Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par Alain Grasset
Mel Gibson et ses partenaires sont crédibles dans des séquences d'un réalisme parfois difficilement soutenable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Zurban
par N. T. Binh
Le savoir-faire de la réalisation, les yeux bleus de Mel et le visage de Madeleine sont mis à contribution, ainsi que l'excellente prestation de Barry Pepper, dans le rôle habituel du "témoin" journaliste.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
(...) au-delà des maladresses du propos, on mesure ici la force d'une démocratie capable de se retourner sur son passé, ses échecs et de panser ses blessures.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Le cinéma américain a-t-il encore des choses à nous montrer sur la guerre du Vietnam ? Pour nous en assurer, le réalisateur Randall Wallace a choisi une nouvelle voie, très tendance aux Etats-Unis (...) : l'examen de conscience et la réhabilitation de l'ennemi. Mais, bien qu'honorable, sa tentative est maladroite et ratée.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Une seule scène ébauche l'esquisse d'une réflexion (...). Dommage que le reste ne soit pas aussi émouvant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
(...) plus qu'à Gibson, on s'attache à un civil et une femme. (...) Ce sont les deux vrais héros du film, à l'écart des clichés du genre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le plus inquiétant ? Nous étions soldats, comme récemment La Chute du Faucon noir, ont été réalisés avant le 11 septembre dernier. Il est à craindre que le pire reste encore à venir.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) Nous étions soldats vient confirmer la tendance déplaisante d'un cinéma américain qui ne se veut plus seulement de guerre -genre connu et usé jusqu'au dernier chargeur- mais carrément belliqueux, cinéma patriote et primaire, bête et méchant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Eric Van Kutsem
Après deux heures de film et une pseudo-victoire américaine dans ce qui s'annonçait comme une guerre perdue d'avance, les survivants rentrent chez eux. Et là, au lieu de nous surprendre, le film retombe dans un discours navrant à la gloire de l'épisode guerrier sans jamais mettre en évidence l'inutilité et la stupidité des morts survenues...
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
A ce spectacle s'ajoute un rite, relativement inédit en ce qui concerne les films consacrés à la guerre du Vietnam : l'hommage à l'adversaire. (...) Le commandant des troupes vietnamiennes est présenté comme un sage courageux (pas tant que Mel Gibson, quand même, il ne va pas au feu). Cette volonté de fausse symétrie, cette mise en spectacle naïve de la guerre évoque irrésistiblement les grosses machines cinématographiques et militaires des années 1960, dont l'archétype reste Le Jour le plus long.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier De Bruyn
A un tel degré de propagande, le spectateur se pince ou ricane. Et oublie, du coup, les quelques mérites épars de ce chef-d'oeuvre de manichéisme (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Mel Gibson et ses partenaires sont crédibles dans des séquences d'un réalisme parfois difficilement soutenable.
Zurban
Le savoir-faire de la réalisation, les yeux bleus de Mel et le visage de Madeleine sont mis à contribution, ainsi que l'excellente prestation de Barry Pepper, dans le rôle habituel du "témoin" journaliste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) au-delà des maladresses du propos, on mesure ici la force d'une démocratie capable de se retourner sur son passé, ses échecs et de panser ses blessures.
MCinéma.com
Le cinéma américain a-t-il encore des choses à nous montrer sur la guerre du Vietnam ? Pour nous en assurer, le réalisateur Randall Wallace a choisi une nouvelle voie, très tendance aux Etats-Unis (...) : l'examen de conscience et la réhabilitation de l'ennemi. Mais, bien qu'honorable, sa tentative est maladroite et ratée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Une seule scène ébauche l'esquisse d'une réflexion (...). Dommage que le reste ne soit pas aussi émouvant.
Télérama
(...) plus qu'à Gibson, on s'attache à un civil et une femme. (...) Ce sont les deux vrais héros du film, à l'écart des clichés du genre.
Aden
Le plus inquiétant ? Nous étions soldats, comme récemment La Chute du Faucon noir, ont été réalisés avant le 11 septembre dernier. Il est à craindre que le pire reste encore à venir.
Chronic'art.com
(...) Nous étions soldats vient confirmer la tendance déplaisante d'un cinéma américain qui ne se veut plus seulement de guerre -genre connu et usé jusqu'au dernier chargeur- mais carrément belliqueux, cinéma patriote et primaire, bête et méchant.
Cinopsis.com
Après deux heures de film et une pseudo-victoire américaine dans ce qui s'annonçait comme une guerre perdue d'avance, les survivants rentrent chez eux. Et là, au lieu de nous surprendre, le film retombe dans un discours navrant à la gloire de l'épisode guerrier sans jamais mettre en évidence l'inutilité et la stupidité des morts survenues...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
A ce spectacle s'ajoute un rite, relativement inédit en ce qui concerne les films consacrés à la guerre du Vietnam : l'hommage à l'adversaire. (...) Le commandant des troupes vietnamiennes est présenté comme un sage courageux (pas tant que Mel Gibson, quand même, il ne va pas au feu). Cette volonté de fausse symétrie, cette mise en spectacle naïve de la guerre évoque irrésistiblement les grosses machines cinématographiques et militaires des années 1960, dont l'archétype reste Le Jour le plus long.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
A un tel degré de propagande, le spectateur se pince ou ricane. Et oublie, du coup, les quelques mérites épars de ce chef-d'oeuvre de manichéisme (...).