Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Comme tous les grands films, Fleurs de sang ne nous aura transmis rien d'autre que la nécessité absolue, pour un spectateur décidé à survivre, d'arrêter de faire son cinéma.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
La beauté du film tient dans cette fusion constante entre les deux personnages, ce jeu de rôles permanent qui finit par donner aux frontières mère/fille des contours troublants entre le lien incestueux et le transfert d'identité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...), mais toutes ces imperfections ne font que rendre ce film précieux et émouvant comme un fragile bibelot de pacotille, véhiculant un charme plus tenace et enivrant qu'un objet d'art estampillé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
La méchanceté, la cruauté, la parenté qui relient "viscéralement" l'actrice-cinéaste à l'histoire de ce film possèdent un corps : celui de Myriam Mézières, la femme comme mante religieuse. Courez le voir, ce corps, c'est celui d'un papillon nu comme un ver à soie, brûlé par la lumière des sunlights ou par la cendre d'une cigarette. On ne ressort pas intact de Fleur de sang, film vénéneux. Tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
Un aussi impérieux désir préserve le film des écueils qui le guettent à tout moment, l'exhibitionnisme, la naïveté, l'outrance, le ridicule. Il permet aussi, alors qu'on craint, au bout d'une heure, un déraillement fatal, d'acheminer ce récit abracadabrant vers une fin absolument poignante : de celles qui réhaussent, à posteriori, la valeur des bobines les plus kamikazes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Au final, un film qui se donne pour épicentre le pathos et qui ne parvient pas à nous faire pleurer, ni rire à l'occasion. On dirait que le scénario lorgne vers Almodovar et le film pourrait d'ailleurs s'appeler Rien sur mon père.
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Non sans complaisance ni maladresse, le film déroulera ce fil de la grandeur et de la souffrance de la vocation artistique jusqu'au bout, sous la forme d'un drame final d'autant plus attendu qu'annoncé dès le début des opérations.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
La dernière partie, malgré l'excellente interprétation de Louise Szpindel, dans le rôle de Pam à 14 ans, se déroule sans vraiment de surprises. Un film sympathique qui laisse donc un peu sur sa faim...
Zurban
par Eric Quéméré
(...) une intrigue "libertaire" amoindrie par une certaine lourdeur mélodramatique.
Aden
par Philippe Piazzo
Cette façon agressive de jeter sans précaution tout et n'importe quoi à la face de l'autre (ici, le spectateur) semble vaine et puérile. Elle entraîne défiance et indifférence ; et l'autoportrait tourne à vide.
Première
par Nicolas Schaller
L'histoire (...) a clairement pour but de mettre mal à l'aise. Mais, à défaut d'être constructif, ce malaise tombe vite dans le ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
(...) pretexte pour le couple Tanner-Mézières d'une plongée en enfer indigeste à force de vouloir tout montrer (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Comme tous les grands films, Fleurs de sang ne nous aura transmis rien d'autre que la nécessité absolue, pour un spectateur décidé à survivre, d'arrêter de faire son cinéma.
Chronic'art.com
La beauté du film tient dans cette fusion constante entre les deux personnages, ce jeu de rôles permanent qui finit par donner aux frontières mère/fille des contours troublants entre le lien incestueux et le transfert d'identité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(...), mais toutes ces imperfections ne font que rendre ce film précieux et émouvant comme un fragile bibelot de pacotille, véhiculant un charme plus tenace et enivrant qu'un objet d'art estampillé.
Libération
La méchanceté, la cruauté, la parenté qui relient "viscéralement" l'actrice-cinéaste à l'histoire de ce film possèdent un corps : celui de Myriam Mézières, la femme comme mante religieuse. Courez le voir, ce corps, c'est celui d'un papillon nu comme un ver à soie, brûlé par la lumière des sunlights ou par la cendre d'une cigarette. On ne ressort pas intact de Fleur de sang, film vénéneux. Tant mieux.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un aussi impérieux désir préserve le film des écueils qui le guettent à tout moment, l'exhibitionnisme, la naïveté, l'outrance, le ridicule. Il permet aussi, alors qu'on craint, au bout d'une heure, un déraillement fatal, d'acheminer ce récit abracadabrant vers une fin absolument poignante : de celles qui réhaussent, à posteriori, la valeur des bobines les plus kamikazes.
Cine Libre
Au final, un film qui se donne pour épicentre le pathos et qui ne parvient pas à nous faire pleurer, ni rire à l'occasion. On dirait que le scénario lorgne vers Almodovar et le film pourrait d'ailleurs s'appeler Rien sur mon père.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Non sans complaisance ni maladresse, le film déroulera ce fil de la grandeur et de la souffrance de la vocation artistique jusqu'au bout, sous la forme d'un drame final d'autant plus attendu qu'annoncé dès le début des opérations.
MCinéma.com
La dernière partie, malgré l'excellente interprétation de Louise Szpindel, dans le rôle de Pam à 14 ans, se déroule sans vraiment de surprises. Un film sympathique qui laisse donc un peu sur sa faim...
Zurban
(...) une intrigue "libertaire" amoindrie par une certaine lourdeur mélodramatique.
Aden
Cette façon agressive de jeter sans précaution tout et n'importe quoi à la face de l'autre (ici, le spectateur) semble vaine et puérile. Elle entraîne défiance et indifférence ; et l'autoportrait tourne à vide.
Première
L'histoire (...) a clairement pour but de mettre mal à l'aise. Mais, à défaut d'être constructif, ce malaise tombe vite dans le ridicule.
TéléCinéObs
(...) pretexte pour le couple Tanner-Mézières d'une plongée en enfer indigeste à force de vouloir tout montrer (...).