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Un visiteur
5,0
Publiée le 2 juin 2010
Un chef d'oeuvre de la science-fiction des années 60, un vrai diversement dédié à la gloire de son aventurière aux formes graciles et généreuses. Des effets-spéciaux qui n'ont (presque) pas vieillis! Un film à prendre au second degré faisant constamment subtilement (ou non) référence aux sexes et à la pornographie. Dur pur géni (ou pas) !
J’ai trouvé ce film qui n’a pas plus d’ambition qu’une série Z de science fiction par beaucoup de petits éléments très divertissant, bien entendu la magnifique Jane Fonda quand on connaît l’histoire de la réalisation du film on sait que cela aurait pu être Brigitte Bardot, derrière l’apparence érotique du film se cache une pate de réalisation très funk avec des décors exubérants, une ambiance de libération sexuelle propre à la période de la sortie du film en tant que film culte je le garderai dans ma collection
Barbarella est l'adaptation cinématographique de la bande dessinée française de Jean-Claude Forest. Cette héroïne de science-fiction incarne la femme moderne, sexuellement libérée et Barbarella sera d'ailleurs la première BD érotique. Roger Vadim choisit sa femme de l'époque, Jane Fonda, pour interpréter ce rôle qui lui va comme un gant. Ce qui est frappant dans ce film, c'est son caractère insolite et totalement débridé. Tout d'abord, sur le plan érotique. Dès le générique d'entrée, on a le droit a un strip tease de la belle Jane. Les armes que Barbarella utilise sont en forme d'accessoires sexuels. Dans le futur, les Terriens font l'amour avec des pilules (scène plus ou moins reprise dans Demolition Man), presque sans aucun contact physique, mais sur une planète extraterrestre, l'héroïne découvre l'amour "bestial". Enchantée de cette découverte, elle n'hésitera pas à pervertir un ange. Les adversaires de Jane Fonda lui font subir des tortures un peu spéciales, comme le Docteur Duran Duran avec sa machine excessive Orgasmotron. Sur d'autres plans, l'image de l'enfant innocent est rompue avec une troupe de mioches armée de poupées carnivores. Si Barbarella nous séduit par cet aspect sulfureux et provocateur, les effets spéciaux de piètre facture dévalorisent l'ensemble du film. Dans son vaisseau spatial à deux francs recouvert de moquette poilue façon seventies, le kitsch est à l'honneur. À la limite, cela donne un charme supplémentaire au film, quasi-parodique. Mais les décors extérieurs font vraiment mal aux yeux. En somme, un film frais et original, sensuel et drôle, qui vous fera parfois mal aux yeux et d'autres fois vous fera beaucoup de bien! Un film qui mériterait bien un remake, qu'on attend toujours puisque Robert Rodriguez semble avoir abandonné ce projet pour celui de Sonia La Rousse (plus connu en France sous le nom de Kalidor)...
Un chef d'œuvre de science-fiction et d'érotisme. Jane Fonda est sublime dans le rôle de Barbarella. Une excellente adaptation de la bande dessinée érotique de Jean-Claude Forest. Ce film est réalisé par le légendaire Roger Vadim.
Psychédélique, hilarant, dépaysant, original, une oeuvre inoubliable, un pur moment de plaisir pour tout cinéphile qui se respecte. Attention, ne pas prendre au premeier degré.
Je mets 3 étoiles car replacé dans le contexte de l'époque (les années 60), ce film s'avère extrêmement audacieux et innovant. Bien sûr, dans le contexte actuel, il pourrait passé comme un vulgaire film de série Z. Le kitch exacerbé de ce film lui confère beaucoup de charme et c'est particulièrement Jane Fonda, dans son rôle d'ingénue sexy, qui rend ce film très "frais" et amusant à regarder. Je suis sûr que ce film complètement décallé et erotico-mystique a notamment inspiré plusieurs réalisateurs dans leurs oeuvres (Terry Gilliam, Tim Burton...). Les "seconds couteaux" du film sont tous assez caricaturaux et délirants (l'ange, le professeur Ping, le révolutionnaire...) et bon nombre de situations du film s'avèrent assez cocasses (faire l'amour avec une pillule, la chambre aux orgasmes...). Ce film qui représente à sa manière la révolution sexuelle des années 60 nous permet de passer un moment assez agréable et détendant!
une bande son qui fait mal aux tympans, des décors qui piquent les yeux, un scénario absent, des dialogues navrants, un jeu d'acteur affligeant, ... Certains diront que tout ça fait le charme du film, pour ma part je me suis ennuyé. Ce ne serait pas Roger Vadim, je ne sais pas si ce film serait considéré comme un classique. Même en le replaçant dans le contexte de l'époque je ne vois pas l'intérêt du film.
Génialement kitchisme, c'est un ovni cinématographique, a voir absolument... (bon par contre le "sexisme" de la fin des années 60 ce fait clairement ressentir)
Nanard fauché à la française ? il fallait que Roger Vadim notre réalisateur amoureux de la plastique des femmes réalise la space-operette qui manquait à sa filmographie. Erotique chic, Jane Fonda est tout aussi splendide que mauvaise actrice. Kitsch époque Beatles un film délicieux. au delà du nanard.
Au début, on croit à une blague. La médiocrité des décors, la banalité de l'intrigue, la pauvreté des dialogues ... mais, porté par la curiosité, et le désir suscité par la vision de la sublime Jane Fonda en petite tenue (que serait le film sans elle !), on décide de suivre l'aventure avec amusement. Puis, sans s'en rendre compte, on se laisse charmer par ce joyeux mélange de science fiction, d'horreur et d'érotisme softs, de second degré, de kitch et de poésie. Ces péripéties aussi grotesques que délirantes font finalement resurgir toute la nostalgie des années 60-70, et l'heroïne aussi naïve que belle et innocente est décidement fort attachante.
J'avoue, j'avoue, j'avoue! Je n'ai regardé ce film que pour voir la splendide Jane Fonda dans ses habits sensuels. Mais, ce film a été assez attrayant. En fait, s'il avait été tourné en 2007, j'aurais pris peur, mais dans les années 60, c'est pas si mal. Il est juste un peu érotique, mais ce n'est pas si grave!
Vadim adapte une BD fiction tout entière dédiée au charme et à la plastique de sa chère Jane.Avec le temps,ce fim sans âge et son érotisme sous jacent,s'est bonifié.C'est délicieux et la musique 68 harde vient encore rappeller d'autres souvenirs.