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pelu
17 abonnés
1 074 critiques
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1,0
Publiée le 24 mai 2010
je n'ai vraiment pas trouve ce film terrible et je ne comprends pas l'engouement pour ce dernier et pourtant je suis tre friand de ces films qui se prennet pas au serieux mais la je n'y trouve rien desole l'histoire est pourtant bien dejante des le debut et les 2 persoannges historiques sont bien a cote de la plaque mais helas sa fais pas effet je trouve qu'il ne se passe rien dvraiment sympa interessat et cest la que je trouve qu'est le plus gros defaut car je me suis ennuye a voir ce film et c'est bien dommage car je m'attendais a une tres belle serie z et c'est une grosse deception. bruce campbell est bon bien sur l'ambiance chiade degeulasse de la maison est cool ; la musique prenante ; mise en scene de qualite mais helas l'intrigue plante le film pour moi et le manque de peripeties et d'evenements originaux fait cruellement defaut apres les themes sont souventmal aborde sois disant la vieillesse , l'amitie ...pas trop reussi a mon gout , a la limite la vieillesse l'abandon, pourkoi pas mais bon decu dommage.
Il s'agit d'une petite comédie marrante dont l'intérêt principal vient du personnage principal, Elvis Presley en personne, car l'intrigue est assez courte et pour une comédie, le rythme n'est pas assez rapide. Le film est tout juste sauvé par Bruce Campbell, l'interprète d'Elvis dans ce film.
L’allégresse de Don Coscarelli et de ses «Phantasm» rappelle le cinéma d’horreur à son désir premier : jouer à se faire peur. Dans ce désir il y a deux concepts : «jouer» et «se faire peur». «Bubba Ho-Tep» (USA, 2005) répond à ces deux concepts et les relie plutôt bien. Du jeu, il y a cette mascarade de l’identité, ce grimage des visages. Bruce Campbell, le visage maquillé en Elvis qui joue son sosie, incarne l’enfant qui se divertit dans l’horreur. L’horreur chez Coscarelli est trouble. De sa source se dégage autant l’angoisse que l’humour. On rit d’Elvis qui ne sait plus qui il est vraiment, mais à prendre conscience du vertige de l’identité on se surprend à frémir. Aux yeux des admirateurs du genre humour-épouvante, «Bubba Ho-Tep» est une œuvre culte. La raison est simple, et souvent la même. C’est que le film cultive un flegme tout en s’éprenant d’un élan ironique. De la même génération que le tout aussi absurde Peter Jackson (cf. «Bad Taste »), Coscarelli entretient avec lui un décalage de l’horreur, un glissement de la terreur vers le plaisir de l’humour. Au vue de ce qu’un cinéma d’horreur à plus grand budget produit aujourd’hui, la présence de l’humour est essentielle. De Browning, Romero ou même Cronenberg, l’horreur a fait un pas qui l’a mis au carrefour de l’humour potache. Une momie mangeuse d’âme par l’anus, ça ne manque pas d’incongruité. Fait d’images pertinentes sur le film d’horreur, l’œuvre de Coscarelli va encore plus loin que celle d’Aja ou de Neil Marshall. En jouant au jeu du carnaval pour trouver l’horreur du rire, «Bubba Ho-Tep» s’offre le luxe de la singularité. Typique des films indépendants du genre, le film prend les vieux mythes digérés par le cinéma américain et la société pour mettre en scène leurs vestiges. Les carcasses d’Elvis et de Kennedy se lancent à la poursuite d’une momie tout aussi décrépite. Faisant le geste du recyclage, Coscarelli régurgite avec une once d’élégance quelques résidus du mythe américain.
Non Elvis n'est pas mort !! Il a simplement échangé sa vie avec un sosie mais il a perdu le contrat dans un accident de barbecue et vit désormais dans une maison de retraite, avec un cancer du pénis, et s'ennuie ferme. Heureusement pour lui et son pote, le président Kennedy, toujours vivant et devenu noir, une momie égyptienne mangeuse d'âme va venir troubler leur ennui colossal. Vous l'aurez compris, Bubba Ho Tep est un film très con, qui ne se prend pas au sérieux (ce qui n'empêche pas quelques moments d'émotion) et revisite sous forme de comédie le film d'horreur des années 50 (l'époque d'Elvis), quand les momies faisaient encore peur. Bruce Campbell est hilarant en King blasé et malade, contraint de chasser la momie pour retrouver un peu de sa gloire passé. Le film est également un hommage tendre à Elvis Presley et n'égratigne en rien la légende du King. C'est aussi une réflexion sur la vie des stars, qui voudraient parfois mettre de côté leur vie faste l'espace d'un temps mais qui refusent de le faire de peur de se voir définitivement enterrées (d'où la mort d'Elvis dans le film : la star est morte mais pas l'homme). Bref, un film qui a l'air con mais qui au fond ne l'est pas tant. A voir d'urgence.
Bubba Ho-Tep est véritablement une comédie surnaturelle ! En partie grâce à son histoire (une terrible momie sème la pagaille dans une maison de repos). On retrouve avec plaisir le héros de la trilogie Evil Dead : Bruce Campbell, qui est remarquable dans son rôle dElvis Presley, et arrive à nous faire rire malgré un scénario poussif et mal développé !
Bubba ho tep... déjà rien que le titre est étrange... Elvis et JFK ne sont pas morts et vivent reclus dans une maison de retraite au fin fond du Texas... sauf que ... oupss... une momie avaleuse d'âmes fait son apparition... nos daux papies vont devoir lutter contre cette force maléfique... Etrange, Absurde, Drôle, un peu Effrayant et très Touchant... Bubba Ho Tep est un véritable OVNI cinématographique avec tout ce qu'il faut dedans pour en faire une oeuvre culte!
Ce film est un grand moment de cinema, Bruce Campbell, que je ne connais pas beaucoup, est genial en Elvis vieillissant! Et son compère Ossie Davies(RIP) est tout simplement extraordinaire...mais ce qui l'est encore plus c'est l'histoire, sans défauts, même avec les informations historique, plus, c'est un film très riche en archives (qu'elles soient vraies ou fausses). Un film très riche visuellement également! Les couleurs sont sublimes, l'image que donne ce film du Texas, est très rassurant! Personnellement j'en avais marre de l'image crado du Texas Chainsaw massacre! Chapeau au directeur de la photographie (si c'est bien lui qui s'occupe de l'image!) Chapeau aussi à Don Coscarelli, que j'espere revoir bientot au cinema! Et dont j'attend beaucoup son episode dans la serie horrifique "Master Of Horror" (serie où les maitres du genre realisent un episode chacun! Tobe Hooper ou encore John Carpenter réalisent ainsi 13 episodes d'une serie qui fait pas mal parler d'elle!!)
Et si Elvis Presley n'était pas mort???? Et bah oui ici il est bien vivant mais il est vieux en maison de retraite et doit combattre une momie suceuse d'âmes avec le président Kennedy sauf qu'il est noir. Bruce Campbell est très bon dans son rôle et il est convaincant dans le rôle du King. Le film mêle humour noir et décalé et beaucoup de séquences sont drôles. Et pour finir une petite réplique: Que je brûle en enfer si je laisse cet espèce de fils de pute d’étranger suceur de cul avec ses boots en croco faire des graffitis sur nos murs et voler l’âme de tous mes amis pour la chier dans les toilettes visiteurs.
Excellent film qui permet à Bruce Campbell de livrer une interprétation excellente d'un Elvis vieillissant. Certes ça va à deux à l'heure mais cela permet de passer un moment agréable. Le réalisateur de la série des Phantasm (et de Dar l'invincible) nous livre une bien belle bobine, à savoirer sans prise de tête.
Véritable hommage au culte d'Elvis Presley, Bubba Ho-Tep est un petit bijou du fantastique comme on n'en voit que très rarement. Sorti tardivement en France et de façon inaperçue, le long-métrage de Don Coscarelli (la trilogie Phantasm) joue avec les vieux codes du genre et réussit le coche, le tout étant filmé à la fois avec passion et dérision. L'histoire, aussi délurée qu'originale, s'avère immédiatement prenante et nous entraine avec humour dans une maison de retraite de l'Amérique profonde où se côtoient décérébrés, séniles et... Elvis Presley ! Campé par un Bruce Campbell habité par son personnage, le King déchu n'est plus que l'ombre de lui-même, forcé d'être aidé pour vider sa vessie, marche avec un déambulateur et passe inaperçu aux yeux de la nouvelle génération. Heureusement pour lui, une momie vieille de mille ans décide de venir se nourrir des âmes de ces sexagénaires dont personne ne veut, et ce bon vieux Elvis y trouve là l'occasion de se racheter de se prouver encore à lui-même que le King n'est pas mort. S'en suit une mésaventure épique où notre bon vieux gars de Memphis va affronter un insecte coriace, une momie et surtout ses vieux démons, véritablement arc dramatique couvrant tout le long-métrage. Ainsi, effets spéciaux de qualité et scénario très bien écrit autour d'une interprétation bluffante font de Bubba Ho-tep un petit chef-d’œuvre du genre sous-estimé auquel il ne faut pas passer à côté...
Pour commencer ce film a un pitch très original:Elvis Presley qui chasse une momie,bon se qui est bien c'est qu'on peut croire que Elvis n'est pas mort,c'est expliqué dans le film,ou alors croire que ce personnage est complètement fou,et qu'il n'est pas Elvis et que la momie n'existe pas. Les scènes d'humour sont intéressantes,à prendre bien sur au second degré. Et en plus il y a un aspect plus subtil que cela dans ce film c'est le fait de ne pas renoncer. Bref au final Bruce Campbell s'en sort très bien en Elvis,mais on aurait aimé que le film est un peu plus de personnages.
Le pitch est complètement dingue : le véritable Elvis n'est pas mort, et il s'associe avec un JFK black pour combattre une momie vieille de 3000 ans qui vient s'emparer de l'énergie vitale des habitants de leur bled paumé. Le développement se révèle fort sympathique, délirant, bousculé par de cyniques répliques, pour finir sur une sorte de fable nostalgique. L'inspiration de départ, pourtant très farfelue, laisse place à l'aspiration...
Absurde et outrageusement vulgaire, cette farce surnaturelle signée par Don Coscarelli, spécialiste de séries Z à l’imagerie nanardesque, se permet tout. Touchant au sujet délicat des conditions de vie dans les maisons de retraites ainsi qu’au mythe sacré aux Etats-Unis qu’est Elvis Presley, son humour trash se conjugue à la perfection à son approche déjantée de sa créature fantastique. Bruce Campbell parvient à être convainquant dans son rôle de vieux grabataire et parvient même à donner au scénario, qui a pourtant un mal fou à se mettre en place, une part d’émotions que l’on n’attendait pas d’un délire au demeurant terriblement lourdingue. Grossier mais ingénieux dans sa vision donnée à la vieillesse, cet OVNI cinématographique inattendu a sa place dans le panthéon des comédies de mauvais gout (un sous-genre malheureusement délaissé par le cinéma contemporain).
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1,5
Publiée le 21 juin 2021
Laissez-moi d'abord vous dire que je suis un grand fan de comédie et un fan éclectique en plus. Ce film m'a fait rire deux fois une fois lorsque JFK a traduit le graffiti de la salle de bains et une autre fois lorsque les deux hommes se lancent dans le couloir en tenue de combat dans le fauteuil roulant et le déambulateur. C'est tout rien d'autre le dialogue étant sans imagination et répétitif. J'attendais que la vraie intrigue se mette en place mais ça n'a jamais été le cas. Je devais croire qu'il y avait plus dans ce film mais ce n'était pas le cas. Vous auriez pu en faire un film excentrique de 15 a 20 minutes mais 90 minutes c'est une perte abyssale de film et de mon temps. Maintenant je dois aller pulvériser mon sois disant ami qui m'avait convaincu de regarder ce film...