Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Cela faisait longtemps que Spielberg cherchait à réaliser un "film adulte". Avec cette adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick (qui inspira notamment Blade Runner et Total Recall), il y parvient sans peine, recréant de façon époustouflante un monde futur où la technologie fait jeu égal avec la psychologie.
Cine Libre
par Romain Le Vern
Audacieux dans le fond et la forme; finement retors et délicieusement subversif, Minority Report est tout simplement un film de SF incroyable et incontrôlable qui s'égare brillamment hors des sentiers battus et arrache les mirettes au propre comme au figuré.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Du suspense, des rebondissements et un Tom Cruise excellent dans la peau d'un héros traqué. Du grand art.
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Minority Report est un film qui nous glace les os. "Tout le monde peut s'enfuir", répète à plusieurs reprises John Anderton. Oui, tout le monde. Sauf le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Grégory Caulier
Ce film riche et imaginatif est un chef-d'oeuvre, intelligent, rythmé et novateur. Big brother est parmi nous, il VOUS regarde ! Et il ne serait pas très content s'il ne vous voyait pas dans la salle...
Mad Movies
par Rafik Djoumi
Minority Report est un film essentiel, énorme et méchamment "rentre-dans-le-lard". Une pièce maîtresse dans la filmographie d'un cinéaste qui est en train, depuis quelques années, d'édifier quelque chose d'unique dans le paysage cinématographique moderne.
Obejctif-Cinema.com
par Gilles Lyon-Caen
Minority report excelle à montrer la naissance à rebours d'un surhomme démuni et impuissant, qui se traduit jusque dans son utilisation des écrans : langueur et vélocité, fléchage et segmentation de l'espace qui alternent tout en composant un mouvement vif et langoureux qui dilate l'espace-temps, dépasse l'arsenal technique jusqu'à la perte de sens.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Gérard Delorme
Tom Cruise incarne avec dynamisme un personnage typiquement affligé par la perte d'un fils, ajoutant à son CV une collaboration de plus avec un metteur en scène prestigieux. A ses côtés, le jeune Colin Farrell confirme les espoirs placés en lui depuis sa découverte dans Tigerland.
La critique complète est disponible sur le site Première
Première
par Gérard Delorme
Dans son film le plus excitant depuis Jurassic Park, Steven Spielberg met sa virtuosité et ses considérables moyens au service d'un panache de genres qui va de la science-fiction au thriller en passant par le whodunit (film policier à énigme). Le résultat est largement plus satisfaisant que frustrant, même si les défauts du film naissent de sa complexité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Retour vers le futur réussi pour Steven Spielberg. C'est 1984 avec une lueur d'espoir, en quelque sorte, un film qui dose finement le spectaculaire et le devoir de philo (mention assez bien), bref qui a tout pour hanter longtemps notre imaginaire. Steven Spielberg a triomphé de Philip K. Dick...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marc Lalanne
Avec cette fable politique, Spielberg interroge l'idéologie post-Giuliani, dont le "zéro tolérance" fait des petits de chaque côté de l'Atlantique.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
(...) Minority report ne prétend pas être le film parfait, et demeure un passionnant thriller, qui restera à n'en pas douter une réussite majeure de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pas trop mal, le dernier Spielberg ressemble à un prolongement de son précédent, "A. I.". (...) C'est réalisé de façon plutôt virtuose, avec des images étrangement délavées pour ajouter un surcroît d'âpreté et avec des effets spéciaux à gogo. Mais tout cela, c'est quand même secret de polichinelle et compagnie ; un schéma angoissant déjà vu mille fois, de 1984 à Blade Runner en passant par Brazil.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Alain Grasset
Dans ce mélange d'action et de grand spectacle, on en prend plein les mirettes. Les amateurs de science-fiction baigneront dans cette histoire comme ses trois héros visionnaires. Les autres risquent par moments de nager.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Le gouffre au bord duquel se tient Spielberg s'avère trop vertigineux pour le pourvoyeur de spectacle innoffensif qu'il n'a jamais cessé d'être. Au bout de deux heures de projection, on croyait tenir enfin l'opus malade et déses péré qu'appelaient nos voeux. Puisque le goût de cendre l'indispose au point de recracher, il ne nous reste plus qu'à ravaler nos illusions.
Ouirock.com
par Pascale Lagahe
Quoi qu'il en soit, vous l'aurez compris, MINORITY REPORT fait partie des films à ne pas manquer ce mois d'octobre. Seul petit hic : il fait aussi parti des films que l'on apprécie vraiment à la première projection mais qui perd toute sa force lors de la seconde.
Positif
par Pierre Berthomieu
Jamais Spielberg n'est allé aussi loin dans son exploration d'une métaphysique du regard.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Juliette Sales
Après A. I., Steven Spielberg adapte de nouveau un texte de Philip K. Dick pour en tirer un scénario sophistiqué, aux retournements finement huilés, fondé sur des personnages hantés par le malheur et la culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
S'il ne tire pas pleinement parti de son passionant sujet, Spielberg emballe quelques jolies scènes (notamment celle où Cruise échappe aux robots espions lancés à sa recherche en se coulant dans un bain) et signe un film divertissant, au-dessus de la moyenne des blockbusters de l'été US.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
Sacrifiant aux règles du genre, Spielberg s'acquitte avec brio de poursuites et castagnes mémorables, portées par un Tom Cruise (non doublé s'il vous plaît !) au meilleur de sa forme. Dynamique et inventive, la mise en scène nous en met plein les mirettes. On en pardonnerait presque le happy end version Petite Maison dans la prairie totalement superflu.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
Le jeu de piste/chasse à l'homme prend rapidement le pas sur toutes les interrogations que soulève la méthode employée en 2054 pour alpaguer les criminels avant qu'ils ne passent à l'acte. On se contente d'effleurer des questions, de caresser toute la subversion qu'on aurait pu extraire de la matrice littéraire. Scénaristiquement, tout fait défaut, ou plutôt tout est trop bien rangé, trop bien structuré pour que l'on puisse paniquer, se choquer, s'interroger... La machine est beaucoup trop parfaite, la mise en place impeccable! Le déroulement se veut trop prévisible pour que l'on se laisse glisser avec délice dans une géographie sociale sauvagement dépeinte.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Libération
par Bruno Bayon
Une vague insatisfaction finale s'analyserait ainsi : Spielberg et Cruise ne font jamais vraiment illusion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aden
Cela faisait longtemps que Spielberg cherchait à réaliser un "film adulte". Avec cette adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick (qui inspira notamment Blade Runner et Total Recall), il y parvient sans peine, recréant de façon époustouflante un monde futur où la technologie fait jeu égal avec la psychologie.
Cine Libre
Audacieux dans le fond et la forme; finement retors et délicieusement subversif, Minority Report est tout simplement un film de SF incroyable et incontrôlable qui s'égare brillamment hors des sentiers battus et arrache les mirettes au propre comme au figuré.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Du suspense, des rebondissements et un Tom Cruise excellent dans la peau d'un héros traqué. Du grand art.
Le Monde
Minority Report est un film qui nous glace les os. "Tout le monde peut s'enfuir", répète à plusieurs reprises John Anderton. Oui, tout le monde. Sauf le spectateur.
MCinéma.com
Ce film riche et imaginatif est un chef-d'oeuvre, intelligent, rythmé et novateur. Big brother est parmi nous, il VOUS regarde ! Et il ne serait pas très content s'il ne vous voyait pas dans la salle...
Mad Movies
Minority Report est un film essentiel, énorme et méchamment "rentre-dans-le-lard". Une pièce maîtresse dans la filmographie d'un cinéaste qui est en train, depuis quelques années, d'édifier quelque chose d'unique dans le paysage cinématographique moderne.
Obejctif-Cinema.com
Minority report excelle à montrer la naissance à rebours d'un surhomme démuni et impuissant, qui se traduit jusque dans son utilisation des écrans : langueur et vélocité, fléchage et segmentation de l'espace qui alternent tout en composant un mouvement vif et langoureux qui dilate l'espace-temps, dépasse l'arsenal technique jusqu'à la perte de sens.
Première
Tom Cruise incarne avec dynamisme un personnage typiquement affligé par la perte d'un fils, ajoutant à son CV une collaboration de plus avec un metteur en scène prestigieux. A ses côtés, le jeune Colin Farrell confirme les espoirs placés en lui depuis sa découverte dans Tigerland.
Première
Dans son film le plus excitant depuis Jurassic Park, Steven Spielberg met sa virtuosité et ses considérables moyens au service d'un panache de genres qui va de la science-fiction au thriller en passant par le whodunit (film policier à énigme). Le résultat est largement plus satisfaisant que frustrant, même si les défauts du film naissent de sa complexité.
Télérama
Retour vers le futur réussi pour Steven Spielberg. C'est 1984 avec une lueur d'espoir, en quelque sorte, un film qui dose finement le spectaculaire et le devoir de philo (mention assez bien), bref qui a tout pour hanter longtemps notre imaginaire. Steven Spielberg a triomphé de Philip K. Dick...
Cahiers du Cinéma
Avec cette fable politique, Spielberg interroge l'idéologie post-Giuliani, dont le "zéro tolérance" fait des petits de chaque côté de l'Atlantique.
Chronic'art.com
(...) Minority report ne prétend pas être le film parfait, et demeure un passionnant thriller, qui restera à n'en pas douter une réussite majeure de son auteur.
L'Humanité
Pas trop mal, le dernier Spielberg ressemble à un prolongement de son précédent, "A. I.". (...) C'est réalisé de façon plutôt virtuose, avec des images étrangement délavées pour ajouter un surcroît d'âpreté et avec des effets spéciaux à gogo. Mais tout cela, c'est quand même secret de polichinelle et compagnie ; un schéma angoissant déjà vu mille fois, de 1984 à Blade Runner en passant par Brazil.
Le Parisien
Dans ce mélange d'action et de grand spectacle, on en prend plein les mirettes. Les amateurs de science-fiction baigneront dans cette histoire comme ses trois héros visionnaires. Les autres risquent par moments de nager.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Le gouffre au bord duquel se tient Spielberg s'avère trop vertigineux pour le pourvoyeur de spectacle innoffensif qu'il n'a jamais cessé d'être. Au bout de deux heures de projection, on croyait tenir enfin l'opus malade et déses péré qu'appelaient nos voeux. Puisque le goût de cendre l'indispose au point de recracher, il ne nous reste plus qu'à ravaler nos illusions.
Ouirock.com
Quoi qu'il en soit, vous l'aurez compris, MINORITY REPORT fait partie des films à ne pas manquer ce mois d'octobre. Seul petit hic : il fait aussi parti des films que l'on apprécie vraiment à la première projection mais qui perd toute sa force lors de la seconde.
Positif
Jamais Spielberg n'est allé aussi loin dans son exploration d'une métaphysique du regard.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Après A. I., Steven Spielberg adapte de nouveau un texte de Philip K. Dick pour en tirer un scénario sophistiqué, aux retournements finement huilés, fondé sur des personnages hantés par le malheur et la culpabilité.
TéléCinéObs
S'il ne tire pas pleinement parti de son passionant sujet, Spielberg emballe quelques jolies scènes (notamment celle où Cruise échappe aux robots espions lancés à sa recherche en se coulant dans un bain) et signe un film divertissant, au-dessus de la moyenne des blockbusters de l'été US.
Zurban
Sacrifiant aux règles du genre, Spielberg s'acquitte avec brio de poursuites et castagnes mémorables, portées par un Tom Cruise (non doublé s'il vous plaît !) au meilleur de sa forme. Dynamique et inventive, la mise en scène nous en met plein les mirettes. On en pardonnerait presque le happy end version Petite Maison dans la prairie totalement superflu.
Cinopsis.com
Le jeu de piste/chasse à l'homme prend rapidement le pas sur toutes les interrogations que soulève la méthode employée en 2054 pour alpaguer les criminels avant qu'ils ne passent à l'acte. On se contente d'effleurer des questions, de caresser toute la subversion qu'on aurait pu extraire de la matrice littéraire. Scénaristiquement, tout fait défaut, ou plutôt tout est trop bien rangé, trop bien structuré pour que l'on puisse paniquer, se choquer, s'interroger... La machine est beaucoup trop parfaite, la mise en place impeccable! Le déroulement se veut trop prévisible pour que l'on se laisse glisser avec délice dans une géographie sociale sauvagement dépeinte.
Libération
Une vague insatisfaction finale s'analyserait ainsi : Spielberg et Cruise ne font jamais vraiment illusion.