Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Habitées par Anouk Grinberg, qui n'a pas son pareil pour passer des bleus à l'âme au bleu azur, "Les Petites Couleurs" nous en mettent plein la vue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Aden
par Philippe Piazzo
Les Petites Couleurs ressemble à ces ritournelles qui flattent si agréablement l'oreille, les jours de beau temps. Trop naïf, sucré, maladroit, gentil ? C'est aussi ce qui fait tout son charme : créer une petite bulle de légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Lise Bellynck
Tout est fusillé lorsque les deux actrices saisissantes, audacieuses et fines nous glacent et nous emportent vers un plaisir auquel on ne peut pas grand-chose : c'est drôle.
Cine Libre
par Mélanie Lemaire
En sortant des Petites couleurs, on est sûr de ne plus regarder les hôtels routiers de la même façon. Même si tout y semble un peu irréel. Un film plus qu'agréable, un rêve éveillé.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sous les couleurs d'une culture populaire censément réhabilitée à travers ses stéréotypes les plus grossiers, tout finira pour le mieux, sinon pour le film, du moins pour ses héroïnes sanctifiées en vertu de leur simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un petit film sans prétention dont le charme acidulé sous influence Demy finit par agir et par conquérir le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Porté par un duo d'actrices au jeu particulier, Bernadette Lafont et Anouk Grinberg (...), le film entraîne le spectateur dans son univers original et jamais lassant, alors même que le scénario se réduit à une fable naïve. Ce dosage parfait entre désarroi humain et improbable poétique en fait une réussite, au moins dans son genre. Un seul reproche toutefois : est-ce un film ou un téléfilm ?
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Claire Vassé
Anouk Grinberg, loin de ses habituels cabotinages, apporte une grâce touchante et Bernadette Lafont règne avec humanité sur tout ce petit monde. Et puis il y a cet improbable soap opera dont la mélodie récurrente fait vivre le motel au rythme de l'utopie de l'amour. Recolorant discrètement le monde par petites touches, Patricia Plattner détourne avec charme le pathétique des situations et signe un film qui porte bien son titre.
Chronic'art.com
par Elise Bourges
(...) Patricia Plattner fait ici preuve d'un ton personnel et décalé avec, par exemple, l'insertion de scènes musicales dans le film qui apportent un contrepoint audacieux. Dommage que l'ensemble des Petites couleurs ne soit pas bâti sur cette exigence d'originalité car beaucoup trop de scènes restent prévisibles dans cette fable optimiste à laquelle on aurait bien aimé adhérer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Echos
par Annie Coppermann
Anouk Grinberg, (...) plus sobre à l'écran que d'habitude, comme assagie, elle donne parfaitement la réplique à la grande Bernadette Lafont, qui assume avec une contagieuse voracité son personnage de veuve joyeuse au grand coeur. On ne marche pas tout à fait. Mais on applaudit !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Christophe Carrière
(...) Bagdad Café (...) est assez culte pour qu'on s'en souvienne encore. Nonobstant cette pesante similitude, Les Petites Couleurs garde un charme propre aux petites chroniques humanistes avec ce qu'il faut de traumas et d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Comme Patricia Plattner se moque gentiment de la passion de ses héroïnes pour (une série télé), on s'amuse avec elle et on se prend de sympathie pour les aventures et mésaventures de la jolie coiffeuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Isabelle Fajardo
Deux rôles sur mesure (et sans surprise) pour les deux comédiennes, Anouk Grinberg et Bernadette Lafont, celle qui pleure et celle qui résiste, avec qui l'on partage, tantôt amusé, tantôt agacé, cette suite de séances régressives.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Habitées par Anouk Grinberg, qui n'a pas son pareil pour passer des bleus à l'âme au bleu azur, "Les Petites Couleurs" nous en mettent plein la vue.
Aden
Les Petites Couleurs ressemble à ces ritournelles qui flattent si agréablement l'oreille, les jours de beau temps. Trop naïf, sucré, maladroit, gentil ? C'est aussi ce qui fait tout son charme : créer une petite bulle de légèreté.
Cahiers du Cinéma
Tout est fusillé lorsque les deux actrices saisissantes, audacieuses et fines nous glacent et nous emportent vers un plaisir auquel on ne peut pas grand-chose : c'est drôle.
Cine Libre
En sortant des Petites couleurs, on est sûr de ne plus regarder les hôtels routiers de la même façon. Même si tout y semble un peu irréel. Un film plus qu'agréable, un rêve éveillé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Sous les couleurs d'une culture populaire censément réhabilitée à travers ses stéréotypes les plus grossiers, tout finira pour le mieux, sinon pour le film, du moins pour ses héroïnes sanctifiées en vertu de leur simplicité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un petit film sans prétention dont le charme acidulé sous influence Demy finit par agir et par conquérir le spectateur.
MCinéma.com
Porté par un duo d'actrices au jeu particulier, Bernadette Lafont et Anouk Grinberg (...), le film entraîne le spectateur dans son univers original et jamais lassant, alors même que le scénario se réduit à une fable naïve. Ce dosage parfait entre désarroi humain et improbable poétique en fait une réussite, au moins dans son genre. Un seul reproche toutefois : est-ce un film ou un téléfilm ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Anouk Grinberg, loin de ses habituels cabotinages, apporte une grâce touchante et Bernadette Lafont règne avec humanité sur tout ce petit monde. Et puis il y a cet improbable soap opera dont la mélodie récurrente fait vivre le motel au rythme de l'utopie de l'amour. Recolorant discrètement le monde par petites touches, Patricia Plattner détourne avec charme le pathétique des situations et signe un film qui porte bien son titre.
Chronic'art.com
(...) Patricia Plattner fait ici preuve d'un ton personnel et décalé avec, par exemple, l'insertion de scènes musicales dans le film qui apportent un contrepoint audacieux. Dommage que l'ensemble des Petites couleurs ne soit pas bâti sur cette exigence d'originalité car beaucoup trop de scènes restent prévisibles dans cette fable optimiste à laquelle on aurait bien aimé adhérer.
Les Echos
Anouk Grinberg, (...) plus sobre à l'écran que d'habitude, comme assagie, elle donne parfaitement la réplique à la grande Bernadette Lafont, qui assume avec une contagieuse voracité son personnage de veuve joyeuse au grand coeur. On ne marche pas tout à fait. Mais on applaudit !
Première
(...) Bagdad Café (...) est assez culte pour qu'on s'en souvienne encore. Nonobstant cette pesante similitude, Les Petites Couleurs garde un charme propre aux petites chroniques humanistes avec ce qu'il faut de traumas et d'humour.
TéléCinéObs
Comme Patricia Plattner se moque gentiment de la passion de ses héroïnes pour (une série télé), on s'amuse avec elle et on se prend de sympathie pour les aventures et mésaventures de la jolie coiffeuse.
Télérama
Deux rôles sur mesure (et sans surprise) pour les deux comédiennes, Anouk Grinberg et Bernadette Lafont, celle qui pleure et celle qui résiste, avec qui l'on partage, tantôt amusé, tantôt agacé, cette suite de séances régressives.