Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
De cette abrutie cavalcade il n'y a rien à sauver, sinon quelques enseignements : le balourd Clovis Cornillac (...) s'avère être l'acteur central de cette constellation gynéco-hormonale bien envahissante ces temps-ci, et dont le film de Nathalie Schmidt est peut-être l'étoile la plus régressive.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Gilles Renault
Problème, toutefois, si on veut bien concéder une vague sympathie pour le postulat, le manque de tenue dont il pâtit confine vite à l'enlisement et c'est l'irritation qui prévaut dans cette suite de saynètes poussives qui, passée la curiosité des premières minutes, laisse place à l'ennui.
MCinéma.com
par Marc Kressman
Pauvre Julie Gayet : même en restant indulgent, son filet de voix tape rapidement sur les nerfs, tout comme son personnage de nunuche tout droit sortie d'une pub de Jean-Paul Goude des années 80. (...) Seul Tom Novembre, dans le rôle du pianiste agacé par les pitreries des trois compères, nous arrache quelques sourires. Comme lui, on a envie de crier "Allez ! On avance !".
Obejctif-Cinema.com
par Annelise Landureau
Seul Tom Novembre, en pianiste appliqué et agacé par ses amateurs, emporte notre adhésion (...)
Première
par Nicolas Schaller
La tournée des grands trouducs commence, et la descente d'acide pour le spectateur qui, de l'excitation, passe vite à la lassitude, faute de promesses tenues.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Charlotte Lipinska
Hélas, la vacuité du scénario et la platitude de la réalisation réduisent à peau de chagrin toute l'ambition du film. Les acteurs ont beau y aller à fond: le road movie déroule des séquences sans rythme et sans énergie. Le genre permettrait d'être enchanté, nos oreilles n'en sortent que crispées!
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
De cette abrutie cavalcade il n'y a rien à sauver, sinon quelques enseignements : le balourd Clovis Cornillac (...) s'avère être l'acteur central de cette constellation gynéco-hormonale bien envahissante ces temps-ci, et dont le film de Nathalie Schmidt est peut-être l'étoile la plus régressive.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Problème, toutefois, si on veut bien concéder une vague sympathie pour le postulat, le manque de tenue dont il pâtit confine vite à l'enlisement et c'est l'irritation qui prévaut dans cette suite de saynètes poussives qui, passée la curiosité des premières minutes, laisse place à l'ennui.
MCinéma.com
Pauvre Julie Gayet : même en restant indulgent, son filet de voix tape rapidement sur les nerfs, tout comme son personnage de nunuche tout droit sortie d'une pub de Jean-Paul Goude des années 80. (...) Seul Tom Novembre, dans le rôle du pianiste agacé par les pitreries des trois compères, nous arrache quelques sourires. Comme lui, on a envie de crier "Allez ! On avance !".
Obejctif-Cinema.com
Seul Tom Novembre, en pianiste appliqué et agacé par ses amateurs, emporte notre adhésion (...)
Première
La tournée des grands trouducs commence, et la descente d'acide pour le spectateur qui, de l'excitation, passe vite à la lassitude, faute de promesses tenues.
Zurban
Hélas, la vacuité du scénario et la platitude de la réalisation réduisent à peau de chagrin toute l'ambition du film. Les acteurs ont beau y aller à fond: le road movie déroule des séquences sans rythme et sans énergie. Le genre permettrait d'être enchanté, nos oreilles n'en sortent que crispées!