuelle Riva et la réalisation élégante d'Améris, qui permet d'oublier les longueurs d'un scénario somme toute assez prévisible.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pierre Améris arrive à montrer plutôt bien cet entre-deux, où la vie et la mort cohabitent, propice à l'irruption de sentiments imprévus, à l'introspection et pourquoi pas à un dépassement de soi (...)
Chronic'art.com
C'est la vie sent (...) le mélo à plein nez avec prise en otage du spectateur de rigueur. Pourtant, ce n'est pas cet aspect là qui gêne le plus mais bien plutôt le manque d'ambition de la mise en scène.
Positif
(...) un film hybride devant lequel le spectateur passe en permanence de l'inconfort à la lassitude, de l'émotion au désintérêt.
Urbuz
Le point de vue d'Améris n'est jamais celui du malade, toujours celui de l'hôpital, comme si cette altérité (un homme sachant qu'il va mourir) lui faisait peur. Elle était pourtant le vrai sujet du film.
Zurban
Jacques Dutronc, en solitaire récalcitrant, est très attachant; Sandrine Bonnaire, lumineuse et bouleversante. Mais ni l'un ni l'autre ne sont servis par des dialogues souvent abrupts, maladroits. Leur duo d'acteurs reste toutefois éclairé de vrais moments de complicité, même si la caméra manque de retenue, surtout avec les autres malades, pour défendre avec finesse un sujet si délicat.
Aden
L'humanisme est martelé jusqu'à la nausée : bons sentiments, compassion, (...) Le plus gênant -un comble-, ce sont les comédiens... excellents ! Dutronc a quelques moments qui arrachent les larmes. Et on a honte. Vraiment honte d'être ému par un film qui accumule les procédés factices (...) Honte que l'on joue devant nous la comédie de la vie et de la mort, chaussant de si gros sabots
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Difficile (...) de trouver plus à côté de la plaque que ce catalogue d'agonies tout droit sorti d'un casting pour Ca se discute et feuilleté en images tellement élégantes qu'elles en deviennent obscènes ou risibles selon l'humeur.
Première
Améris (...) s'empêtre (...) dans ces trames, principale ou secondaires, sans parvenir jamais à instaurer la tension viscérale inhérente à un tel sujet.