Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
Une vision aussi radicale des rapports adultes-ados que dans Ken Park, mais avec plus d'émotion. Un film résolument singulier.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Sous des dehors elliptiques et esthétisants, ce premier film impressionnant cherche à retrouver une animalité refoulée dont Rita est l'expression vivante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Agée de vingt-neuf ans, la cinéaste impressionne par l'aplomb avec lequel elle filme son personnage central. Le film fait corps avec son héroïne, adolescente décalée qui ne trouve sa place nulle part. (...) Le soin apporté aux costumes et à la décoration n'a qu'un seul but : créer un malaise dans lequel patauge Rita inéluctablement.
Télérama
par François Gorin
Jessica Hausner a été l'assistante de Michael Haneke, et il y a chez elle cette même envie de faire imploser la cellule familiale pour qu'advienne enfin quelque chose, une vie, une parole, une chaleur (...) Lovely Rita date de 2001, Hausner a depuis commencé Hotel, son deuxième film. On l'espère déjà à la hauteur de ce remarquable début.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
C'est dans la justesse du sentiment que Jessica Hausner réussit à faire éclore son film. (...) Lovely Rita fait passer cette énergie blessée de l'adolescence. Et les conventions du récit finissent par peser moins lourd que la rage de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Si l'hostilité sourde et un peu mécanique de Rita n'éclipse pas le monde, c'est grâce au regard acéré de la réalisatrice qui isole et, en une touche - parfois un un zoom sur le regard - "saisit" les personnages.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Jessica Hausner évoque bien sûr le cinéma d'un Michael Haneke dans sa peinture d'une société à la fois totalement pacifiée et totalement barbare par son apathie mesquine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
Avec sa caméra DV, Jessica Hausner capte tout et transforme le commun en mortel : les balades se font fugues, le théâtre est une scène de cruauté, l'école une salle de torture, le bus une chambre des désirs, et sur la maison tombe la pierre du tombeau.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Estelle Ruet
Son parti pris d'un réalisme à peine stylisé par une mise en scène appuyée tourne court, tant la distanciation qu'elle impose au spectateur empêche toute identification, et au final toute émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Une vision aussi radicale des rapports adultes-ados que dans Ken Park, mais avec plus d'émotion. Un film résolument singulier.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Sous des dehors elliptiques et esthétisants, ce premier film impressionnant cherche à retrouver une animalité refoulée dont Rita est l'expression vivante.
MCinéma.com
Agée de vingt-neuf ans, la cinéaste impressionne par l'aplomb avec lequel elle filme son personnage central. Le film fait corps avec son héroïne, adolescente décalée qui ne trouve sa place nulle part. (...) Le soin apporté aux costumes et à la décoration n'a qu'un seul but : créer un malaise dans lequel patauge Rita inéluctablement.
Télérama
Jessica Hausner a été l'assistante de Michael Haneke, et il y a chez elle cette même envie de faire imploser la cellule familiale pour qu'advienne enfin quelque chose, une vie, une parole, une chaleur (...) Lovely Rita date de 2001, Hausner a depuis commencé Hotel, son deuxième film. On l'espère déjà à la hauteur de ce remarquable début.
Aden
C'est dans la justesse du sentiment que Jessica Hausner réussit à faire éclore son film. (...) Lovely Rita fait passer cette énergie blessée de l'adolescence. Et les conventions du récit finissent par peser moins lourd que la rage de son héroïne.
Cahiers du Cinéma
Si l'hostilité sourde et un peu mécanique de Rita n'éclipse pas le monde, c'est grâce au regard acéré de la réalisatrice qui isole et, en une touche - parfois un un zoom sur le regard - "saisit" les personnages.
Le Monde
Le film de Jessica Hausner évoque bien sûr le cinéma d'un Michael Haneke dans sa peinture d'une société à la fois totalement pacifiée et totalement barbare par son apathie mesquine.
Libération
Avec sa caméra DV, Jessica Hausner capte tout et transforme le commun en mortel : les balades se font fugues, le théâtre est une scène de cruauté, l'école une salle de torture, le bus une chambre des désirs, et sur la maison tombe la pierre du tombeau.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Son parti pris d'un réalisme à peine stylisé par une mise en scène appuyée tourne court, tant la distanciation qu'elle impose au spectateur empêche toute identification, et au final toute émotion.