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ffred
1 702 abonnés
4 019 critiques
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3,5
Publiée le 16 septembre 2014
Deuxième film de Balaguero après le terrible La secte sans nom. L'ambiance est particulière, ça rappelle un peu L'orphelinat, et on voit que ce n'est pas américain : pas de happy end ! Une belle découverte...
Un film bien fait, avec quelques passages effrayants, mais relativement similaire à Amytiville dans son style. Autrement dit, pas beaucoup de surprises même si l'on passe un bon moment.
Le film est extrêmement long a se mettre en place ! De plus il s'agit principalement d'un film angoissant et non d'horreur. Toutefois le final a le mérite de rattraper tout le film qui nous offre dans sa globalité une oeuvre assez atypique qui évite de tomber dans l'erreur des stéréotype du même genre. A voir ca vaut le coup d'oeil.
J'ai vu Rec j'ai adorais,j'ai donc voulu voir Darkness l'un des film de Jaume Balaguero et franchement ce film est une réussite on frissonne beaucoup derrière un scénario brillant.Un bon film avec une fin incroyable.
Film d'épouvante efficace, qu'on suit avec attention et qui se termine de façon plutôt inattendue. Le casting est très bon, Lena Olin en particulier, et l'acteur qui joue le petit garçon. Ce n'est pas le meilleur dans son genre, mais celui-ci réussit à nous angoisser plus d'une fois et comporte plusieurs rebondissements.
ce film est un chef d'oeuvre , une montée en puissance tout au long de la mise en place d'un mystere qui devoilera une fin cultissime de l'horreur occulte
Le prodige qui a su réaliser la terrifiante saga "{REC}" n'est évidement pas dénué de talent. Une intrigue qui monte crescendo tout au long du film. Dans les 1ères minutes on se demande si ça va réellement démarrer un jour, mais quand le suspens rentre en ligne de compte, le spectateur n'a plus qu'a se cramponner à son siège. Un très bon scénario dans la lignée de "Boogeyman" ou "Les autres", pour les amateurs de frisson, voila un film qu'il ne vaut mieux pas regarder dans le noir! 3,5/5
Si avec La Secte sans Nom Jaume Balagueró se montrait au grand jour avec un thriller haletant et surtout déroutant, il fait preuve ici d'un autre savoir-faire dans un autre domaine... Amoureux des histoires de fantômes et très habile dans les jeux d'ombres et de lumières, le réalisateur espagnol nous livre avec Darkness une histoire terrifiante encore une fois centrée sur des enfants et sur une secte secrète. L'histoire se déroule donc toujours sur la terre natale du metteur en scène, près de Barcelone, mais le casting est cette fois-ci principalement américain : la famille Rua s'installe dans la demeure familiale abandonnée depuis quarante ans. Composée de Mark (Iain Glen), souffrant de troubles de la personnalité provoquant une attitude parfois violente, de sa femme Maria (Lena Olin) et de leur 2 enfants Regina (Anna Paquin, surprenante) et le jeune Paul (Stephan Enquist, une révélation). Peu à peu, plusieurs évènements étranges vont bien entendu se manifester : l'électricité défaille de plus en plus, Paul se retrouve avec des bleus d'origine inconnue, Mark recommence à avoir des crises par rapport à sa maladie et un lourd secret semble habiter la maison. Étant la seule à voir que quelque chose de terrible va arriver, Regina va tenter de découvrir les causes de ces évènements mystérieux. Avec Darkness, Balagueró nous livre une intrigue riche en rebondissements, agrémentée d'un suspense prenant qui, une fois le spectateur plongé dans le film, ne fera que s'amplifier jusqu'à un final bouleversant. Nous menant à la baguette pour nous entraîner dans un tout autre registre, le metteur en scène espagnol réussit à utiliser des thèmes classiques et emprunte même à d'autres grands films du genre (les références à Shining sont évidentes) afin d'insuffler à son deuxième long-métrage sa propre identité, délaissant les habituels retournements de situations fantastiques pour lorgner vers le thriller ésotérique. Et si on peut regretter une mise en scène inégale, alternant entre plans sobres effrayants et plans saccadés à l'Américaine (sûrement une volonté de la production), le film ne perd en rien de son sujet et arrive sans peine à nous intriguer voire à nous terrifier. Une nouvelle preuve du talent de Jaume Balagueró, à voir absolument.
"Darkness" est un film d'épouvante sur le thème de la peur de l'obscurité. Influencé par les Amityville (folie du père et maison hanté), ce film est angoissant et la tension monte assez vite notamment grace à ses plans flash. Bien que peu innovant, le scénario tient bien la route et la fin est tout simplement grandiose. Un film que je ne saurai que conseiller. De quoi réveiller notre peur du noir...
Mais quel moment de flippe ! On retrouve tout le talent de l'homme qui nous avait propulsé un méchant "la secte sans nom" au travers d'un film passionnant, imprévisible et sacrément inquiétant. On ne sait jamais vers quelle piste s'orienter (l'hypothèse classique du film de fantôme ne fait pas feu bien longtemps...). On joue avec nos nerfs avec maestria, le stress étant ici directement lié au montage du film, qui joue particulièrement sur les mouvements accélérés, répétitifs (aux effets presque clipesques) et les contrastes. On vole de surprise en surprise vers un final sidérant, jusqu'auboutisme dans ce que l'on voulait voir. Assurément, il s'agit la de la plus grande réussite de Jaume Balaguero, puisqu'on y retrouve de nombreux éléments qui reviendront souvant dans ses créations (les décors décrépis à la silent hill (présents dans la secte sans nom, fragile), l'obscurité (rec 2), le mal à l'état pur (la secte..., rec). Oeuvre riche, intense, que l'amateur du genre ne devrait en aucun cas dédaigner.
Encore un petit Balguero à se mettre sous la dent vraiment pas mal. Toujours là pour nous proposer des scénarios très interessants et surtout pas mal de frissons. Un des maîtres du genre. Là encire une fois, il nous montre bien qu'il maîtrise son sujet à 100% et c'est un plus. Car il sait nous faire peur quand il le faut et il possède souvent une bonne liste d'acteurs plutôt très bons, ce qui est très satisfisant. Anna Paquin pas mal comme les autres. Tout est assez sombre et cela nous met encore plus dans l'angoisse, parfait pour passer une bonne soirée entre amis, là dans le noir vous sursauterez à plusieurs reprises! A ne pas mettre sous les yeux des plus jeunes d'entre nous, cela va de soit. Alors bon film, régalez vous !
Une des plus belles réussites du film de fantômes. Bon les effets horrifiques sont un peu trop appuyés (j'aime quand c'est sobre) mais un certains suspense et malaise s'installent tout le long du récit. Il y a les éléments habituels du genre ce n'est pas du originalité excessive mais les dernières minutes sont vraiment noires et effrayantes.
Deuxième film de Jaume Balaguero, « Darkness » s'inspire en grande partie d' « Amityville » tout en tendant un hommage, ou du moins un clin d'oeil, à « Shining » de Kubrick. Le réalisateur espagnol reprend grosso modo un thème similaire à celui de son précédent film « Los sin nombre » (les expériences ésotériques) mais range clairement celui-ci dans la catégorie surnaturelle. Malgré, encore une fois, un début légèrement poussif, « Darkness » se laisse plutôt bien suivre, jouant avec plus ou moins d'habileté sur la peur du noir. On sent également une légère progression dans la réalisation ainsi que dans la direction des acteurs. On reste tout de même encore un peu loin du degré de maîtrise et d'angoisse des « Autres » d'Amenàbar mais Balaguero apporte tout de même une pierre non négligeable dans la construction du cinéma d'angoisse espagnol moderne, tout en affirmant un style bien particulier. Une confirmation, certes, une grosse progression, pas vraiment.
Quel bonheur de voir qu'il y a encore des réalisateurs qui savent faire de bons films! Un très bon casting, une histoire cohérente et un film qui repose sur la psychologie des personnages, et pas besoin d'effets spéciaux toutes les 5 minutes mais la peur est quand meme là! Et une fin surprenante! J'adore!
Dans son genre, ce film mériterait presque la note (approximative néanmoins) de quatre étoiles. REC la mérite. Lui quasiment. Mais compter avec tant de précision enlève du charme à l'ensemble. Jaume Balagueró signe ici un film de haute qualité, digne de son précédent, au-dessus même, un film différent de REC avec plus de sentimentalisme, rien à voir en fait... et tout simplement marquant.