Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Comment j'ai tué mon père est (...) un drame psychologique soigné, mais refroidi, qui se perd un peu dans la laborieuse analyse de rapports pervertis, pas aussi fructueuse qu'on l'attendait. Un petit film d'une qualité bien franchouillarde, aussi maîtrisé que fastidieux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur et Alain Grasset
Ce film, qui a frôlé la sélection à Cannes, est un petit chef-d'oeuvre qui ne se départ jamais d'une troublante intensité. Avec Bouquet, Berling et Régnier (sublime !), elle a mis trois tigres dans son casting. Le tout est une rare mécanique de précision.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Anne Coppermann
Mis en scène avec une impeccable efficacité, ce scénario à la fois feutré et terrible doit beaucoup à ses interprètes, tous superbes (...). On sort mal à l'aise. Mais très impressionné !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Comment j'ai tué mon père est sans aucun doute le plus abouti des films d'Anne Fontaine. Un long métrage pudique et bouleversant sur la filiation, qui évoque le meilleur du cinéma de Claude Sautet.
Positif
par Lorenzo Codelli
C'est avec un plaisir indiscible qu'on suit les personnages, les dialogues riches de sens, en progression psychologique légère et continue, encore plus grâce aux acteurs dirigés intuitivement, sans jamais forcer.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Frédéric Strauss
Vive l'ambivalence, vive l'ambiguïté ! Comment j'ai tué mon père nous en régale. En donnant à chaque personnage ses raisons, Anne Fontaine fait apparaître ce qu'il y a d'insoluble dans cette querelle père-fils au fond très commune.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Lentement et tout en retenue, sans pathos et avec beaucoup de pudeur, Comment j'ai tué mon père est un drame bouleversant et intense qui remue et dont on ne sort pas indemne. Claustrophobes s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Express
par Marie Marvier
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier de Bruyn
Si la mise en scène peut paraître statique (...), et si quelques personnages secondaires énervent, le film maintient un suspense claustro de tous les instants avec son papa bizarre (Michel Bouquet) et nihiliste qui, dès qu'il apparaît, instaure du mystère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
par Elodie Lepage
C'est propre, bien servi par un trio d'acteurs impeccables (Natacha Régnier est surprenante en bourgeoise névrosée), mais aussi un brin ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le décorum bourgeois, la beauté froide de l'image (...) s'érigent en barrière contre le mouvement naturel du film qui devrait le mener au trouble, à l'humanité, à l'instabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Mouvements fluides et enrobants, déplacements des comédiens réglés au millimètre, récurrence des figures de style dénotent moins d'une réelle inspiration qu'une application studieuse (...) qui cadenasse le film (...)
Repérages
par Christophe Chauville
(...) Anne Fontaine évitant la dramatisation excessive et se gardant au possible de toute empathie pour ses personnages. Mais si elle gagne en épure, elle égare le trouble vénéneux qui habitait Nettoyage à sec.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean- Philippe Tessé
Comment j'ai tué mon père ressemble à une dissertation d'étudiant en psycho à l'imagination boiteuse que vient sauver du désastre un savoir-faire d'énarque.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Figée, cette (belle ? ) mécanique révèle son impuissance à faire vivre ses personnages autrement que comme des figures de cartes à jouer. Pour un cinéma qui a l'ambition d'aller sonder les âmes, c'est gênant.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dans la lignée des autres films écrits par le scénariste Jacques Fieschi (...). Au point qu'on se demande si ce n'est pas plus un film de Fieschi que de la réalisatrice Anne Fontaine, qui se contente d'alourdir cette épopée familiale (...) avec un filmage faussement élégant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Chronic'art.com
Comment j'ai tué mon père est (...) un drame psychologique soigné, mais refroidi, qui se perd un peu dans la laborieuse analyse de rapports pervertis, pas aussi fructueuse qu'on l'attendait. Un petit film d'une qualité bien franchouillarde, aussi maîtrisé que fastidieux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Ce film, qui a frôlé la sélection à Cannes, est un petit chef-d'oeuvre qui ne se départ jamais d'une troublante intensité. Avec Bouquet, Berling et Régnier (sublime !), elle a mis trois tigres dans son casting. Le tout est une rare mécanique de précision.
Les Echos
Mis en scène avec une impeccable efficacité, ce scénario à la fois feutré et terrible doit beaucoup à ses interprètes, tous superbes (...). On sort mal à l'aise. Mais très impressionné !
MCinéma.com
Comment j'ai tué mon père est sans aucun doute le plus abouti des films d'Anne Fontaine. Un long métrage pudique et bouleversant sur la filiation, qui évoque le meilleur du cinéma de Claude Sautet.
Positif
C'est avec un plaisir indiscible qu'on suit les personnages, les dialogues riches de sens, en progression psychologique légère et continue, encore plus grâce aux acteurs dirigés intuitivement, sans jamais forcer.
Télérama
Vive l'ambivalence, vive l'ambiguïté ! Comment j'ai tué mon père nous en régale. En donnant à chaque personnage ses raisons, Anne Fontaine fait apparaître ce qu'il y a d'insoluble dans cette querelle père-fils au fond très commune.
Cinopsis.com
Lentement et tout en retenue, sans pathos et avec beaucoup de pudeur, Comment j'ai tué mon père est un drame bouleversant et intense qui remue et dont on ne sort pas indemne. Claustrophobes s'abstenir.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Si la mise en scène peut paraître statique (...), et si quelques personnages secondaires énervent, le film maintient un suspense claustro de tous les instants avec son papa bizarre (Michel Bouquet) et nihiliste qui, dès qu'il apparaît, instaure du mystère.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
C'est propre, bien servi par un trio d'acteurs impeccables (Natacha Régnier est surprenante en bourgeoise névrosée), mais aussi un brin ennuyeux.
Le Monde
Le décorum bourgeois, la beauté froide de l'image (...) s'érigent en barrière contre le mouvement naturel du film qui devrait le mener au trouble, à l'humanité, à l'instabilité.
Les Inrockuptibles
Mouvements fluides et enrobants, déplacements des comédiens réglés au millimètre, récurrence des figures de style dénotent moins d'une réelle inspiration qu'une application studieuse (...) qui cadenasse le film (...)
Repérages
(...) Anne Fontaine évitant la dramatisation excessive et se gardant au possible de toute empathie pour ses personnages. Mais si elle gagne en épure, elle égare le trouble vénéneux qui habitait Nettoyage à sec.
Urbuz
Comment j'ai tué mon père ressemble à une dissertation d'étudiant en psycho à l'imagination boiteuse que vient sauver du désastre un savoir-faire d'énarque.
Aden
Figée, cette (belle ? ) mécanique révèle son impuissance à faire vivre ses personnages autrement que comme des figures de cartes à jouer. Pour un cinéma qui a l'ambition d'aller sonder les âmes, c'est gênant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Dans la lignée des autres films écrits par le scénariste Jacques Fieschi (...). Au point qu'on se demande si ce n'est pas plus un film de Fieschi que de la réalisatrice Anne Fontaine, qui se contente d'alourdir cette épopée familiale (...) avec un filmage faussement élégant.