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Un visiteur
4,0
Publiée le 21 août 2008
Un cocktail horrifique à base de blagues à 2 balles et d'humour noir, excellent pour passer une soirée pépère entre ami(e)s^^. Les protagonistes jouent tous et toutes biens.
Un film de fous furieux réalisé par un fan du genre. Pour son premier éssai,Rob Zombie frole le chef-d'oeuvre. Le frole seulement,car son scénario s'éparpille vers la fin du métrage;on passe en effet du survival pur et dur(rendant un vibrant hommage à"massacre à la tronçonneuse" et sa famille de dégénérés) au surnaturel gore lorsque apparait Dr Satan. Dommage,mais cette faiblesse est surement due à la générosité de Rob qui voulait surement contenter le plus possible les fans du genre que nous sommes. Grand film cependant,qui jette avec brio les bases de sa suite,le monstrueux"The devil's rejects".
Un premier essai assez chaotique au récit bordelique plombé par des effets clipesques surabondants et très laids qui semblent vouloir se justifier par une tentative d'instaurer une atmosphère cauchemardesque mais qui en vérité sont les conséquences d'une mise en scène amateure et complètement paumée. Le film passe assez bien au premier abord pour son "originalité" et surtout pour son sadisme hors du commun, il n'en reste pas moins ce que j'appelle du "cinéma branlette" (films qui plaisent au début mais qui à la fin s'avèrent inutiles et qui deviennent très pénibles à la deuxième vision) car plus on fait attention, plus on remarque que Zombie a vraiment construit son récit n'importe comment. Le film fait quand même son petit effet par moment, les Firefly étant des personnages vraiment dégénérés qui atteignent un taux de folie rarement égalé. Cela suffit à faire passer le film, d'autant plus que c'est là le début d'un mythe (il est question de la même famille dans "The Devil's Rejects") ... En conclusion: un film insolite et bancale dont Rob Zombie rattrapera l'amateurisme avec ces deux films suivant: "Devil's Rejects" et "Halloween".
Rob Zombie, la star du hard rock, se met dans le cinéma ! Ce n'est pas une surprise, c'est bien entendu dans les films d'horreur que celui-ci jette toute sa créativité. "La maison des 1000 morts" est son premier essai, et il est plutot réussit ! Beaucoup d'humour macabre, des interprètes de qualité et une histoire relativement originale ! Rob Zombie joue ici avec les vieux stéréotypes des films d'horreur (le vilain clown super méchant) en y incrustant quelques scènes de rituels sataniques. La réalisation est vraiment bonne, elle permet à Rob Zombie de ne pas tomber dans le conventionnel. Un très bon film, sans être excellent. Seul petit bémol : les transitions étranges, que je trouve totalement inutiles !
Rob Zombie plus connu pour ces talents à la musique que sa vision du septième art, s'attaque au cinéma en sortant son premier film. Résultat: de l'horreur pur et dure avec du gore, du sadisme, et un peu d'humour. Pas mal pour un début.
Avant les ultras réalistes Devil's reject et Halloween, Rob Zombie avait transformé l'essaie en réalisant son 1er film. A la fois précurseur de Devil's reject (qui reprendra certaines scène de ce house of 1000 corpses) fils légitime de Massacre à la tronçonneuse 2 , western, une pincée de film de zombie (!), film fantastique, burlesque, westernien jusqu'aux ongles. Ce film est un mélange de tous ces genres réunit pour délivrer quelque chose d'inclassable: humour noir glauque (une intro à mourir de rire), violence trash (trépanation, démembrement, torture...), tension sexuelle très forte (Sheri Moon zombie est bandant à en crever) mais devant la caméra de Rob Zombie cela devient une sorte de poésie morbide, burlesque. Les jeunes héros ne le sont plus et c'est la famille Firefly qui devient l'héroïne de cette histoire où les liens du sang priment plus que sur les meurtres. D'ailleurs le casting est magnifique à commencer par Bill Moseley, complètement cramé du bulbe rachidien et expert en torture, Sheri Moon Zombie, bandante et dangereuse comme une plante carnivore, Karen Black, une pute cinglée follement attentionnée de ses petits, le regretté Matthew Mcgrory compose un Tiny intimidant mais doux comme un agneau et Sid Haig est un clown dégueulasse, fou et drôle; les victimes sont aussi très bien interprétés (même si je ne me rappelle plus de leur nom, désolé) dont une héroine mélange improbable entre une une Sally Hardesty et une poupée de soie entre les mains des tarés les plus dangereux du Texas. La réalisation est osée, expérimentale (remember Massacre à la tronçonneuse), passant du coq à l'âne (avec des transitions hallucinantes), filmant comédie burlesque et horreur pure. Peut être trop en roue libre mais d'une fuck you attitude qui impose le respect face à des films aseptisés ou des remake sans saveurs. Décidément Rob Zombie est bien le plus grand réalisateur de film d'horreur du 21ème siècle... et le meilleur allait venir par la suite.
Pour son premier film pour le grand écran, Rob Zombie signe un remake à peine déguisé de Massacre à la tronçonneuse mais totalement à son image: bariolé, foutraque, décomplexé mais fait avec un véritable amour du genre, le tout hanté par une galerie de sociopathes ammenés à devenir des icônes du ciné d'horreur (aaaaaaaaah ce bon vieux Sid Haig !). Mais derrière ce joyeux massacre apparement innofensif se cache les deux faces peu reluisantes d'un même pays: d'un côté une Amérique déviante et barbare; et de l'autre une Amérique plus "civilisée" mais snob et hautaine envers les "bouseux" de l'Amérique profonde.
Prétentieux, ce zombi ressortit des catacombes nous sort son premier long métrage. Long et ennuyeux, le film ne fait ni rire ni peur. Peut-être pense t-il (à Rob Zombie) s'inventer un nouveau genre ? La boutade ! Ses acteurs son tellement mauvais que le spectateur n'attend qu'une chose : que la pétasse qui se trémousse de fasse zigouiller. Hélas pour nous, cela n'arrivera pas...
La maison des 1000 morts commencent parfaitement bien avec une réalisation maitrisée de la part de Rob Zombie.On a le droit à du gore timide,du macabre,des idées tordues et tordantes alliant burlesques et sadisme.Seulement tout ceci se termine durant le dernier quart d'heure qui fait plus office de remplissage.A croire que le suspense n'est pas encore maitrisé du jeune réalisateur Rob Zombie.
Moins réussi que la suite mais un bon film tout de même, on reconnait bien Rob Zombie à travers ce film tant il nous sert quelque chose d'atypique et de spécial, en surfant sur sa vague anticonformiste, ce qui est rare aux Etats Unis et lorsque c'est fait, encore plus rarement réussi.
Une véritable galerie de psychopathe dans ce film. Tout le long Rob Zombie rend hommage au genre slasher et horrifique dans la réalisation et aussi dans le scénario. Chaque scène est excessive dans tout les sens du terme complètement déjantées, mais ce n'est pas réussi pour autant. Le film est un peu trop long.
Pour son premier film, Rob Zombie prouve qu'il ne manque pas de style avec ce slasher totalement rock and roll et completement déjanté à la photographie completement barré. Cependant toute cette debauche d'effets se montre par moment un brin enervante et le film comprte pas mal de petit defauts mineures. Pour un premier film , on peut dire que c'est une reussite.
Un film que je n'avais plus vu depuis au moins 5 ans et j'en avais presque pas de souvenirs. J'ai bien aimé, la réalisation est assez spéciale voire psychédélique, la BO (signé Rob Zombie) est superbe. Ca en fait une chouette comédie horrifique assez barge, gore et cruelle.
Un seul mot:ennuyeux;une seule phrase:meme pas peur Ne regardez pas ce film,vous allez perdre votre temps.Je me suis forçé a regarder ce navet pour pouvoir faire cette critique.L'idée de départ est bonne mais,c'est tout.Kenavo bon(autre)film.
Rob Zombie nous signe ici un petit coup de génie. Son film révolutionne réellement le genre du film d'horreur, avant que la série des SAW ne lance la mode de la torture gore sans intèret, grâce à sa mise en scène superbement rythmée, à son humour hardcore, à ses personnages particulièrement originaux ainsi qu’à sa musique déjantée, le tout en gardant un scénario des plus classiques.