Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
S'avançant avec le toupet et l'énergie de quarantièmes rugissants terrestres, Les Lionceaux strie la surface des eaux, embrase les chevelures, sculpte la soie, arrange avec un sens aigu de la dissonance le chant des branches, des feuilles et des gorges.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
C'est une fantaisie, prélude à l'après-midi de trois faunes à la séduction lascive, que le grand nombre probablement couvrira de sarcasmes et qu'un cénacle d'amateurs (les vrais, ceux qui ont chez eux une tortue couverte d'émeraudes et des pipes d'opium) appréciera à sa juste mesure.
MCinéma.com
par Camille Brun
Le premier film de Claire Doyon est ce fascinant et hors norme voyage imaginaire. Il offre aux spectateurs qui acceptent ses conditions étranges et quasi-muettes une expérience sensorielle unique sur de superbes images dorées d'une île paradisiaque baignée de vent et de soleil.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela ressemble follement aux films semi-expérimentaux des années soixante-dix où l'on explorait sans retenue la sensualité et les sensations. On admirera donc la grande liberté de cet essai, tout en déplorant son inconsistance.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Fable surréaliste, adaptation fantaisiste de quelque mythe grec ? Peu importe, semble nous répondre ce film étrange et baroque au gré duquel il faut savoir se laisser aller. Une invitation au dérèglement de tous les sens.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Férenczi
Au bout de quarante minutes (...) le caractère répétitif des situations, l'absence de profondeur qu'entraînent les partis pris esthétiques (quasiment pas de dialogues, guère plus de psychologie, etc.) anéantissent le charme et la drôlerie de l'entreprise. Résultat : un excellent court métrage étiré en un " long " lassant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
(...) quelque chose comme du David Hamilton (Bilitis) déstructuré par un stage de théâtre qu'aurait dirigé Michel Foucault. C'est fou ce que, vu comme ça, le sexe peut devenir un jeu ennuyeux...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
On peut tout à la fois saluer l'ambition de ce premier long-métrage et constater combien cette chorégraphie psalmodiée et criée du désir reste toujours en retrait de ses visées (...) Vedettes trop explicitement invitées du film, Eros Thanatos ne se laissent pas approvoiser d'aussi élémentaire façon.
Ciné Live
par La Rédaction
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) exercice de style ennuyeux asséné par Claire Doyon
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Florence Colombani
Claire Doyon (...) se réfugie dans une stylisation extrême. A chaque séquence correspond une chorégraphie maladroite tandis que les jeunes lionnes rugissent leurs dialogues. Ce dispositif sature le film de symbolisme et le condamne à une certaine vacuité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Fabien Baumann
Claire Doyon tenait là tous les éléments propices à la réalisation d'un court métrage poétique parfaitement insupportable. On ne comprend donc pas très bien pourquoi c'est le supplice d'un long métrage qui nous est infligé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
A force de passages chantés (oui, les comédiennes chantent), d'arabesques compliquées (oui, les comédiennes dansent), de dialogues impossibles (...), ces Lionceaux-là frôlent le ridicule. Au risque d'y sombrer souvent corps et biens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Les Inrockuptibles
S'avançant avec le toupet et l'énergie de quarantièmes rugissants terrestres, Les Lionceaux strie la surface des eaux, embrase les chevelures, sculpte la soie, arrange avec un sens aigu de la dissonance le chant des branches, des feuilles et des gorges.
Libération
C'est une fantaisie, prélude à l'après-midi de trois faunes à la séduction lascive, que le grand nombre probablement couvrira de sarcasmes et qu'un cénacle d'amateurs (les vrais, ceux qui ont chez eux une tortue couverte d'émeraudes et des pipes d'opium) appréciera à sa juste mesure.
MCinéma.com
Le premier film de Claire Doyon est ce fascinant et hors norme voyage imaginaire. Il offre aux spectateurs qui acceptent ses conditions étranges et quasi-muettes une expérience sensorielle unique sur de superbes images dorées d'une île paradisiaque baignée de vent et de soleil.
L'Humanité
Cela ressemble follement aux films semi-expérimentaux des années soixante-dix où l'on explorait sans retenue la sensualité et les sensations. On admirera donc la grande liberté de cet essai, tout en déplorant son inconsistance.
TéléCinéObs
Fable surréaliste, adaptation fantaisiste de quelque mythe grec ? Peu importe, semble nous répondre ce film étrange et baroque au gré duquel il faut savoir se laisser aller. Une invitation au dérèglement de tous les sens.
Télérama
Au bout de quarante minutes (...) le caractère répétitif des situations, l'absence de profondeur qu'entraînent les partis pris esthétiques (quasiment pas de dialogues, guère plus de psychologie, etc.) anéantissent le charme et la drôlerie de l'entreprise. Résultat : un excellent court métrage étiré en un " long " lassant.
Aden
(...) quelque chose comme du David Hamilton (Bilitis) déstructuré par un stage de théâtre qu'aurait dirigé Michel Foucault. C'est fou ce que, vu comme ça, le sexe peut devenir un jeu ennuyeux...
Cahiers du Cinéma
On peut tout à la fois saluer l'ambition de ce premier long-métrage et constater combien cette chorégraphie psalmodiée et criée du désir reste toujours en retrait de ses visées (...) Vedettes trop explicitement invitées du film, Eros Thanatos ne se laissent pas approvoiser d'aussi élémentaire façon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) exercice de style ennuyeux asséné par Claire Doyon
Le Monde
Claire Doyon (...) se réfugie dans une stylisation extrême. A chaque séquence correspond une chorégraphie maladroite tandis que les jeunes lionnes rugissent leurs dialogues. Ce dispositif sature le film de symbolisme et le condamne à une certaine vacuité.
Positif
Claire Doyon tenait là tous les éléments propices à la réalisation d'un court métrage poétique parfaitement insupportable. On ne comprend donc pas très bien pourquoi c'est le supplice d'un long métrage qui nous est infligé.
Première
A force de passages chantés (oui, les comédiennes chantent), d'arabesques compliquées (oui, les comédiennes dansent), de dialogues impossibles (...), ces Lionceaux-là frôlent le ridicule. Au risque d'y sombrer souvent corps et biens.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com