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Votre avis sur Nid de guêpes ?
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Bon film, Florent Emilio Siri manie parfaitement la caméra pour nous donner un film percutant. Mais c'est dans son contenu que le film est un peu juste, avec le jeu des acteurs qui est loin d'être parfait et des répliques parfois bidons.
Le sujet est bon. Et les acteurs aussi. Le film souffre d'un manque de dialogues qui ennui un peu le spectacteur. Les musiques sont quasi inexistantes qui jouent en défaveur du rhytme global. C'est vraiment dommage, car la réalisation en elle-même tient plutôt la route.
un thriller presque clostrophobe où l'action et la tension monte crescendo pour donner de pures scénes d'actions trés bien réalisée et mises en scéne. Une totale réussite pour ce thriller français qui lorgne vers le western. 16/20
un tre bof qui a ete sur estime a sa sortie tre tre bof
Nid de guêpe de Florent Emilio Siri est un bon film d'action ultra référencé. D'ailleurs, de l'aveu même du cinéaste, c'est le remake officieux du fameux Assault de John Carpenter. A ce propos, ce film est bien plus respectueux (et dans le même esprit qui plus est) de l'oeuvre originale que le remake officiel, réalisé par Jean François Richet.
Déjà d'entrée, les scènes d'expositions, précédant le gros morceau du long métrage (le huit clos dans le hangar), sont tout bonnement réjouissantes: il y a plein de petits détails implicites sur les personnages et leur relations qui font plaisir. Et le sens de l'honneur et de l'amitié qu'on certains les rend très attachants. Alors effectivement le film n'est pas exempts de défauts: le manque de moyen se fait cruellement sentir. Et le metteur en scène s'attarde trop ou abuse, dans son montage, sur les impacts de balles (avec des ralentis à foison lors les instants de trépas) plutôt que les fusillades en elles même. Ce tic visuel hérité de Sam Peckinpah, n'est pas terrible, enfin ça c'est d'ordre personnel on va dire.
De plus, les comédiens sont moyennement convaincants: l'interprétation est inégale, mais rien de bien méchant.
En revanche, techniquement c'est la dragée haute, dans son ensemble la mise en scène écrase tout (le jeune cinéaste français à le sens du cadrage) et fait oublier les menus défauts énumérés précédemment. Puis l’ambiance retranscrit à merveille cette menace venue de nulle part et de partout à la fois. L'aspect huit clos est alors bien plus éprouvant.
Déjà d'entrée, les scènes d'expositions, précédant le gros morceau du long métrage (le huit clos dans le hangar), sont tout bonnement réjouissantes: il y a plein de petits détails implicites sur les personnages et leur relations qui font plaisir. Et le sens de l'honneur et de l'amitié qu'on certains les rend très attachants. Alors effectivement le film n'est pas exempts de défauts: le manque de moyen se fait cruellement sentir. Et le metteur en scène s'attarde trop ou abuse, dans son montage, sur les impacts de balles (avec des ralentis à foison lors les instants de trépas) plutôt que les fusillades en elles même. Ce tic visuel hérité de Sam Peckinpah, n'est pas terrible, enfin ça c'est d'ordre personnel on va dire.
De plus, les comédiens sont moyennement convaincants: l'interprétation est inégale, mais rien de bien méchant.
En revanche, techniquement c'est la dragée haute, dans son ensemble la mise en scène écrase tout (le jeune cinéaste français à le sens du cadrage) et fait oublier les menus défauts énumérés précédemment. Puis l’ambiance retranscrit à merveille cette menace venue de nulle part et de partout à la fois. L'aspect huit clos est alors bien plus éprouvant.
Même si le suspense est assez confus dans ce thriller palpitant, ce film nous tient en haleine d'un bout à l'autre du film.
C'est n'importe quoi du début à la fin...Schwarzenegger aurait pu remplacer nadia fares ca aurait été moins ridicule. A eviter, ca tire de partout et pourtant on s'ennuie tellement que c'est pitoyable et grotesque
Nicothrash
Thriller ô combien tendu signé Emilio Siri, Nid de Guêpes est un huit-clos oppressant résultant d'un concours de circonstances improbable. Une bande de malfrats à la petite semaine tombe nez à nez, dans un entrepôt, avec un groupe de forces spéciales en mission de transfert de prisonnier d'une part, et les acolytes du dit-prisonnier prêts à tout pour le faire sortir. Un cocktail explosif donc et qui ne manquera pas à son devoir puisque les 3/4 du film ne sont que fusillades ! Oui mais fusillades avec du style ! La pression ne retombe jamais durant l'heure et demie et la mise en scène est pour le moins efficace. On passera sur les énormités assez facilement, étant complétement embarqué dans le feu de l'action et même Sami Naceri n'est pas si horripilant ! Côté casting d'ailleurs, c'est plutôt pas mal avec un parterre de comédiens hétéroclite et concernés. Ce n'est pas parfait mais on sent que Siri ne manque pas de talent et son Nid de Guêpes peut facilement se revoir de temps à autre.
Trop d'action tue l'action et c'est exactement ce qui se passe, puisqu'on ne ressent aucune empathie pour les personnages, c'est la première erreur, la seconde est la gestion de l'espace, comment voulez vous suivre l'action dans un endroit qui est à peine décrit ? Mais le film est aussi une accumulation de clichés : je veux bien que les méchants organisent un commando pour délivrer leur chef, mais là ils sont combien ? Plus d'une centaine, et armés jusqu'aux dents avec des munitions inépuisables ! En plus ils n'ont pas de bol, ils se font descendre à tous les coups. L'action n'arrête pas et pendant les rares pauses on a droit aux pires poncifs comme la nana qui regarde la photo de son bébé (comme comique involontaire c'est pas mal), ou alors à des répliques débiles. Un mauvais film qui se prend pour un remake d'Assaut de Carpenter, ben c'est raté !
🎬 RENGER 📼
Pour sa seconde réalisation cinématographique en 4 ans, Florent Emilio Siri revient avec un thriller sous pression, un huit clos explosif inspiré de nombreuses œuvres tels que Rio Bravo (1959) d’Howard Hawks, Alamo (1960) de John Wayne ou encore, Assault on Precinct 13 (1978) de John Carpenter, où pour ce dernier, l’histoire a été entièrement reprise de A à Z mais transposée dans un tout autre contexte.
Si Nid de guêpes (2002) ne brille pas par son scénario et son originalité, c’est uniquement la mise en scène qui tient en haleine, captivante et distrayante. Cet assaut en pleine nuit dans une zone industrielle est des plus efficace et crédible dans son ensemble, on se laisse prendre au jeu avec facilité.
L’ambiance recréé est particulière, sombre avec un soupçon de high-tech, Florent Emilio Siri convainc et séduit, il est si rare de nos jours d’avoir une réalisation à la française si proche de ce que font les américains.
Si Nid de guêpes (2002) ne brille pas par son scénario et son originalité, c’est uniquement la mise en scène qui tient en haleine, captivante et distrayante. Cet assaut en pleine nuit dans une zone industrielle est des plus efficace et crédible dans son ensemble, on se laisse prendre au jeu avec facilité.
L’ambiance recréé est particulière, sombre avec un soupçon de high-tech, Florent Emilio Siri convainc et séduit, il est si rare de nos jours d’avoir une réalisation à la française si proche de ce que font les américains.
NeoLain
Il suffit une centaine de minutes dégraissées jusqu'à l'os à Nid de guêpes pour renvoyer dans les cordes les champions autoproclamés du "cinéma de genre" made in France. Unité de lieu (un hangar), unité de temps (une nuit), unité d'action (survivre à tout prix) : le film transpose les lois de la tragédie antique dans le cadre d'un thriller contemporain ou les personnages voient rejaillir un insticnt de conservation issu du fond des âges. Entre réalisme, fantastique et cauchemar, Florent Emilio Siri investit son décor en maître de l'espace, joue la carte de la tension silencieuse pour rendre palpable l'humanité de ses héros, et chorégraphie son ballet de la mort dans une sorte
de transe pyrotechnique à l'impact foudroyant.
de transe pyrotechnique à l'impact foudroyant.
Enfin le film d'action de référence que l'on attendais depuis longtemps en France. Le cinéma de genre est rès rare chez nous, heureusement qu'une nouvelle génération de réalisateur nourri aux "Die hard", films de John Woo ou autres Alien arrive dans nos salles. Florent Emilio-Siri en fait partie et avec son "Nid de guêpes", il livre un somptueux huis-clos teinté de science-fiction (l'ennemi à l'allure d'insectes est souvent une ombre, peu identifiable), de cinéma catastrophe et de western urbain. D'ailleurs ce dernier se revendique comme un excellent remake d'"Assaut" du maître de la série B américaine John Carpenter (lui-même remake de "Rio Bravo") où l'on retrouve différentes similitudes comme l'assassinat d'un père et de son enfant génant l'opération. L'intrigue mêle de jeunes cambrioleurs pas très organisés à des commandos transportant un important prisonnier qui vont devoir faire cause commune devant un ennemi invisible surarmé, enfermés dans un entrepôt faisant clmairement référence à un vaisseau du style Alien. Et c'est là que ce film puise sa force, les clins d'oeil à d'innombrables films foisonnent, le visuel est très impressionnant, il n'y a aucun temps mort et surtout aucun personnage n'est le "héros qui doit s'en sortir", faisant que l'on ne devine pas l'issue à part qu'on aura droit à un bain de sang. Le scénario n'est certes pas très subtil mais distille suffisamment de tension, d'action et de nervosité pour voir devant nos yeux un des meilleurs films d'action à la française grâce au talent de mise en scène du prometteur Florent Emilio-Siri (prouvé sur l'hollywoodien "Otage" avec Bruce Willis).
Le temps de la réflexion passé, je me suis dit "écris" et voilà. Nid de guêpes, d'un point de vue personnel, est pour ma part un des meilleurs films d'action des années 2000. Alors que le film d'action allait changer à jamais avec l'arrivée de la shaky cam, Nid de guêpes fait preuve d'un classicisme rendant hommage à de grands films d'action tel que les McTiernan, Carpenter, Verhoeven, Peckinpah. Malheureusement à sa sortie, le film a été boudé, scénario à chier ? Réalisation catastrophique ? Casting minable ? Film français ? Non!!!! En fait le film est plus un bon vin qui vieillit et murit avec l'âge. Au fur et à mesure que je vois Nid de guêpes, je me dis que tant Florent Emilio Siri sera sur Terre, l'avenir du cinéma français est assuré.
Nid de guêpes a un scénario classique: nous suivons 3 groupes de personnages qui n'ont rien en commun mais qui vont se retrouver dans une même galère. Durant la journée du 14 juillet, un groupe du GIGN transporte un chef de clan albanais mais est attaqué par une menace cagoulée. Une bande de jeunes va réaliser un ultime casse dans un entrepôt et après se ranger définitivement. Enfin 2 vigiles surveillent un entrepôt, l'un d'eux ayant un passé mouvementé et traumatisant. Ces groupes très différents vont passer une nuit terrible et terrifiante.
Scénario simple mais mise en scène efficace. Florent Emilio Siri est un grand fan de cinéma d'action, mais au lieu de verser dans le fan movie, il décide de se servir de ses références cinématographique et les retranscrit dans un style français. L'élégance de la mise en scène est impressionnante, son réalisateur privilégie autant les moments de silence que les gunfights, les relations humaines que la violence (esthétique) des actes des personnages. Le spectateur adopte une vraie empathie, sympathie envers ces personnages et ne souhaite que leur survie. Les personnages de ce film sont justement très attachants: ils développent un vrai esprit de groupe même si certains d'entre eux deviennent des sortes de leaders, Santino (Benoit Magimel) calme ses amis, Hélène (Nadia Fares) conduit le groupe au combat et Louis (Pascal Gregory) est un sage qui connait bien les lieux. Samy Naceri a un rôle à contre emploi et joue quelqu'un qui au final se retrouve impuissant et vulnérable tout au long du film. La menace est très intéressante car elle est symbolisée par des groupes armés avançant masqués renfortçant un sentiment de peur face à l'inconnu, leur chef est inquiétant ne parlant qu'à de rare occasion.
Nid de guêpes est une expérience quasi claustrophobe (le gros de l'action se situant dans l'entrepôt) porté par des acteurs convaincants et par une mise en scène des plus esthétique et respectueuse du cinéma d'action.
Après ce film, Florent Emilio Siri partira pour les Etats Unis et réalisera Otages avec Bruce Willis (après avoir vu Nid de guêpes) pour revenir en France pour livrer L'ennemi intime et Cloclo. Florent Emilio Siri un grand bonhomme du cinéma français talentueux.
Nid de guêpes a un scénario classique: nous suivons 3 groupes de personnages qui n'ont rien en commun mais qui vont se retrouver dans une même galère. Durant la journée du 14 juillet, un groupe du GIGN transporte un chef de clan albanais mais est attaqué par une menace cagoulée. Une bande de jeunes va réaliser un ultime casse dans un entrepôt et après se ranger définitivement. Enfin 2 vigiles surveillent un entrepôt, l'un d'eux ayant un passé mouvementé et traumatisant. Ces groupes très différents vont passer une nuit terrible et terrifiante.
Scénario simple mais mise en scène efficace. Florent Emilio Siri est un grand fan de cinéma d'action, mais au lieu de verser dans le fan movie, il décide de se servir de ses références cinématographique et les retranscrit dans un style français. L'élégance de la mise en scène est impressionnante, son réalisateur privilégie autant les moments de silence que les gunfights, les relations humaines que la violence (esthétique) des actes des personnages. Le spectateur adopte une vraie empathie, sympathie envers ces personnages et ne souhaite que leur survie. Les personnages de ce film sont justement très attachants: ils développent un vrai esprit de groupe même si certains d'entre eux deviennent des sortes de leaders, Santino (Benoit Magimel) calme ses amis, Hélène (Nadia Fares) conduit le groupe au combat et Louis (Pascal Gregory) est un sage qui connait bien les lieux. Samy Naceri a un rôle à contre emploi et joue quelqu'un qui au final se retrouve impuissant et vulnérable tout au long du film. La menace est très intéressante car elle est symbolisée par des groupes armés avançant masqués renfortçant un sentiment de peur face à l'inconnu, leur chef est inquiétant ne parlant qu'à de rare occasion.
Nid de guêpes est une expérience quasi claustrophobe (le gros de l'action se situant dans l'entrepôt) porté par des acteurs convaincants et par une mise en scène des plus esthétique et respectueuse du cinéma d'action.
Après ce film, Florent Emilio Siri partira pour les Etats Unis et réalisera Otages avec Bruce Willis (après avoir vu Nid de guêpes) pour revenir en France pour livrer L'ennemi intime et Cloclo. Florent Emilio Siri un grand bonhomme du cinéma français talentueux.
Siri nous refait le coup du Central 13 à la française et s'ouvre les portes d'Hollywood. Ce guêpier m'a piqué au vif, car il m'a surpris. Certes tout n'est pas parfait (Naceri nul comme d'hab) mais Siri nous emmene là où il veut, vers une explosion où deux camps s'affrontent en pleinr claustrophobie d'un entrepôt clos. Personne n'entre, personne ne sort. Porté par Magimel, Greggory et Fares, ce nid de guêpes nous fout une claque dans la gueule et on passe un très bon moment.
Sur le papier, juste à la lecture de scenario, je dis OK pourquoi pas! Produisons ce défouloir violant et jubilatoire! Sami Naceri est encore bancable et Magimel relèvera le niveau ! Lebihan n’a pas pu venir dommage ,mais on va se débrouiller! On y mettra des gun fight de la tension un peu de gore et de l'humour très noir! Un propos contestable mais on s’en fout c’est pour les jeunes !
Au final bah on n’a pas eu ça! On a eu des acteurs mauvais ou mal dirigés! Aucune empathie possible pour les personnages, un spectacle bête et méchant ou la violence n'a rien de jubilatoire! Un film bruyant prétentieux et totalement inutile je dirais même qu'il est de trop! Une étoile pour la pellicule!
Au final bah on n’a pas eu ça! On a eu des acteurs mauvais ou mal dirigés! Aucune empathie possible pour les personnages, un spectacle bête et méchant ou la violence n'a rien de jubilatoire! Un film bruyant prétentieux et totalement inutile je dirais même qu'il est de trop! Une étoile pour la pellicule!
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