Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Zurban
par Stéphane Brisset
Certes, le film, nonobstant son culot à flirter avec les zones d'ombre du héros, témoigne d'éphémères faiblesses de rythme. Mais, dans le genre familial, il serait malvenu de faire la fine bouche. A noter toutefois qu'il faut sans doute préférer la VF à l'original italien dans lequel Roberto Benigni (photo), par son cabotinage et ses outrances verbales, phagocyte le personnage de Pinocchio.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
Le résultat est une pathétique caricature. Pas très loin de ce chanteur noir devenu blanc et qui se fait appeler Bambi en rêvant de Peter Pan. Infantiles, ces adultes semblent avoir oublié qu'un enfant, très vite, n'a qu'un seul rêve : grandir.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Pinocchio vu par Benigni est une rêverie trop grande pour un corps trop occupé.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
La platitude du film, lent et répétitif, est dommageable à la fable : on assiste à une niaiserie bien-pensante et inutile.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
En bref, le film nous somme de l'aimer. L'auteur pourrait pourtant savoir que cela ne se décrète pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Mais surtout, Benigni dans le role de Pinocchio en fait trop. Il hurle, pleure, rit, grimace, se roule par terre. Et il n'est plus un gamin. Erreur de casting ?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Florence Colombani
Vêtu d'un costume à collerette et coiffé d'un chapeau pointu, l'acteur quadragénaire gambade à travers les prés, bat des mains quand il est joyeux et parle d'une voix de fausset. Cette interprétation pénible est aggravée par le manque de cohérence qui caractérise le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Bérengère Adda
L'esthétisme de certaines scènes ne suffit pas à compenser l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
(...) le film ne décolle pourtant jamais et il faut en tenir responsable l'histrionisme asphyxiant de Benigni qui gesticule et vocifère avec son chapeau en mie de pain sur la tête et son pyjama de clown.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christian Jauberty
Cruellement dénué de charme et d'émotion, court en action et plombé par des dialogues affligeants, le film rame à contre-courant dans un océan de ridicule où il finit par sombrer. Ciao, pantin !
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par François Forestier
Mise en scène sans éclat, comédien trop vieux, diction énervée (tout le monde vocifère).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
L'acteur-metteur en scène prend le pouvoir, et c'est le personnage qui en fait les frais : il ne reste ici quasiment rien des émotions de l'enfance, dont Luigi Comencini avait bien vu qu'elles faisaient toute la valeur du conte de Carlo Collodi, dans l'adaptation qu'il en fit en 1972 pour la télévision. Benigni est un Pinocchio buté, bêta, dont le coeur est toujours de bois : dans les scènes où il pleure, la pantomime est à son comble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
Certes, le film, nonobstant son culot à flirter avec les zones d'ombre du héros, témoigne d'éphémères faiblesses de rythme. Mais, dans le genre familial, il serait malvenu de faire la fine bouche. A noter toutefois qu'il faut sans doute préférer la VF à l'original italien dans lequel Roberto Benigni (photo), par son cabotinage et ses outrances verbales, phagocyte le personnage de Pinocchio.
Aden
Le résultat est une pathétique caricature. Pas très loin de ce chanteur noir devenu blanc et qui se fait appeler Bambi en rêvant de Peter Pan. Infantiles, ces adultes semblent avoir oublié qu'un enfant, très vite, n'a qu'un seul rêve : grandir.
Cahiers du Cinéma
Pinocchio vu par Benigni est une rêverie trop grande pour un corps trop occupé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
La platitude du film, lent et répétitif, est dommageable à la fable : on assiste à une niaiserie bien-pensante et inutile.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
En bref, le film nous somme de l'aimer. L'auteur pourrait pourtant savoir que cela ne se décrète pas.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Mais surtout, Benigni dans le role de Pinocchio en fait trop. Il hurle, pleure, rit, grimace, se roule par terre. Et il n'est plus un gamin. Erreur de casting ?
Le Monde
Vêtu d'un costume à collerette et coiffé d'un chapeau pointu, l'acteur quadragénaire gambade à travers les prés, bat des mains quand il est joyeux et parle d'une voix de fausset. Cette interprétation pénible est aggravée par le manque de cohérence qui caractérise le film.
Le Parisien
L'esthétisme de certaines scènes ne suffit pas à compenser l'ennui.
Libération
(...) le film ne décolle pourtant jamais et il faut en tenir responsable l'histrionisme asphyxiant de Benigni qui gesticule et vocifère avec son chapeau en mie de pain sur la tête et son pyjama de clown.
Première
Cruellement dénué de charme et d'émotion, court en action et plombé par des dialogues affligeants, le film rame à contre-courant dans un océan de ridicule où il finit par sombrer. Ciao, pantin !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mise en scène sans éclat, comédien trop vieux, diction énervée (tout le monde vocifère).
Télérama
L'acteur-metteur en scène prend le pouvoir, et c'est le personnage qui en fait les frais : il ne reste ici quasiment rien des émotions de l'enfance, dont Luigi Comencini avait bien vu qu'elles faisaient toute la valeur du conte de Carlo Collodi, dans l'adaptation qu'il en fit en 1972 pour la télévision. Benigni est un Pinocchio buté, bêta, dont le coeur est toujours de bois : dans les scènes où il pleure, la pantomime est à son comble.