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folimage
6 critiques
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4,0
Publiée le 7 mai 2009
vraiment adoré ce film sur la peur universelle du noir chez les enfants, trés bon réalisateur qui a confirmer avec" fragile" une trés bonne surprise!!!
"Darkness" est un film d'épouvante sur le thème de la peur de l'obscurité. Influencé par les Amityville (folie du père et maison hanté), ce film est angoissant et la tension monte assez vite notamment grace à ses plans flash. Bien que peu innovant, le scénario tient bien la route et la fin est tout simplement grandiose. Un film que je ne saurai que conseiller. De quoi réveiller notre peur du noir...
On a loué Darkness avec des amis. Raison invoquée : "waouh c'est par le réalisateur de REC!". Ni une ni deux on choisit celui-ci. Autant le dire tout de suite, je déteste juger les choses en me basant sur la comparaison avec d'autres, mais il ne faut surtout pas s'attendre à quelque chose du niveau de REC. Le film ne fait pas très peur, même si l'ambiance est très correcte et certains passages font passer le petit frisson dans la nuque. Darkness est plutôt dans la veine de Mirrors, et c'est d'ailleurs en voyant des films comme Darkness (comprenez loin d'être mauvais mais pas inoubliable) que je me dis de plus en plus que MIRRORS figure certainement parmi mes plus grandes références du genre. Darkness, un film dans la moyenne qu'on recommandera aux amateurs du genre "maison hantée", un film très sympa en somme. Le deuxième film de Jaume Balaguero n'atteint pas des sommets (à une "créature" près, qui est extrêmement bien faite), mais reste un film qu'on ne regrettera pas pour autant. A VOIR donc.
cest simple,vous prenez un graphique pr représenter le film, la courbe monterait au fur et a mesure que vous le regarder^^ une montée en puissance prenante, un scenar digne dun bon epouvante espagnol(normal cest les meilleurs ds ce domaine!) que dire a part que ce film nous emmene ds nos peurs vécues lors de notre enfance?bah on peut dire que les acteurs sont geniaux, un pere désorienté, un enfant mimi, une ado protectrice et une mere sur le bord de la depression et, ET une maison a se pisser dessus^^ au depart, je pensais mettre 2etoiles mais 3 cest amplement mérité!tant la fin est "ouah qd meme" et tant notre imagination est mise a lepreuve! des personnages, une intrigue, une recheche intelligente,BALAGUERO(av aussi REC°) est inconstablement un dieu du sujet^^
Finalement un bon film fantastique. Par moment on se croirait dans "shinning" de Kubrick... le coté père de famille qui sombre dans la folie... j'avais un avis négatif, mais je dois admettre que les espagnols sont doués dans le genre. Une réalisation soignée, des acteurs crédibles, un scénario sombre. Peut-être manque-t-il un petit quelque chose, mais n'hésitez pas à le voir!
Un film qui ne mérite pas vraiment que l'on s'y attarde. J'en attendais beaucoup, étant fan du genre mais alors quelle déception! une histoire rocambolesque à laquelle on ne croit pas une seconde...des acteurs en roue libre auxquels on ne s'attache pas, des réminiscences de vieux films d'horreur par-ci par-là (Shining surtout) font de ce film un ramassis de clichés et de réchauffé. Ce film ne vaut que pour sa dernière scène, limite angoissante mais c'est tout. Ca reste un film de la même veine et aussi ennuyeux que "La prison de verre" c'est dire...
Un film pas pour les épileptiques. Ca clignote trop, tout le temps. La caméra ne se pose jamais. Le noir c'est chiant à la longue. Les effets horrifiques tombent à plats, car ils ne reposent sur rien d'autre que le néant et le noir. C'est donc un de ces pseudo film, dans la lignée de Projet Blair witch et Rec. Du tape à l'oeil, du toc, du bidon. Bling bling. Triste reflet de notre époque navrante.
Darkness est un film de fantôme innovant ou la tension qui monte en crescendo , parsemer de scène qui génère la terreur ont a jamais vu aussi sombre. Une véritable montagne russe du cinémas d’épouvante.
Si avec La Secte sans Nom Jaume Balagueró se montrait au grand jour avec un thriller haletant et surtout déroutant, il fait preuve ici d'un autre savoir-faire dans un autre domaine... Amoureux des histoires de fantômes et très habile dans les jeux d'ombres et de lumières, le réalisateur espagnol nous livre avec Darkness une histoire terrifiante encore une fois centrée sur des enfants et sur une secte secrète. L'histoire se déroule donc toujours sur la terre natale du metteur en scène, près de Barcelone, mais le casting est cette fois-ci principalement américain : la famille Rua s'installe dans la demeure familiale abandonnée depuis quarante ans. Composée de Mark (Iain Glen), souffrant de troubles de la personnalité provoquant une attitude parfois violente, de sa femme Maria (Lena Olin) et de leur 2 enfants Regina (Anna Paquin, surprenante) et le jeune Paul (Stephan Enquist, une révélation). Peu à peu, plusieurs évènements étranges vont bien entendu se manifester : l'électricité défaille de plus en plus, Paul se retrouve avec des bleus d'origine inconnue, Mark recommence à avoir des crises par rapport à sa maladie et un lourd secret semble habiter la maison. Étant la seule à voir que quelque chose de terrible va arriver, Regina va tenter de découvrir les causes de ces évènements mystérieux. Avec Darkness, Balagueró nous livre une intrigue riche en rebondissements, agrémentée d'un suspense prenant qui, une fois le spectateur plongé dans le film, ne fera que s'amplifier jusqu'à un final bouleversant. Nous menant à la baguette pour nous entraîner dans un tout autre registre, le metteur en scène espagnol réussit à utiliser des thèmes classiques et emprunte même à d'autres grands films du genre (les références à Shining sont évidentes) afin d'insuffler à son deuxième long-métrage sa propre identité, délaissant les habituels retournements de situations fantastiques pour lorgner vers le thriller ésotérique. Et si on peut regretter une mise en scène inégale, alternant entre plans sobres effrayants et plans saccadés à l'Américaine (sûrement une volonté de la production), le film ne perd en rien de son sujet et arrive sans peine à nous intriguer voire à nous terrifier. Une nouvelle preuve du talent de Jaume Balagueró, à voir absolument.
On fait durer le suspens pendant tout le film (donc en gros il se passe rien pendant 1h20) et le final n'est même pas digne d'être à la hauteur... Déçevant..
Un film qui prend le temps de poser la trame de l'histoire semant intelligemment des indices qui s'expliqueront à la fin. L'inquiétude nous gagne puis petit à petit, chemin faisant, l'angoisse prend le dessus alors que le fantastique prend le pas sur la réalité. Même si ici, la justification de cette série d'évènements ne nous convainc pas entièrement, on tremble et c'est le parti pris réussi du réalisateur. Apprécions la prestation du père de famille qui rappelle (sans s'en approcher de trop près) la performance de Jack Nicholson dans Shining. Bien avant Rec, les espagnols savaient comment foutre les boules!
Scénario moyen, réalisation plutôt bonne, mais c'est suffisant pour rentrer dans le film ... Les VRAIS fan d'horreur pourront aimer ( pas ceux qui regardent juste "pour avoir peur" ;) ).
Dans son genre, ce film mériterait presque la note (approximative néanmoins) de quatre étoiles. REC la mérite. Lui quasiment. Mais compter avec tant de précision enlève du charme à l'ensemble. Jaume Balagueró signe ici un film de haute qualité, digne de son précédent, au-dessus même, un film différent de REC avec plus de sentimentalisme, rien à voir en fait... et tout simplement marquant.
La caméra virtuose de Balaguero est toujours très plaisante malgré ici quelques excès avec notamment la caméra qui de temps en temps vibrait un peu trop cependant le montage est superbe et permet au spectateur d’être plongé dans une ambiance malsaine, sombre et angoissante. Les acteurs sont assez inégaux mais ne s’en sortent pas mal surtout Iain Glen. Comme dans tous les films de Balaguero, l’histoire n’est pas vraisemblable et pourtant le spectateur éprouve un sentiment de malaise devant ses films.