Sobibor, 14 octobre 1943, 16 heures : Critique presse
Sobibor, 14 octobre 1943, 16 heures
Note moyenne
4,6
16 titres de presse
Aden
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Express
L'Humanité
Le Figaroscope
Le Point
Les Echos
Les Inrockuptibles
Urbuz
Zurban
MCinéma.com
Première
Studio Magazine
Télérama
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Ni documentaire, ni fiction... "C'est un suspense hitchcockien, affirme Claude Lanzmann... Un film héroïque..." Mythologique, aussi. Où l'on voit, sans recours à l'allégorie, David à l'œuvre contre Goliath.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Sobibor montre comment l'on devient un être humain : comment un déporté décide d'échapper à une mort animale, couverte par le hurlement des oies.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Sobibor -et Shoah- portent l'empreinte d'un désir, d'une foi même, très éloignés des démarches documentaires classiques : le film n'essaie pas de livrer un message, ni d'être essentiellement pédagogique…
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Les mots, les attitudes, les gestes nous en disent plus que toute lecture dans ce travail de reconstitution qui a nom la mémoire. Et si c'était cela, le cinéma ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) la force incroyable qui se dégage du récit, la vitalité, le courage de celui qui l'a vécu suffisent à faire de Sobibor un film passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
(...) (Claude Lanzmann) dit que ce « Sobibor », « exemple de la réappropriation de la force et de la violence par les juifs » montrés souvent comme n'ayant opposé aucune résistance à leurs bourreaux, est « un film de courage et d'espoir ». Il est, en tout cas, impossible de l'oublier.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
D'une douloureuse sobriété, la diction de Lanzmann met fin au récit à suspenspour rappeler l'ampleur du crime, son horreur comptable, sa précision procédurière.
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Ces longues séances de lecture, pour éprouvantes qu'elles soient (l'énumération finale donne le vertige et la nausée), sont d'abord là pour indiquer que le film exige quelque chose de nous : un travail de mémoire, une écoute attentive du récit de Lerner.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Eric Quéméré
(...) (un) documentaire édifiant dont les partis pris formels accentuent encore la singularité.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
On se prend à être captivé par le récit de ce témoin survivant de l'horreur. Un film qui inspire le silence et la méditation.
Première
par Olivier de Bruyn
Même si on a vu Shoah, on y apprend beaucoup.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
Ce peu de « fiction » que s'autorise Claude Lanzmann n'est pas pour rien dans la forte empreinte que laisse son très vivant documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Jean-Philippe Guérand
La forme est brute comme le fut la barbarie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Aden
Ni documentaire, ni fiction... "C'est un suspense hitchcockien, affirme Claude Lanzmann... Un film héroïque..." Mythologique, aussi. Où l'on voit, sans recours à l'allégorie, David à l'œuvre contre Goliath.
Cahiers du Cinéma
Sobibor montre comment l'on devient un être humain : comment un déporté décide d'échapper à une mort animale, couverte par le hurlement des oies.
Chronic'art.com
Sobibor -et Shoah- portent l'empreinte d'un désir, d'une foi même, très éloignés des démarches documentaires classiques : le film n'essaie pas de livrer un message, ni d'être essentiellement pédagogique…
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Les mots, les attitudes, les gestes nous en disent plus que toute lecture dans ce travail de reconstitution qui a nom la mémoire. Et si c'était cela, le cinéma ?
Le Figaroscope
(...) la force incroyable qui se dégage du récit, la vitalité, le courage de celui qui l'a vécu suffisent à faire de Sobibor un film passionnant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
(...) (Claude Lanzmann) dit que ce « Sobibor », « exemple de la réappropriation de la force et de la violence par les juifs » montrés souvent comme n'ayant opposé aucune résistance à leurs bourreaux, est « un film de courage et d'espoir ». Il est, en tout cas, impossible de l'oublier.
Les Inrockuptibles
D'une douloureuse sobriété, la diction de Lanzmann met fin au récit à suspenspour rappeler l'ampleur du crime, son horreur comptable, sa précision procédurière.
Urbuz
Ces longues séances de lecture, pour éprouvantes qu'elles soient (l'énumération finale donne le vertige et la nausée), sont d'abord là pour indiquer que le film exige quelque chose de nous : un travail de mémoire, une écoute attentive du récit de Lerner.
Zurban
(...) (un) documentaire édifiant dont les partis pris formels accentuent encore la singularité.
MCinéma.com
On se prend à être captivé par le récit de ce témoin survivant de l'horreur. Un film qui inspire le silence et la méditation.
Première
Même si on a vu Shoah, on y apprend beaucoup.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ce peu de « fiction » que s'autorise Claude Lanzmann n'est pas pour rien dans la forte empreinte que laisse son très vivant documentaire.
L'Obs
La forme est brute comme le fut la barbarie.