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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 décembre 2011
John Carpenter est pour moi un très grand cinéaste du genre ( fantastique, horreur et autres .... ) Ce film est pour moi un très grand filmes culte avec es scènes angoissante !! John Carpenter ( The Thing , New York 1997 , Fog et le cultisme Halloween, la nuit des masques ) !! Pour en revenir a ce filme , on y retrouve l'acteur Donald Pleasence qui a jouée dans la saga Halloween commencée par John Carpenter !! John Carpenter est un excellent compositeur !!! L'ambiance du film est effrayantes voir stressantes !!!! Les effets spéciaux sont très bien réussis voir excellent a couper le souffle , la réalisation est efficace et Carpenter nous montre qu'il n'as rien perdu de son talent de réalisateur , le scénario est franchement excellent , des acteurs et des actrices excellent , tous trouvent leurs places et chacun d'entre eux jouent leurs rôle a la perfection ! ce film nous angoisse du début jusqu’à a la fin , une fin qui laisse sans réponses , le film nous scotche au fauteuil et on nage en plein dans et on ne voit pas le temps passée !!! On ne s'ennuie pas C'est un film à voir absolument Ce film est un excellent divertissement Le film s'avère passionant et plein de rebondissements Le film est esthétiquement parfait Un bon film qu'il faut aller voir à tout prix Ce film est un chef-d’œuvre C'est un exellent film, un film génial, un film original, c'est un film super !!! Film a voir et a revoir Bon film dans l'ensemble !!!
Tourné pour trois millions de dollars, le film se révèle excellent à tous les niveaux. John Carpenter excelle à la mise en scène et les effets spéciaux sont vraiment térrifiants. Et puis bon, cela fait plaisir de revoir Donald Pleasance dans un de ses très beaux rôles.
Déroutant, ahurissante... Il est probable que ce "Prince des Ténèbresé aura de quoi en décontenancer quelques-uns. Et pourtant, si l'on arrive à rentrer dans ce délectable univers qu'est celui de John Carpenter, on ne pourra que se délecter devant un tel régal. Car contrairement à ce qu'elle pourrait paraître au premier abord, cette oeuvre n'est en rien une oeuvre manichéenne ou à prendre au premier degré. Elle est au contraire un immense terrain d'expérimentations aussi bien visuelles que scénaristiques, mélangeant avec une élégance et un bonheur rare les genres. Comédie, film d'horreur, fantastique... On ne sait au fond pas vraiment comment qualifier le film, et c'est également cela qui le rend d'autant plus fascinant. Que ce soit par la petite communauté obligé de cohabiter (église et scientifique, adultes et adolescents) ou par le mauvais gout assumé à 100% par Carpenter dans certaines scènes, le plaisir est vraiment total. On pourrait alors crier à la série Z quant aux différentes morts qui rythment ce film, mais ce serait mal comprendre cet aspect volontairement revendiqué de ces séries B que Carpenter semblent tant aimer. Enfin, c'est aussi et surtout cet aspect faussement premier degré qui nous ravit au plus haut point. En effet, tout semble tellement noir, tellement traité sérieusement que cela ne peut évidemment pas être le cas, le film n'en devenant alors qu'encore plus admirable. Bref, du cinéma fantastique brillant, incroyablement personnel et réjouissant de la première à la dernière minute... Que demander de plus? Un must absolu.
Apres quelques échec, Carpenter avait du revenir vers un cinéma plus simple avec des budgets moins importants mais il n'en resta pas moins prolifique et continua de proposer du cinéma de grande qualité avec ce "Prince des ténèbres" qui emprune tout autant au cinéma d'horreur qu'à la physique. Tourné dans les faubourgs de Los Angeles pour quasiment rien, le film est un pur moment d'ambiance dépassant les archétypes pour mieux se poser comme une oeuvre apocalyptique ( c'est d'ailleurs le 2émé volet de la trilogie apocalyptique de Big John) de premier choix transcendé par sa réalisation avec cerise sur le gateau, la musique cultissime de Carpener himself. Côté casting, il ne manque de Kurt Russell et on aurait pu faire un best-off avec au choix Denni Dunn, Victor Wong et évidemment Victor Pleasance.
Juste après l'échec commercial des "Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin", John Carpenter décide de tirer parti au maximum de son petit budget pour réaliser ce film, peut-être l'un de ses plus terrifiants. Le réalisateur est très à l'aise et parvient à créer, avec un minimum de budget, une atmosphère angoissante dont lui seul a le secret. Même si "Prince des ténèbres" frise parfois la série Z à quelques moments, la sincérité de Carpenter quant à sa démarche est telle qu'on peut le lui pardonner. Il faut dire que ce huis-clos au sein d'une église contenant un mystérieux liquide vert devient très vite angoissant et mystérieux pour virer ensuite vers le grand-guignol totalement assumé par le réalisateur. Les décors sont soignés, la musique donne tout de suite le ton et la mise en scène distille sans cesse un sentiment de malaise grandement renforcé à chaque fois que survient une mort dans le film. Le casting, mené par un excellent Donald Pleasence, est de qualité.
Ce que c'est KITSCH et ce que c'est bon ! 25 ans plus tard ce film aux moyens financiers limités surprend et reflète toute l'ambiance que J. Carpenter '"le maître de l'horreur" arrivait à insuffler à ses films. Une ambiance et une musique si particulière (composée par the master himself) qui font de ce film une référence pour moi dans le Cinéma d'angoisse de Carpenter avec The Thing et NY 1997.
Suite aux déboires que John Carpenter a connu avec Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du Mandarin où une grande partie du film lui a échappé à cause de la main mise de la production, il décide de réaliser un film fantastique où la production lui donne carte blanche. C'est ainsi que le Prince des ténèbres porte la marque au début du film John Carpenters' symbole de son statut de cinéaste indépendant. Le Prince des ténèbres brasse les thèmes et les ambiances que Carpenter a déjà expérimenté au cours de sa carrière: l'existence du mal (Halloween) et la contamination des personnages par celui-ci (The thing). La dimension "Carpenter" se fait sentir d'emblée avec la musique aux notes disparates et aux teintes électroniques magnifiquement composée par Carpenter lui-même comme toujours. Donald Pleasance joue une nouvelle fois pour le réalisateur de Halloween, portant l'habit d'un prêtre et se prénomme père Loomis (clin d'oeil à son film star). Tout les éléments sont réunis pour faire du Prince des Ténèbres un nouveau long-métrage qui fera date dans la filmo de Carpenter et l'histoire du cinéma fantastique. Carpenter, depuis un certain nombre d'année s'intéresse à la physique quantique et à la création de l'univers, thème qu'il va développer au cours de son film avec une grande maîtrise. C'est ainsi, qu'il va élaborer la création de l'anti-dieu, qui n'est pas le diable, mais bien l'effet miroir de dieu lui-même. C'est une sorte de métaphore des thèses physiques sur la matière et l'anti-matière. Carpenter profite de son film pour décrire un combat perpétuel entre la science et la religion (Père Loomis VS professeur Birack), débat auquel Carpenter ne semble pas prendre parti malgré une phrase assassine que balance le professeur à l'homme d'église:"Continuer à faire ce que vous faites, vous mentez bien depuis 2000ans". Ici, l'enjeu majeur du récit n'est pas de critiquer ou de dénoncer, mais d'explorer les doutes qui se mettent en place au fur et à mesure du récit pour chacun des personnages repoussant continuellement leurs croyances respectives. Carpenter profite de sa liberté créatrice donnée par la prod' pour aller jusqu'au bout de ses idées visuelles, dressant un film particulièrement sombre et brutal. Le film est réellement plaisant à voir, notamment par rapport aux échecs artistiques de certains des derniers Carpenter comme Ghost of mars et Vampire.
John Carpenter signe certainement son oeuvre la plus personnelle tant ses thèmes de prédilection trouve son apogée : cadre spatio-temporel limité, état de siège, contamination, Mal indistinct... Un Mal indistinct mais qui a un poids indégnable sur l'ensemble du film par le siège, le son et les plans qui suggèrent tous une menace fantôme. D'ailleurs, les scènes les plus captivantes sont celles où les personnages ne font que parler du Mal. Il ne s'agit que d'un avant-goût du Mal mais qui génère une angoisse générale. Puis quand la matérialisation commence, on a une humanité qui s'éteint dans des scènes de tension incroyables (ça reste un film d'horreur, je vous rassure !). Le film est d'ailleurs une véritable théorisation de la terreur avec les tentatives d'explications infructueuses de l'homme de foi et l'homme de science. Jamais le Mal n'a été aussi palpable (touchez le miroir) que dans PRINCE DES TENEBRES qui nous offre, en nous montrant le moins possible, la plus terrifiante des apocalypses qui nous marque inévitablement.
Une nouvel fois, essai transformé pour Carpenter dans cette série B tendue comme un string taille 38 sur Maité. Horreur et métaphysique, Prince des ténèbres est le second maillon de la trilogie de l'apocalypse de Big John. Des effets simples, mais personne ne sait mieux instaurer la terreur que Carpenter par le pouvoir des images et des plans. Une série B qui vaut toutes les A.
Le rythme est trop saccadé : tantôt du suspense, tantôt des passages prolixes. Les effets vidéos et trucages sont à la limite du kitsch. Et je n'ai pas apprécié le fait que l'hisoire reste cantonné en un lieu alors que le Prince des Ténebres menace la Terre entière, mais bon... c'est une question de budget, qui, ici, est très restreint (3 000 000 $) ; et ça, j'admet que c'est une belle performance !
Etant un enorme fan de big John,ce film est peut etre mon préferé dans sa filmographie,mais avec Halloween,The thing,l'antre de la folie,New-york1997... j'avoue que j'ai du mal a choisir! Pour revenir au film,que j'ai vu a l'époque sur la défainte 5,rien n'est a jeter meme s'il a quelque peu vieillit.La musique,les décors,une ambiance de malade,le tout avec un budget ridicule font de ce film un chef d'oeuvre du genre et pourtant méconnu du grand public.J'espère vraiment que Carpenter retrouvera un jour,l'inspiration qui lui a permit de réaliser des films comme celui-ci...
Avec Prince des Ténèbres, Carpenter remonte à sa source, s’interroge sur l’origine du Mal et la matière qu’il revêt, qu’il incarne. Car l’homme n’est qu’un intermédiaire agissant, qu’un corps à posséder ; ainsi le réalisateur descend-il en lui et affirme – telle est sa thèse – que le Mal absolu réside dans les tréfonds de l’âme humaine et est d’essence spirituelle. Après l’incarnation (Halloween), la malédiction (The Fog), la folie (L’Antre de la folie), l’autodestruction technologique (Dark Star), voici venir le Mal considéré comme puits de réflexion philosophique et scientifique. L’œuvre se construit dans une esthétique en miroir où les polarités bien/mal, sacré/profane se retrouvent inversées : Christ noir, Antéchrist en somme, Prince des Ténèbres – pas de déterminant, c’est un nom propre – naît de notre reflet, de la conscience qu’a l’homme d’agir et de pouvoir choisir, en somme, comment. L’église perd ainsi sa dimension protectrice pour se muer en laboratoire des horreurs ; l’expérience se transforme en siège où la paranoïa se répand par un flux, un flux que l’on se transmet de bouche à bouche tel l’amour telle la parole prêchée par l’homme auto-consacré. Prince des Ténèbres réverbère l’orgueil humain dans sa vaste grammaire horrifique dans laquelle la musique électronique faite de sons dissonants intervient comme une ponctuation. Tout est dans le miroir : l’homme et son reflet donc son infatigable soif de perfection, d’Idéal, de pouvoir. En dépit de quelques longueurs et de théories scientifiques appuyées de manière balourde, le film sonne comme l’œuvre de Carpenter la plus humaine dans l’inhumain, tend au spectateur le miroir de son propre Néant face auquel il ne peut que se révolter, en vain. La clef de ce labyrinthe ? Le doute, ce doute catégorique qui nous permettra de rejeter les modèles de réalité imposées pour mieux en épouser les sinuosités, aussi vertigineuses soient-elles.
Grand classique de Carpenter. Retour aux côtés plus underground. Le film en demeure plus efficace. Très oppressant et stressant par son atmoshère super froide. Bien filmé, bien fignolé, photographie granuleuse, on regrette juste quelques acteurs en petite forme. J'ai adoré l'apparation d'Alice cooper! Un excellent Carpenter du moins! À ne pas manquer!
Second volet de la trilogie de l'apocalypse de Carpenter, Prince des ténèbres est en général perçu comme le plus mineur des trois film. A mon sens, il égale les deux autres. Certes, les effets spéciaux sont d'une ringardise extrême, mais peu importe, Carpenter reste le maître du huis-clos et on reste scotché à son fauteuil. Et puis comme pour les deux autres chapitres (The thing et l'Antre de la folie), la fin est un summum!