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    Barbarella
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    97 critiques spectateurs

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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2017
    Comme quoi, selon la période ou les conditions dans lesquelles on voit un film, notre vision peut passer d’un extrême à l’autre. Ayant surpris ce « Barbarella » une première fois au cours de ma vie étudiante et regardé que d’un œil sur mon vieux tube cathodique, je n’avais guère porté de véritable considération à ce film fait de décors de carton-pâte ridicules et de trips sixties totalement absurdes. Et puis je l’ai revu il y a peu, avec des potes, dans une atmosphère de curiosité de l’instant. Or, là, pour le coup, je dois bien l’avouer : non seulement on n’a pas réussi à en décrocher un seul instant, mais en plus, en fin de compte, j’ai pleinement adhéré à ce trip totalement assumé et gratuit. Alors oui, le scénario a clairement été écrit à l’aide de substances amusantes. Oui, le but est évidemment de s’assumer totalement de cette atmosphère niaise et coquine qui n’a que pour unique finalité celle de s’amuser. Et oui, pour le coup, Jane Fonda joue la parfaite plante sexy totalement niaise qui se laisse prendre au jeu de ce spectacle à mi-chemin entre le film érotique et la série Z. Alors certes, c’est vrai, ça ne va pas plus loin que ça. Mais bon, pour le coup Vadim est allé jusqu’au bout du trip et je trouve qu’il l’a bien fait. Donc, j’assume totalement : « Barbarella », moi, je trouve ça fun…
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    32 abonnés 649 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 février 2016
    Un classique du "kitsh" signé Roger Vadim et datant de 1968. Un scénario qui flirte avec le vide spatial, des effets spéciaux réalisés avec des bouts de ficelles... reste la superbe plastique de Jane Fonda, seule raison d'être de ce film.
    Shawn777
    Shawn777

    582 abonnés 3 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2019
    Ce film, réalisé par Roger Vadim et sorti en 1968, est très bon ! Effectivement, malgré les mauvaises critiques générales, j'ai vraiment adoré ce film complètement décalé ! Je n'ai pas lu les bandes dessinées homonymes de Jean-Claude Forest dont le film en est l'adaptation, je ne sais donc pas si ce dernier en est fidèle ou non mais surtout, je ne m'attendais pas à ce genre de chose ! J'ai appris, après avoir regardé le film, que la bande dessinée avait pour héroïne une femme incarnant la libération sexuelle, elle s'inscrit ainsi très bien dans le contexte des années 60. Mais c'est vrai que lorsque j'ai vu le film, ce qui m'a tout de suite sauté aux yeux, c'est que l'histoire est en fait juste un prétexte pour parler de sexe toutes les cinq minutes, tout tourne autour de ça, du début à la fin. Dans la forme, c'est donc l'histoire de Barbarella, aventurière de l'espace, qui est chargée par le président de la Terre de retrouver Durand Durand qui aurait vendu des armes à une planète ennemie. Jusque là tout va bien, c'est le scénario d'un film de science-fiction relativement classique mais très vite et assez régulièrement, nous avons diverses allusions sexuelles, qu'elles soient sous forme de métaphores (pas très fines tout de même) et alors directes. Du fait que je connaisse maintenant l'origine du film, cela me parait normal mais c'est vrai que j'ai été un peu surpris au début. En dehors de ça, l'univers du film est génial, les décors sont superbes et malgré quelques scènes un peu lentes et niaises, on ne s'ennuie pas, enfin si on rentre vraiment dans le film évidemment. Les costumes sont également très bons. Je reconnais malgré tout que le principal problème du film, c'est le fait que l'on rigole plus souvent de lui à la manière d'un nanar, ce qui, je pense, n'était pas son but premier même s'il faut bien-sûr le voir au second degré. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons principalement Jane Fonda, John Phillip Law, David Hemming etc. qui sont à fond dans leur rôle. Nous soulignerons également la B.O. qui est excellente et très kitsch, à l'image du film. "Barbarella" est donc un film un peu loufoque qui est à voir si on aime bien ce genre d'univers.
    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 029 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2024
    Improbable film de science fiction réalisé par Roger Vadim, devenu culte avec Jane Fonda en pin up du futur. Les effets spéciaux apparaissent désuets aujourd’hui mais l intrigue peut encore un peu passer. Sympathique a visionner aujourd’hui si on replace dans le contexte fin années 60. Peut être un incontournable voire un classique désormais ?
    alouet29
    alouet29

    76 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2018
    La prestation de Jane Fonda est certes incroyable mais le point fort de ce film est indubitablement l'imagination : dans le scénario, les décors les scènes, les dialogues... La science-fiction n'est ici qu'un habillage de la poésie, de la fantaisie et de la découverte.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    272 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 août 2016
    Le film ne mérite guère d'autre qualificatif que celui de nanar. Alors, bien sûr, le kitsch est ici très assumé et pour tout dire revendiqué, mais entre un scénario d'une vacuité abyssale et des dialogues aussi creux que pénibles, on voit mal ce qui pourrait capter le spectateur, en dehors de la plastique parfaite de Jane Fonda. Le ridicule ne tue pas et peut même amuser, mais franchement pas dans ce cas.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    Un chef d'oeuvre kitsch. Jane Fonda incarne Barbarella, l'héroïque d'une bande dessinée de science-fiction et d'érotisme. Côté sixties , hippies, kitsch est assumé tout le long du long-métrage. Roger Vadim est un excellent réalisateur.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2016
    Adapté de la bande-dessinée éponyme de Jean-Claude Forest, le Barbarella de Roger Vadim est un festival de kitsch et d'incongruités scénaristiques qui heureusement sait ne pas se prendre au sérieux du tout. En résulte un film très 60's, vaguement érotique et plutôt attachant, porté par la beauté de Jane Fonda (le personnage de BD avait été créé sur le modèle de Brigitte Bardot), et par des décors et des costumes absolument géniaux. Certaines séquences, telle que l'attaque des poupées ou le labyrinthe, sont plus sombres et plutôt réussies. Drôle et décapant.
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    49 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2006
    Voir ce film c'est comme plonger dans une marmite de délire sans fin ! Il n'y a pas de moyens (quoique, le réalisateur n'en aurait pas eu besoin !) mais des idées à foisons ! C'est génial !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 mars 2010
    Le summer of love... tant de films et de musiques cucul... Certes superficielle mais attachant.
    Estonius
    Estonius

    3 335 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2013
    Délicieusement kitch et gentiment loufoque. Bourré d'idées géniales mais malheureusement pas toujours très bien exploités à cause d'une mise en scène un peu paresseuse. Le générique est très bon on l'on voit Jane Fonda (rayonnante de beauté dans ce film) nous faire un strip-tease intégral en apesanteur en se débarrant de son scaphandre. Les acteurs masculins sont moyens : John Philipp Law et Ugo Tognazi ne se foulent pas trop, David Hemming est amusant, Marcel Marceau (le mime, mais là il parle) est rigolo et le savant fou Durand Durand n'est pas très bon. Anita Pallenberg (qui fut la maîtresse de trois Rolling Stones) dans le rôle de la méchante est délicieuse, quant au scénario, il n'a aucune importance, Barbarella c'est un livre d'images, et celui-ci en contient assez pour pouvoir nous charmer.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Tout ce kitsch grandiloquent dans lequel baigne ce ovni du cinéma n'est pas sans annoncer le tout aussi culte Flash Gordon. Sorte de film patchwork, un scénario enchainant des séquences toutes plus improbables les unes que les autres, effets spéciaux "d'un autre âge", casting hallucinant (Ugo Tognazzi, David Hemmings, John Philipp Law, le mime Marceau !) dans des rôles completement perchés, une Jane Fonda plus que jamais sublissime se balladant dans tout ce joyeux bordel en collant et bottes en cuir, avec final explosif tendance psychédélique hallucinatoire, n'en jetez plus, vous comprendrez que ce film ne ressemble finalement à aucun autre. C'est également ce qui fait son charme fou bien sûr, et ce qui rebutera les allergiques. Pour ma part j'ai plutôt bien accroché, de toute façon on peut pas voir ce film de la même façon qu'un truc classique, faut juste se laisser porter, mais si on adhère au délire on passe un bon moment, très frais, inventif et même parfois bien drôle. Une vraie curiosité qui justifie son statut culte décalé ! Et puis bon, rien que pour Jane Fonda et ses tenues de folie, ça vaut le coup d'oeil !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 juillet 2007
    Et Dieu créa...Barbarella.
    Du cinéma de Roger Vadim, l'homme qui aimait ses actrices ( au propre comme au figuré), perdurera la silhouette entièrement nue de Brigitte Bardot, derrière un drap, dans "Et Dieu créa la femme", mais aussi celle, sans aucun drap, de Jane Fonda dans le générique d'anthologie de "Barbarella". L'actrice américaine, au corps sculptural, défile dans un tas de combinaisons, des plus sexy, dessinées, pour l'occasion, par le grand couturier espagnol Paco Rabanne. L'intérêt du film, adapté de la bande dessinée d'héroïc-fantasy de Jean-Claude Forest, repose surtout sur son univers psychédélique, aux décors ultra-kitsch ( plus kitsch que ça, tu meurs !), plutôt que sur son histoire, qui est plus un leurre qu'autre chose. Barbarella est envoyée pour sauvegarder la Terre, qui est en péril depuis que l'inventeur Durand-Durand a disparu. Ce savant fou, perturbé par ce monde qui ne connaît que les plaisirs de la chair, a créé une arme destructrice pour éradiquer ce qui lui paraît être la plus grande des absurdités. Dans sa mission, elle va côtoyer des êtres plus mystiques, les uns que les autres : des clones ( forcément, puisque l'action se situe en l'an 4000 !), des poupées aux dents acérées, un ange aveugle ( la réplique parfaite de Terence Stamp dans "Théorème" de Pasolini) perdu dans un labyrinthe ( Icare égaré dans son dédale), un tyran et ses samouraïs, ou encore des perruches aussi dangereuses que "Les oiseaux" d'Hitchcock,... "Barbarella" marque le début de la libération sexuelle ( et donc féminine), dont la philosophie serait " faites l'amour pas la guerre !... Love !" Cultissime par son côté ringard inégalé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Le comble et le sommet du kitsch... ou bien autrement dit le pinacle du film tout en carton, des décors à la mise en scène en passant par l'histoire en mousse. Il faut dire que c'est inspiré d'une BD déjà très basse de plafond et qu'on ne pouvait décemment pas espérer ni en attendre de miracle.

    Nonobstant ce défilé ininterrompu de stupidités et ces dialogues déprimants de bêtise, on ne reste pas de bois ! on reste uniquement pour une seule raison unique : Jane Fonda ! on redécouvre Jane Fonda (jusqu'à preuve du contraire) alors qu'elle se découvre et se recouvre dans son rôle de la blonde écervelée à l'ébourriffante chevelure.

    Si sexy que notre BB nationale se retrouve en difficulté tout-à-coup : apparemment Jane avait déjà commencé la gym même si c'était avant qu'elle ne sorte ses DVD à une cadence industrielle. Roger Vadim, le pervers réalisateur, a décelé ce splendide potentiel et nous l'offre en pâture ou presque dans les péripéties de Barbarella qui ne sont pas sans rappeler une certaine Justine du divin Marquis.

    Ainsi, Barbarella est toujours reconnaissante, Barbarella est une chaudasse et Barbarella se fait toujours déchirer par petits bouts ses petites tenues (d'un kitsch qui devrait être interdit) à l'insu de son ignorance.

    Du coup, je serais presque d'une indulgence coupable et prêt à mon grand dam à donner la moyenne à Barbamachine le film sauf que la musique à des années-lumière à l'ouest et l'overdose de kitsch crétin me l'interdisent : ce ne serait pas déontaologique. Ce sera donc 2 étoiles, rien que pour Jane la parfaite ingénue au si joli minois et beau châssis supersport superleggera.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 août 2016
    Oeuvre culte, BARBARELLA l'est à de multiples points de vues. Tout d'abord, en tant que bande dessinée, Barbarella est une héroïne assez libérée qui oeuvre dans un univers de science-fiction résolument novateur. A une époque où les BD étaient assez naïves et destinées à un public jeune, autant dire que cette oeuvre fit son bouleversement, assez pour justifier une adaptation cinématographique.

    Réalisé par Roger VADIM, à qui l'on doit déjà ET DIEU CREA... LA FEMME, BARBARELLA est une oeuvre qui pour l'époque fut innovante en terme d'univers, de direction artistique, de moeurs et de mise en scène. L'univers est vaste, original, les costumes sont atypiques et des milliers de bonnes idées viennent émailler le long métrage.
    Intelligent et innovant, bien pensé et sulfureux, le film avait tout les ingrédients pour plaire.

    De nos jours, il faut l'avouer, le film a pris un sacré coup de vieux. Les effets spéciaux sont obsolètes, le côté sulfureux n'est plus (n'importe quelle télé réalité est plus trash que ce film), les décors sont ridicules et l'interprétation prête à rire.
    Contre toute attente, ces défauts donnent au film un aspect kitch qui le rend très attachant. On s'émerveille de la créativité de l'époque et on prend un plaisir certain à regarder ce film d'une autre époque. Loin d'être rebutant, son aspect vieillot rend le long métrage sympathique.

    Sans le vouloir, les défauts du films en font sa force. Drôle et envoutant, le film doit être vu. Coup de foudre garanti!
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