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(...) le plus beau dans tout ça, c'est que Solondz ne filme pas en vain et qu'il tient compte, contre toute attente, des leçons de son long métrage. Au lieu de poursuivre le jeu de massacre jusqu'au bout, il nous offre un final sobrement émouvant, révélant in extremis l'humanité de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
En moins d'une heure et demie, Storytelling fait surgir plus d'idées que la quasi-totalité de la production hollywoodienne des derniers mois. De cette moisson on retiendra la question, clairement posée, de la haine que les Etats-Unis suscitent hors de leurs frontières.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'univers de Solondz s'attache aux déceptions, aux frustrations, aux incompréhensions, voire à l'incommunicabilité des êtres. Certes, on n'est pas chez Antonioni, mais l'univers corrosif de Solondz fait mouche.
Cinéaste manipulateur, adolescents teubés, enfant surdoué et sadique (les scènes entre le petit frère et Consuelo, la gouvernante salvadorienne, sont des modèles de cruauté), personne n'échappe au jeu de massacre orchestré par Todd Solondz jusqu'à l'épilogue dont la noirceur recèle paradoxalement un tout petit coin de ciel bleu dans un film où on rit souvent, jaune, toujours.
Moins immédiatement séduisant que ses deux prédécesseurs, Storytelling s'avère pourtant très drôle (dans le genre humour lugubre) et furieusement dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Filmer la laideur du monde avec autant de désinvolture et de nonchalance n'a rien d'admirable ou de grand (on est très loin des frères Coen), mais chaque plan, chaque mouvement de caméra a quelque chose de suffisamment précis – voir encore la lenteur exacerbée des scènes de repas montrant chaque membre de la famille dans toute sa vanité de représentation – pour, dans une sorte d'élégance triviale, emporter le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
Storytelling est un petit chef-d'oeuvre de critique sociale. Trônant en son centre, notre humanité telle qu'elle est.
Chronic'art.com
(...) le plus beau dans tout ça, c'est que Solondz ne filme pas en vain et qu'il tient compte, contre toute attente, des leçons de son long métrage. Au lieu de poursuivre le jeu de massacre jusqu'au bout, il nous offre un final sobrement émouvant, révélant in extremis l'humanité de ses personnages.
Cine Libre
L'Amérique de Todd Solondz est laide. Le trait n'est jamais appuyé, ce qui a tendance à la rendre supportable. Presque attachante.
Le Monde
En moins d'une heure et demie, Storytelling fait surgir plus d'idées que la quasi-totalité de la production hollywoodienne des derniers mois. De cette moisson on retiendra la question, clairement posée, de la haine que les Etats-Unis suscitent hors de leurs frontières.
Les Inrockuptibles
Avec Storytelling, Todd Solondz poursuit sa satire au vitriol des valeurs américaines dominantes, avec un humour aussi efficace que malaisant.
Libération
On rit très jaune. Mais on rit beaucoup. Et on avale la leçon: avant de raconter des histoires aux autres, mieux vaut ne pas s'en raconter à soi-même.
MCinéma.com
L'univers de Solondz s'attache aux déceptions, aux frustrations, aux incompréhensions, voire à l'incommunicabilité des êtres. Certes, on n'est pas chez Antonioni, mais l'univers corrosif de Solondz fait mouche.
Ouirock.com
Cinéaste manipulateur, adolescents teubés, enfant surdoué et sadique (les scènes entre le petit frère et Consuelo, la gouvernante salvadorienne, sont des modèles de cruauté), personne n'échappe au jeu de massacre orchestré par Todd Solondz jusqu'à l'épilogue dont la noirceur recèle paradoxalement un tout petit coin de ciel bleu dans un film où on rit souvent, jaune, toujours.
Première
Moins immédiatement séduisant que ses deux prédécesseurs, Storytelling s'avère pourtant très drôle (dans le genre humour lugubre) et furieusement dérangeant.
Télérama
Pour Todd Solondz, la cruauté est universelle. Une démonstration efficace à l'humour grinçant.
Urbuz
Filmer la laideur du monde avec autant de désinvolture et de nonchalance n'a rien d'admirable ou de grand (on est très loin des frères Coen), mais chaque plan, chaque mouvement de caméra a quelque chose de suffisamment précis – voir encore la lenteur exacerbée des scènes de repas montrant chaque membre de la famille dans toute sa vanité de représentation – pour, dans une sorte d'élégance triviale, emporter le morceau.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Cruel, parfois drôle mais aussi obscène, bref, surdosé, le dernier Solondz fait plus que déranger.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Le réalisateur d'Happiness n'a rien perdu de son mordant : un humour acide préside à ce diptyque interrogeant la question du récit.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr