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GodMonsters
1 295 abonnés
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4,0
Publiée le 13 septembre 2010
Assez surprenant comme film ! Rob Zombie (cinéaste que j'apprécie) est allé très loin de son délire. La Maison des 1000 morts est un film violent, drôle, choquant et osé... J'adhère à la réalisation du réalisateur, il parvient à mettre en scène des séquences à la fois totalement dépourvues de sens mais terriblement réalistes aussi !! J'ai surtout aimé le dernier quart-d'heure (même si je trouve la fin décevante), les décors sont impressionnants (entre "Alice au pays des merveilles" et "Le labyrinthe de Pan") et c'est vraiment là où la tension est à son comble... Au final, le long-métrage reste à conseiller pour les fans de rob et de cinéma violent, pour le reste c'est à voir mais c'est quand même pas indispensable.
Quand on regarde ce film au début on se dit " ouais ca va être un film gore qui se prend pas au sérieux". Cependant on se retrouve devant un film très malsain et trop premier degré. Quand le film s'arrete on est bien content parce que ca gueule dans tous les sens et ça fait mal à la tête. Bref, je met une étoile parce que visuellement il est quand même pas trop mal.
Rob Zombie est un génie : réussir à innover en nous imposant une famille gore tueuse n'est pas facile vu la dvdthèque plus qu'imposante du genre. Mais là où le réalisateur est très fort, c'est que l'ambiance, les personnages improbables et leur mentalité sont si surprenants et étonnants qu'ils en deviennent affreusement dangereux et intimidants. Sheri Moon y est magnifique, comme d'hab, et affolante. Alors pourquoi pas 4 étoiles, parce qu'il faut faire un parallèle avec sa suite, encore meilleure.
Certes un peu décousu par endroit (probablement du fait que la seule version commercialisée est incomplète), mais terriblement fun. On retrouve donc l'univers de Rob Zombies (metal de série B) à l'écran, dans un film malsain qui joue avec le sang et se contre-fout de la morale. Les personnages sont tous aussi tarés les uns que les autres et, dans cette famille sanguinaire...
Un passage obligé vers l'ébauche de la perfection. Un mal pour un bien. La maison des Mille morts, aussi peut prenante qu'elle puisse être par ces montages saccadés et ses images façon "négatif", est le chemin nécessaire pour appréhender sa suite : "The Devil's Rejects." Disons qu'il s'agit là d'une introduction beaucoup trop longue à l'une des plus "belles" chasse à l'homme du cinéma moderne.
Leader du groupe de metal White Zombie, Rob Zombie (de son vrai nom Robert Cummings) est un chien enragé. Délaissant en 2003 les scènes de concerts pour passer derrière la caméra, Zombie réalise un film d'horreur pretexte à diverses expérimentations visuelles. En résulte "La Maison des 1000 morts", oeuvre trash, anti-conformiste et méchamment barrée. Un groupe de jeunes ados, pas si cliché que ça (bizarrement, Zombie nous fait apprécier un tant soit peu ces pauvres diables), va se retrouver dans les griffes d'une famille de tueurs sadiques et cannibales. Plus qu'un simple slasher (les serial-killers sont plus approfondis et plus...loquaces), "La Maison des 1000 morts" est avant tout un mélange entre références ("Massacre à la tronçonneuse" ou même "Brazil" pour la fin!) et vision personnelle d'un réalisateur fou qui s'amuse à faire descendre ,au fil des minutes, ses proies dans un univers monstrueux et irréel. Montage frénétique, images subliminales démentes, décors cauchemardesques, le film de Zombie (sa fin surtout) s'apparene à une véritable descente aux enfers, plus qu'un simple tour de train fantôme. Les membres de la famille Firefly (les dingues de service) sont peut être des bouchers mais Zombie ne s'attarde pas sur le fait de porter un quelconque jugement : ils ne se rattachent à aucun groupe (d'ailleurs, aucun d'eux n'aiment être traités de redneck)et mélange tellement de modes (aucun des membres ne se rassemblent, on fait référence à l'art, à Bette Davis, à John Wayne,...) qu'on éprouve finalement une certaine sympathie vis-à-vis de ces meurtriers sans limite. Oeuvre extrême et particulièrement jouissive, "La Maison des 1000 morts" est à l'image de son auteur : anarchique, flamboyante et brutal. On en ressort haletant et heureux de voir que le cinéma peut avoir assez de couilles pour bouleverser tout les fondements de notre belle société.
Rob zombie frappe un grand coup à la porte du petit monde de l'horreur. Passionné depuis toujours de films d'horreurs, il dépoussiére le genre, en alliant horror-teen movies, snuff, série Z et vieux films de monstres, le tout avec un sens du visuel évident et porté par une musique composé par lui-mêmeY' a des travaux,il faut rester sur le rte montpellier et à droite au feu (magasin de meuble)tout droit passer sous le pont,rond point à dte,tout de suite à gche dans l'allee de platanes jusqu'à la place du village a star du film sa femme est plus qu'agréable a regarder, voilà une grosse pointure.
Fun, dérangé, glauque, crade, malsain, les mots ne manquent pas pour définir ''La Maison des 1000 Morts'', la petite bombe de Rob Zombie, l'un des meilleurs réalisateurs de genres de nos jours. Le metteur en scène/musicien nous offre un univers graphique passionnant, un style foutrement bien foutu et une bande-originale plus qu'excellente. Complètement barré, le film nous livre quelques légers passages sanglants et un humour très noir que j'admire tous particulièrement. Mais ce flm ne serait rien sans sa famille star : les Firefly. Rarement des personnages m'auront autant marqué par leurs démences et leurs folies. Mention spéciale au personnage du Capitaine Spaulding qui est totalement taré et hilarant. Pour ce qui est de l'histoire, cela reste assez simple mais la mise en scène arrive à prendre le dessus sur le scénario. Un film hors du commun, indispensable pour les fans de films d'horreur.
Moins réussi que sa présumée suite ("The Devil's Rejects"), cette "Maison des 1000 morts" n'est pas pour autant totalement dénué d'intérêt. C'est notamment le cas des 10 premières minutes, particulièrement jubilatoires, notamment grâce à un humour particulièrement féroce. Le reste est nettement plus inégale, entre scènes de violence particulièrement réussie, grâce à une atmosphère et une ambiance plutôt bien rendue, et d'autres moments qui respectent ni plus ni moins les conventions du genre. Ceci dit, l'impact du film est moins fort que sa suite, si bien qu'au final, on est loin d'être si terrifié que cela par l'ensemble. Reste que l'ensemble garde de la personnalité et arrive à capter notree intérêt jusqu'au bout : l'entreprise est donc au final honorable.
Rob Zombie nous offre un sympathique petit film d'horreur, sans grands moyens, mais bien réussi quand même ! Complètement barré, glauque à souhait, avec un humour des plus noir et quelques passages sanglants, sans oublier la bande-originale, excellente !
Pour son premier film, Rob Zombi démontre qu’il possède une imagination fertile. La réalisation haletante et originale nous entraine dans les méandres de la folie d’une famille américaine complètement déjantée. En revanche, vers la fin du film, le réalisateur perd complètement son fil narratif et accouche d’une conclusion brouillonne et frustrante.
J'en avais gardé un meilleur souvenir, peut-être ais-je mélangé celui-ci et sa suite... Toujours est-il qu'il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Et ce n'est pas la réalisation "MTV" qui aide à relever le niveau. Le bas blesse particulièrement durant la dernière partie du film, au moment où le cercueil est descendu sous terre. Là ça devient n'importe quoi. Préférez les classiques, c'est très souvent souhaitable dans le genre horreur.