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Sid Nitrik
58 abonnés
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3,0
Publiée le 16 février 2014
Deuxième film de Jaume Balaguero, « Darkness » s'inspire en grande partie d' « Amityville » tout en tendant un hommage, ou du moins un clin d'oeil, à « Shining » de Kubrick. Le réalisateur espagnol reprend grosso modo un thème similaire à celui de son précédent film « Los sin nombre » (les expériences ésotériques) mais range clairement celui-ci dans la catégorie surnaturelle. Malgré, encore une fois, un début légèrement poussif, « Darkness » se laisse plutôt bien suivre, jouant avec plus ou moins d'habileté sur la peur du noir. On sent également une légère progression dans la réalisation ainsi que dans la direction des acteurs. On reste tout de même encore un peu loin du degré de maîtrise et d'angoisse des « Autres » d'Amenàbar mais Balaguero apporte tout de même une pierre non négligeable dans la construction du cinéma d'angoisse espagnol moderne, tout en affirmant un style bien particulier. Une confirmation, certes, une grosse progression, pas vraiment.
En 2002, Jaume Balaguero tourne « Darkness ». C'est seulement son deuxième film mais on reconnaît déjà sa touche personnelle et l'ambiance sombre qui caractérise l'ensemble de son œuvre (Fragile, Rec) ; Cette noirceur et la réalisation très soignée font de « Darkness » un classique du genre. Ce long métrage est également doté d'un scénario très intéressant ; Certes l'histoire est basique et a souvent été exploitée par le passé, mais le suspense est tellement bien entretenu qu'on reste scotché devant l'écran. La peur, le malaise et la tension, diffus au début, montent crescendo jusqu'à l’étonnante scène finale qui parachève ce film intelligent. L'interprétation n'est pas en reste avec une mention spéciale à Anna Paquin (Malicia dans la série X-men) qui porte le film sur ses épaules, même si les autres acteurs sont bons également. Beaucoup d'atouts, donc, pour ce film d'horreur réussi. Les amateurs de frissons apprécieront sans aucun doute.
Quelle déception! Alors que le cinéma espagnol maîtrise plutôt bien le genre horrifique, nous sommes ici devant un ennui cinématographique de première classe. Pourtant, le pitch de départ semblait intéressant, mystérieux jusqu'à titiller la curiosité du spectateur. Malheureusement, ce sentiment ne va être que de courte durée face à un film qui puise ici ou là quelques bonnes idées pour en faire un mélange indigeste (maison hanté par des enfants, familles mystérieuses, lieux reculés, phénomènes surnaturels). Tout y passe, le meilleur comme le pire. Le spectateur s'ennui ferme, reste peu surpris face aux révélations. C'est un gâchis! Je ne retiendrais que le talent d'Anna Paquin, convaincant, sans plus.
Le prodige qui a su réaliser la terrifiante saga "{REC}" n'est évidement pas dénué de talent. Une intrigue qui monte crescendo tout au long du film. Dans les 1ères minutes on se demande si ça va réellement démarrer un jour, mais quand le suspens rentre en ligne de compte, le spectateur n'a plus qu'a se cramponner à son siège. Un très bon scénario dans la lignée de "Boogeyman" ou "Les autres", pour les amateurs de frisson, voila un film qu'il ne vaut mieux pas regarder dans le noir! 3,5/5
Un film qui aurait pu être pas mal si les acteurs n'étaient pas mauvais et surtout si les personnages n'étaient pas aussi idiots. Certaines scènes ne sont pas cohérentes avec le scénario et ça se voit tout de suite! Et surtout une des scènes finales désamorcent toutes les tentatives de faire peur. Vraiment pas terrible, vous perdrez vôtre temps en regardant ce film.
Bon film dans l'ensemble, mais un peu long. Je ne m suis pas laisser embarquer dedans, un peu trop exagégé par moment... L'histoire est bien, mais un peu difficile à comprendre.
Mauvais film . Je n'ai absolument accroché à l'univers de Darkness . J'ai trouvé ce film très banal , il n'y a aucune surprise et fait très peu frémir (manque de sursauts , d'originalité ... ) . 1,5/5 .
J'avoue être une sacrée pétocharde mais j'ai rarement vu un film d'horreur aussi bien monté avec un scénario qui tient la route : pas de truc bizarre genre mutants nés d'essais nucléaires ou des ravages d'un virus, mais du pure occultisme ! J'ai adoré, et je le recommande !
La peur du noir est brillamment exploitée dans ce film. Certaines scènes sont assez clichées (fantômes qui passe devant la caméra ) mais tellement efficace que ça fait quant même de l'effet. Et en tant que fan de la série Silent hill, je n'ai pu qu’étre charmé du final de ce film. Merci Balagero !!!!
La première moitié du film est esthétiquement très bien filmée. Après ça part en vrille sûrement parce que je déteste les forces obscures, l’au-delà, les fantômes et tout ce qui s’ensuit.
Avec ce second long métrage, Jaume Balaguero prouvait déjà à l’époque qu’il était bien talentueux et qu’il ferait partie des valeurs sûres du cinéma de genre ibérique. Son film d’horreur ne manque pas de séquences angoissantes grâce à une atmosphère qui n’est pas sans évoquer "La Malédicton" ou encore "Shining". L’histoire est en plus particulièrement bien écrite et possède son lot de surprises, et en plus le casting est excellent. Une œuvre qui fait donc dans une certaine efficacité quand il s’agit de distiller la peur.
Ce deuxième long-métrage de Jaume Balagueró est sans doute un de ses meilleurs films. Darkness se distingue grâce à une réalisation très soignée qui arrive immédiatement à créer une atmosphère pesante et malsaine autour de cette famille et on sursaute réellement à chaque manifestation surnaturelle habilement mise en scène. Si le scénario n'est pas vraiment original, il est suffisament bien écrit pour offrir quelques bons rebondissements et surtout une scène finale magistrale, point d'orgue d'une montée en puissance symbolisée par le décompte des jours dans le film. Il faut aussi noter la performance du casting, assez irréprochable. Vraiment flippant (à regarder tout seul pendant une nuit d'orage), Darkness est un incontournable pour tout fan du genre.
Les films de fantômes sont très nombreux ces dernières années, surtout si l'on tient compte de la multitude de films asiatiques. Il n'est donc pas évident d'innover, ce qu'essaye toutefois Balaguero. Et le problème est là : son scénario n'est pas très bien ficelé et fait plus office de bricolage visant à assurer un minimum de cohérence.