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Votre avis sur Minority Report ?
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Je suis on ne peut plus d'accord avec l'affiche. Minority report est l'un des meilleurs films de Spielberg. Je rejoint d'ailleurs les personnes qui trouvent ce dernier jamais autant créatif, inventif, et dans son élément, que quand il s'attaque à la Science fiction. Car celui-là c'est vraiment l'un de mes films de SF préférés avec Inception, Blade runner, Starship Troopers, et le Total recall de 1990. Prenant, inventif, original, excellente mise en scène,excellent duel Colin Farrell/Tom cruise, et ambiance futuriste vraiment bien travaillée, crédible, et bien faîte. L'histoire est vraiment intélligente, originale et possède des rebondissements. Le rythme ne faiblit pas une seule seconde et la scène avec les yeux est indubitablement un très grand moment ciné. Bref, tout y est ! Un pur Chef-d'oeuvre de Science-fiction à ne pas louper pour les amoureux du genre. L'un, si ce n'est LE, plus gros morceau de choix de la filmographie de Tom Cruise selon moi Incontournable !
Enorme film de Spielberg: un scénario très intelligent avec une véritable réflexion, une vision du futur intéressante, des touches d'humour réussies, un Tom Cruise en pleine forme, des scènes d'actions tranchantes et surtout une réalisation exceptionnelle. Incontestablement un film culte en matière de science-fiction.
Minority Report : Quand Spielberg Te Dit Que T'es Coupable Avant Même D'avoir Pris Ta Décision
Dans Minority Report, Spielberg nous propulse en 2054 avec une technologie capable de te balancer direct en taule pour des crimes que tu n’as même pas encore commis. Bienvenue dans l'univers de la "Pré-crime", un concept où l'intention devient déjà la sentence. Et là, paf ! Le boss de cette unité, John Anderton, incarné par Tom Cruise (en mode Mission Impossible… mais encore plus sous pression), se retrouve accusé du crime qu’il n’a même pas encore eu le temps d’envisager. Ce futur dystopique, Spielberg nous le présente à la perfection avec un filtre bleuté, un peu comme si toute l’humanité vivait sous une lumière de frigo en permanence.
Ça sent la surveillance à outrance, mais attention, hein ! C’est pour protéger les gentils citoyens. Les scans rétiniens te suivent à la trace, on pourrait presque croire qu’Alexa a monté d'un cran et qu'elle appelle la police avant même que tu ne dises "Ok Google". Sauf que là, la technologie, c'est carrément flippant. Parce que même quand t'as rien fait, les mecs sont là à te traquer comme un chien. Pas de pression hein, juste ton avenir qui est déjà décidé par trois espèces de médiums chelous dans une baignoire. Ambiance glauque assurée.
John Anderton, c’est un mec paumé entre un futur qu’il n’a pas choisi et un passé qui le hante. Quand il se fait choper par sa propre technologie, il doit jouer au chat et à la souris avec son propre job. Et là, Spielberg sort l’artillerie lourde avec des séquences d’action qui t’en mettent plein les yeux. Littéralement. La scène où Cruise se fait greffer des nouveaux yeux, c’est du grand art… glauque mais du grand art. Merci Steven pour ce petit moment de tension où t'as peur d’aller chez l’ophtalmo après ça.
Spielberg te colle une ambiance de paranoïa qui ferait passer Orwell pour un joyeux drille. Ici, le moindre geste est suspect et t’as l’impression que ton frigo pourrait te balancer à la Pré-crime s’il trouve que t’as mangé un yaourt périmé. L’histoire est menée d’une main de maître avec ce twist où Tom Cruise doit découvrir pourquoi on l’a marqué coupable, et si au passage il pouvait régler ses traumas familiaux, ce serait pas mal. Mais le vrai coup de génie du film, c’est d’avoir rendu le futur aussi flippant qu’un épisode de Black Mirror, avant même que la série n’existe.
Le truc cool dans ce film, c'est que rien n’est simple. T'as des complots, des trahisons, et un Tom Cruise qui cavale dans tous les sens. Et évidemment, Spielberg pose la question ultime : peut-on vraiment juger quelqu’un sur ses intentions ? Parce que si c'est le cas, autant tous s’enfermer direct. L’intelligence artificielle, c’est bien gentil, mais quand elle se met à te coller des crimes sur le dos juste parce que t’as pensé "Et si je tuais mon patron ?", ça devient chaud.
Avec Minority Report, Spielberg prouve que même sans dinosaures ou extra-terrestres, il sait te coller une pression monstre. Des courses-poursuites haletantes, un Tom Cruise en mode survie, et une critique de notre propre futur où la technologie pourrait bien devenir notre pire ennemie. Ce film, c’est un cocktail explosif de tension, d’introspection et de scènes d’action badass. À voir absolument… avant qu’Alexa te dénonce.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Dans Minority Report, Spielberg nous propulse en 2054 avec une technologie capable de te balancer direct en taule pour des crimes que tu n’as même pas encore commis. Bienvenue dans l'univers de la "Pré-crime", un concept où l'intention devient déjà la sentence. Et là, paf ! Le boss de cette unité, John Anderton, incarné par Tom Cruise (en mode Mission Impossible… mais encore plus sous pression), se retrouve accusé du crime qu’il n’a même pas encore eu le temps d’envisager. Ce futur dystopique, Spielberg nous le présente à la perfection avec un filtre bleuté, un peu comme si toute l’humanité vivait sous une lumière de frigo en permanence.
Ça sent la surveillance à outrance, mais attention, hein ! C’est pour protéger les gentils citoyens. Les scans rétiniens te suivent à la trace, on pourrait presque croire qu’Alexa a monté d'un cran et qu'elle appelle la police avant même que tu ne dises "Ok Google". Sauf que là, la technologie, c'est carrément flippant. Parce que même quand t'as rien fait, les mecs sont là à te traquer comme un chien. Pas de pression hein, juste ton avenir qui est déjà décidé par trois espèces de médiums chelous dans une baignoire. Ambiance glauque assurée.
John Anderton, c’est un mec paumé entre un futur qu’il n’a pas choisi et un passé qui le hante. Quand il se fait choper par sa propre technologie, il doit jouer au chat et à la souris avec son propre job. Et là, Spielberg sort l’artillerie lourde avec des séquences d’action qui t’en mettent plein les yeux. Littéralement. La scène où Cruise se fait greffer des nouveaux yeux, c’est du grand art… glauque mais du grand art. Merci Steven pour ce petit moment de tension où t'as peur d’aller chez l’ophtalmo après ça.
Spielberg te colle une ambiance de paranoïa qui ferait passer Orwell pour un joyeux drille. Ici, le moindre geste est suspect et t’as l’impression que ton frigo pourrait te balancer à la Pré-crime s’il trouve que t’as mangé un yaourt périmé. L’histoire est menée d’une main de maître avec ce twist où Tom Cruise doit découvrir pourquoi on l’a marqué coupable, et si au passage il pouvait régler ses traumas familiaux, ce serait pas mal. Mais le vrai coup de génie du film, c’est d’avoir rendu le futur aussi flippant qu’un épisode de Black Mirror, avant même que la série n’existe.
Le truc cool dans ce film, c'est que rien n’est simple. T'as des complots, des trahisons, et un Tom Cruise qui cavale dans tous les sens. Et évidemment, Spielberg pose la question ultime : peut-on vraiment juger quelqu’un sur ses intentions ? Parce que si c'est le cas, autant tous s’enfermer direct. L’intelligence artificielle, c’est bien gentil, mais quand elle se met à te coller des crimes sur le dos juste parce que t’as pensé "Et si je tuais mon patron ?", ça devient chaud.
Avec Minority Report, Spielberg prouve que même sans dinosaures ou extra-terrestres, il sait te coller une pression monstre. Des courses-poursuites haletantes, un Tom Cruise en mode survie, et une critique de notre propre futur où la technologie pourrait bien devenir notre pire ennemie. Ce film, c’est un cocktail explosif de tension, d’introspection et de scènes d’action badass. À voir absolument… avant qu’Alexa te dénonce.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Eric C.
Original, creatif, superbement filmé et interprète ,un chef d’oeuvre du grand Spielberg et du génial Tom Cruise. Une claque de film SF policier. Un film d’anticipation unique, une référence, un film culte. Tous les superlatifs sont appropriés. Il n’y à plus qu’à en prendre plein la figure et se délecter de ce grand film. Vive le cinéma.
L'œuvre de Spielberg est tout simplement un régale que ce soit par ces effets spéciaux stupéfiants ou bien alors par le jeu d'acteur de Tom Cruise plus que jamais au sommet.
Tout comme ce sera Leonardo Di Caprio qui sera à l'origine d'Arrête-moi si tu peux, c'est Tom Cruise qui proposera à Steven Spielberg, l'adaptation de Minority Report basée sur une nouvelle de Philip K.Dick. Ce dernier a déjà inspiré de prestigieux réalisateurs : Ridley Scott pour Blade Runner ou Paul Verhoeven pour Total Recall. Nous sommes à Washington en 2054. Toute forme de crime a disparu grâce à la Précrime. Désormais des voyants extra-lucides peuvent prévoir les meurtres à l'avance, ce qui permet de les empêcher d'avoir lieu. Seul petit problème de déontologie : sont-ils vraiment coupables puisqu'ils n'ont rien encore fait au moment de l'interpellation ? Néanmoins cette stratégie a du bon puisque le taux d'assassinat a été réduit à 0. Le futur est aseptisé, tout est à base d'hologrammes et d'ordinateurs et pour dire vrai, cette vision du futur fait froid dans le dos car manquant de chaleur humaine, renforcée en cela par la photographie bleu acier de Janusz Kaminski. Jusqu'au jour où le chef de cette Précrime, John Anderton, se voit lui-même accusé de meurtre. Le traqueur deviendra traqué par ses anciens collègues de travail. Il devra, revenir sur les traces d'un passé douloureux (la perte de son enfant), changer son avenir et donc faire mentir les Précogs, ceux qui avertissent les policiers des meurtres allant se produire. Spielberg, très justement, nous affirme que rien n'est écrit. Notre destin est ce que nous en faisons car on a toujours le choix. Prévoir l'avenir est dangereux car il amène à faire de nombreuses erreurs d'interprétations. Minority Report est un film d'anticipation assez complexe. Spielberg a décidé, enfin, de mûrir et même si ce film, au final, a plutôt l'air d'un bel objet glacé manquant de vie, un Spielberg restera toujours meilleur qu'un autre film.
A l'origine prévu pour être réalisé par Stanley Kubrick, qui malheureusement décéda, l'adaptation de la nouvelle éponyme de Philip , "Minority Report", atterrit finalement entre les mains de Steven Spielberg. Le film place le spectateur dans un futur prochecyberpunk, une dystopie dont le cadre est Washington, en 2054, où des êtres humains mutants, les précogs, peuvent prédire les crimes à venir grâce à leur don de prescience. La société est donc parvenue à éradiquer le meurtre grâce aux précognitifs, des êtres humains en état de stase qui arrivent à prédire les crimes. Ces précogs, fournissent de manière explicité l'heure du méfait, le nom de l'agresseur et le nom de la victime, tous les autres aspects du crime (notamment le lieu) ne peuvent être obtenus qu'en décryptant de maigres indices dans les images relayées par les cerveaux des précogs. La vie de John Anderton, chef de la «Précrime» depuis six ans suite à la disparition de son fils, bascule le jour où les précogs lui renvoient sa propre image, où il est censé tué un parfait inconnu. Pris de doute, Anderton prend la fuite dans l'espoir de déjouer le complot, mais est-ce la réalité ou est-ce que le système est défaillant ? Fort d'une réalisation impeccable, Steven Spielberg a eu la bonne idée de faire appel à Janusz Kaminski pour la photographie qui est vraiment très belle. La représentation de la société de demain est glaçante, les objets et gadgets (home cinéma 3D, téléphones de la taille d'une oreillette) sont une extrapolation astucieuse de notre vie quotidienne. Ce futur, on y croit vraiment car le film est vraiment très réaliste (reconnaissance rétinienne, surveillance via nos actes...). La course-poursuite donne au récit une formidable dynamique, et, au fur et à mesure que s'éclaire la machination, les rebondissements s'enchaînent sans que l'intérêt ne se relâche, grâce à un scénario des plus complexes et inventif qui soit. Le casting est très convaincant : Tom Cruise est vraiment excellent, tout comme Colin Farrell, dans un de ses meilleurs rôles, et Max Von Sydow tout simplement parfait dans son rôle. Pour la musique Spieleberg s'accompagne une nouvelle fois du talentueux John Williams qui nous compose une nouvelle fois une excellente B.O. Ainsi, on peut aisément dire que "Minority Report" est un tournant dans le cinéma de science-fiction, de part les effets spéciaux sidérants, le thématique philosophique développée, le scénario complexe, et la réalisation tout bonnement impeccable. Un excellent film de science-fiction à voir de toute urgence si ce n'est déjà fait.
On est rarement déçu avec Spielberg et "Minority report" ne fait pas exception. Le réalisateur américain combine une mise en scène maîtrisée et un scénario à fois équilibré et surprenant, pour proposer un divertissement ultra bien mené. Spielberg a su créer un univers futuriste inventif et crédible qui rend le film très impressionnant visuellement. Bien rythmé, le long-métrage ne baisse jamais en intensité, se renouvelant constamment pour surprendre le spectateur. Le film aborde une multitude de thématiques (deuil, totalitarisme, vision, mémoire), sans jamais en sous-traiter une seule, ce qui fait de "Minority report" un film passionnant malgré ses facilités d'écriture. Spielberg évite les clichés et propose un exemple parfait de blockbuster intelligent, un film divertissant doté d'une véritable ambition artistique et qui nourrit une réflexion. Du grand Spielberg.
Je ne peux m'empêcher de penser qu'un réalisateur moins porté sur le spectacle aurait pu exploiter comme il se doit l'énorme potentiel social, politique et philosophique de l'oeuvre de K.Dick (et en ce sens, il me fait beaucoup penser à "A.I.", projet de Kubrick récupéré au vol par Spielberg après la mort de son grand copain pour un résultat foutraque), d'autant que libre arbitre et présomption d'innocence sont plus que jamais d'actualité. Car si Spielberg touche toujours juste quand il s'y intéresse, il s'y intéresse finalement assez peu, et le fond est évincé d'une bonne partie de l'intrigue. C'est l'effet "Soldat Ryan", dommage. Mais d'un autre côté cet autre réalisateur, s'il avait privilégié le fond, aurait eu du mal à soigner la forme comme Spielberg sait le faire. La réalisation est superbe qu'il s'agisse d'exposition ou des scènes d'action, parfois trop cartoonesques comparées à l'ensemble (les bâtons à vomir, on s'en serait passé) mais toujours efficaces et inventives. La photographie désaturée se prête parfaitement au futur dépeint par le réalisateur, si froid et pourtant si réel, rappelant notre monde sur bien des points et paraissant étonnamment crédible. Certaines idées explorées sont très malines, comme ces hologrammes pour parents absents qu'on verrait bien débarquer sur le marché s'ici deux petites années. Tom Cruise est bien moins "Action Man" qu'à son habitude, plus humain, plus vulnérable. Mais le point fort du film c'est son intrigue: elle est d'une densité assez impressionnante, jouant fortement sur le foreshadowing et nécessitant de garder les yeux ouverts du début à la fin. Les révélations sont crédibles, surprenantes et non pas vendues à l'avance et surtout le soufflé ne retombe jamais, l'intrigue reste active tout au long du film jusqu'à une fin ouverte d'une grande intelligence
spoiler:
(selon laquelle Anderton serait toujours emprisonné, à rêver que son enquête se poursuive jusqu'à aboutissement, un peu comme dans un certain "Brazil" voire "Total Recall". L'happy end qui lui est offerte me paraît trop idéale pour être réelle)
. S'il n'est pas aussi profond que je l'aurais imaginé, "Minority Report" reste l'un des thrillers de science-fiction les plus solides que j'ai vu, peut-être pas aussi fort qu'un "Source Code" par exemple, mais au moins aussi haletant.
. S'il n'est pas aussi profond que je l'aurais imaginé, "Minority Report" reste l'un des thrillers de science-fiction les plus solides que j'ai vu, peut-être pas aussi fort qu'un "Source Code" par exemple, mais au moins aussi haletant.
blacktide
Steven Spielberg révolutionne la science fiction grâce à Minority Report, adapté d'une nouvelle de Philippe. K. Dick, qui bénéficie d'un excellent casting et d'un scénario
très inventif. Des effets visuels impressionnants dans un univers futuriste qui ressemble à Blade Runner ou encore le cinquième élément. De nombreux rebondissements et une fin surprenante donc un scénario qui n'est pas prévisible. Tom Cruise est parfait dans la peau d'un héros traqué pour ce grand monument de la science fiction qui restera dans nos mémoires. Ma scène préférée est quand Tom Cruise se fait changer les yeux. A voir absolument. Magnifique et incroyable!
très inventif. Des effets visuels impressionnants dans un univers futuriste qui ressemble à Blade Runner ou encore le cinquième élément. De nombreux rebondissements et une fin surprenante donc un scénario qui n'est pas prévisible. Tom Cruise est parfait dans la peau d'un héros traqué pour ce grand monument de la science fiction qui restera dans nos mémoires. Ma scène préférée est quand Tom Cruise se fait changer les yeux. A voir absolument. Magnifique et incroyable!
Très bon film de science-fiction. Le scénario est impeccable, Tom Cruise et Colin Farrell sont parfaits dans leurs rôles (le reste du casting aussi), les effets spéciaux vraiment soignés et le suspense bien présent... Moi qui étais plutôt réticente avant de le voir, je dois dire que je suis agréablement surprise. "Minority Report" vaut un bon 4/5. Bravo Monsieur Spielberg.
Un film au scénario et à la mise en scène irréprochable. Il n'y a rien à dire pour tout le reste, c'est incroyable. Tom cruise semble être le bon acteur pour le rôle principal. Le scénario est bourré de qualités mais on ne le doit pas à Spielberg puisque c'est tiré d'une nouvelle.
Un grand film de Science-Fiction doté d'un scénario consistant et original encré dans un futur très réaliste. Des scènes d'action efficaces, des effets spéciaux impeccables avec une pointe d'humour et un "Tom Cruise" toujours aussi classe. La dernière partie s'essouffle un peu mais nous plonge dans un "Thriller" futuriste pur et dur façon "Blade Runner". Le meilleur film de "Steven Spielberg" depuis belle lurette (Et certainement le plus obscure de sa filmographie) adapté d'une nouvelle du célèbre "Philip K. Dick". Une leçon de cinéma, tout simplement !
Comme d'habitude, le génie Spielberg a frappé. Adapté de la nouvelle de k. Dick, il nous livre une oeuvre de science fiction originale, aux décors cohérents et sublimes. La photographie est particulièrement soignée et donne une ambiance de toute beauté. Le scénario va de rebondissements en rebondissements et on est captivé par cette histoire. Une bien belle réussite.
C'est réussi, Spielberg sait faire des films, il manque juste un petit quelque chose, un peu d'humanité, aucune émotion ne suinte malgré les tentatives un peu lourdes...
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