Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Suri Krishnamma a su traduire les souffrances et les fragilités d'adolescents meurtris par un drame qui les dépasse... Un ton et beaucoup d'originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Un Eté pour tout vivre ferait presque figure d'ovni. Sans opter pour un ton particulier, le film de Suri Krishnamma est une sensible évocation du mal-être adolescent parfois juste mais, hélas, parfois aussi plombée par un impardonnable penchant pour l'esbroufe.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Catherine Deydier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
par Katrin Betz
(...) une étude de classe passionnante. Une évocation émouvante de deux destins singuliers.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette crise d'adolescence «en accéléré» balance entre folie fougueuse et désordre dépressif, mais s'égare parfois dans le comique facile (...). Même si le film manque de style, ce qui affleure de l'expérience dure et exaltante de l'«âge tendre» est juste et ressenti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Est-ce une longue plainte sur l'isolement de la jeunesse, sur la difficulté de faire son deuil ? Une mise en garde contre les comportements nihilistes ? Le portrait d'une société minée par la fracture sociale et le conservatisme... ? Le film hésite, sans conviction.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film faux cul, qui tempère les actes provocateurs par de longues séances de psychodrame où les héros, battant leur coulpe, s'auto-flagellant, s'avèrent aussi moralisateurs que leurs parents obtus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Elodie Lepage
On est en plein dans le mauvais cinéma d'ado. Les cheveux ne sont plus longs, mais les idées toujours aussi courtes. Et noires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Censément dédié à la révolte et au nihilisme adolescents, le film de Suri Krishnamma, stupéfiant de laideur, de fausseté et de complaisance, parvient seulement, mais non moins intégralement, à en célébrer la bêtise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) ce film montagnes russes semble avoir été conçu par un cerveau carburant aux amphés, alternant periodes d'exubérance loufoque et crises de déprime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Le réalisateur pose avec aplomb la judicieuse question de la culpabilité. Comment faire face au chagrin, au deuil et à la perte de l'innocence ? Malheureusement, trop souvent au cours de cette chronique adolescente à la fois poétique et morbide, il se fourvoie dans l'esbroufe et l'anecdotique.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Vincent Malausa
(...) la mise en scène formatée BBC, le déferlement de tubes, le style insupportablement clean des deux adolescents servent ainsi de friche esthétique pour développer une succession de déjà-vus outrageusement opportunistes.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaroscope
Suri Krishnamma a su traduire les souffrances et les fragilités d'adolescents meurtris par un drame qui les dépasse... Un ton et beaucoup d'originalité.
Chronic'art.com
Un Eté pour tout vivre ferait presque figure d'ovni. Sans opter pour un ton particulier, le film de Suri Krishnamma est une sensible évocation du mal-être adolescent parfois juste mais, hélas, parfois aussi plombée par un impardonnable penchant pour l'esbroufe.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
(...) une étude de classe passionnante. Une évocation émouvante de deux destins singuliers.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Cette crise d'adolescence «en accéléré» balance entre folie fougueuse et désordre dépressif, mais s'égare parfois dans le comique facile (...). Même si le film manque de style, ce qui affleure de l'expérience dure et exaltante de l'«âge tendre» est juste et ressenti.
Aden
Est-ce une longue plainte sur l'isolement de la jeunesse, sur la difficulté de faire son deuil ? Une mise en garde contre les comportements nihilistes ? Le portrait d'une société minée par la fracture sociale et le conservatisme... ? Le film hésite, sans conviction.
L'Humanité
Un film faux cul, qui tempère les actes provocateurs par de longues séances de psychodrame où les héros, battant leur coulpe, s'auto-flagellant, s'avèrent aussi moralisateurs que leurs parents obtus.
L'Obs
On est en plein dans le mauvais cinéma d'ado. Les cheveux ne sont plus longs, mais les idées toujours aussi courtes. Et noires.
Le Monde
Censément dédié à la révolte et au nihilisme adolescents, le film de Suri Krishnamma, stupéfiant de laideur, de fausseté et de complaisance, parvient seulement, mais non moins intégralement, à en célébrer la bêtise.
Les Inrockuptibles
(...) ce film montagnes russes semble avoir été conçu par un cerveau carburant aux amphés, alternant periodes d'exubérance loufoque et crises de déprime.
MCinéma.com
Le réalisateur pose avec aplomb la judicieuse question de la culpabilité. Comment faire face au chagrin, au deuil et à la perte de l'innocence ? Malheureusement, trop souvent au cours de cette chronique adolescente à la fois poétique et morbide, il se fourvoie dans l'esbroufe et l'anecdotique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
(...) la mise en scène formatée BBC, le déferlement de tubes, le style insupportablement clean des deux adolescents servent ainsi de friche esthétique pour développer une succession de déjà-vus outrageusement opportunistes.