Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) le film ressemble à son héros : brumeux, brusque, d'une épaisse noirceur, parfois pesant (par le poids d'une éducation, juive ici, qui pèse et blesse) mais aussi traversé d'une énergie qui finit par frayer un petit chemin de lumière.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) cette envie furieuse de faire du cinéma passe l'écran, on pense par moments au Scorsese de "Mean Streets", et cette fougue d'un cinéaste qui n'a pas 30 ans fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
(...) I am Josh Polonski's brother est aussi fragile et émouvant que son outil est antique. (...) Raphaël Nadjari esquisse un film captivant sous tous rapports.
Positif
par Eithne O'Neill
Fiction personnelle écrite par le cinéaste, cette oeuvre indépendante aux allures de home movie fait valoir le format super-8 à merveille. Riche en couleur locale, le second long métrage de Nadjari (...) s'inscrit dans les ténèbres du film noir (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par Julien Welter
(...) un film construit à bout de bras, comme une révélation périlleuse mais vitale au monde.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) I'm Josh Polonski's brother de confirmer, chose étrange, que l'un des meilleurs cinéastes new-yorkais est français.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La beauté du second film de Nadjari ne tient pas dans ses ambitions "indépendantes", trop voyantes, mais dans ce qui résolument semble lui échapper. Le dispositif exhibitionniste de la mise en scène (...) est désamorcé par un scénario de la dérive et de l'éloignement progressif (...).
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Figaro Magazine
par Daniel Toscan du Plantier
Une fois encore, New York est la vedette principale du film, cadrée au plus près de sa misère, de sa dureté, avec toujours cette sorte de grâce qui semble se confondre avec l'art du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Marie-Noelle Tranchant
Intéressant portrait d'un homme mystérieux dans une atmosphère de film noir, composée par une caméra super 8 à l'image délibérément sombre et mal définie. Raphael Nadjari (...) a un style captivant, auquel s'accorde l'étrangeté lunaire de Richard Edson.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) la rencontre inédite de deux genres qui se sont longtemps croisés sans jamais se trouver : le film de famille (jamais en reste d'un cadavre dans le placard) et le polar (souvent en charge d'une famille à défendre).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Stéphane Dugast
I am Josh Polonski's brother a tout du film météorite. Du cinéma sans frontières ni concessions, libre et authentique. Entre oppression et jubilation !
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Technikart
par Valérie Labrousse et Rachid Ouadah
L'image est rétrécie, viciée par ce format ingrat et crade honni de l'industrie hollywoodienne. C'est de cette crasse que surgit la poésie. Subrepticement, les enjeux du film noir et du documentaire font place à l'image.
La critique complète est disponible sur le site Technikart
Télérama
par Louis Guichard
I am Josh Polonski's brother dure une heure et demie, mais donne le sentiment d'être beaucoup plus bref. Plus qu'à un exercice de style, il fait songer par sa concision à un équivalent cinématographique de la nouvelle littéraire…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par n.c.
Rien à voir avec les névrosés légers du New York de Woody Allen. Dans cette descente aux enfers, la rue est documentaire, la famille oppressante et les tabous profonds. Peu de scénario, mais un découpage où les scènes d'impro sont un peu longuettes, pour un tournage record de 500 000 FF.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Rémi Jimenez
(...) autant la caméra super-8 de Raphaël Nadjari retranscrit avec une certaine aisance le milieu familial, non sans abuser parfois de facilités stylistiques (...), autant la description et la reconstitution du New York by night font toc.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Didier Péron
Le film à l'arrivée ne suscite ni passion ni détestation, plutôt un ennui vaguement distingué devant un projet intéressant a priori mais inabouti à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Aden
(...) le film ressemble à son héros : brumeux, brusque, d'une épaisse noirceur, parfois pesant (par le poids d'une éducation, juive ici, qui pèse et blesse) mais aussi traversé d'une énergie qui finit par frayer un petit chemin de lumière.
L'Obs
(...) cette envie furieuse de faire du cinéma passe l'écran, on pense par moments au Scorsese de "Mean Streets", et cette fougue d'un cinéaste qui n'a pas 30 ans fait un bien fou.
Les Inrockuptibles
(...) I am Josh Polonski's brother est aussi fragile et émouvant que son outil est antique. (...) Raphaël Nadjari esquisse un film captivant sous tous rapports.
Positif
Fiction personnelle écrite par le cinéaste, cette oeuvre indépendante aux allures de home movie fait valoir le format super-8 à merveille. Riche en couleur locale, le second long métrage de Nadjari (...) s'inscrit dans les ténèbres du film noir (...)
Repérages
(...) un film construit à bout de bras, comme une révélation périlleuse mais vitale au monde.
Urbuz
(...) I'm Josh Polonski's brother de confirmer, chose étrange, que l'un des meilleurs cinéastes new-yorkais est français.
Cahiers du Cinéma
La beauté du second film de Nadjari ne tient pas dans ses ambitions "indépendantes", trop voyantes, mais dans ce qui résolument semble lui échapper. Le dispositif exhibitionniste de la mise en scène (...) est désamorcé par un scénario de la dérive et de l'éloignement progressif (...).
Le Figaro Magazine
Une fois encore, New York est la vedette principale du film, cadrée au plus près de sa misère, de sa dureté, avec toujours cette sorte de grâce qui semble se confondre avec l'art du cinéma.
Le Figaroscope
Intéressant portrait d'un homme mystérieux dans une atmosphère de film noir, composée par une caméra super 8 à l'image délibérément sombre et mal définie. Raphael Nadjari (...) a un style captivant, auquel s'accorde l'étrangeté lunaire de Richard Edson.
Le Monde
(...) la rencontre inédite de deux genres qui se sont longtemps croisés sans jamais se trouver : le film de famille (jamais en reste d'un cadavre dans le placard) et le polar (souvent en charge d'une famille à défendre).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
I am Josh Polonski's brother a tout du film météorite. Du cinéma sans frontières ni concessions, libre et authentique. Entre oppression et jubilation !
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Technikart
L'image est rétrécie, viciée par ce format ingrat et crade honni de l'industrie hollywoodienne. C'est de cette crasse que surgit la poésie. Subrepticement, les enjeux du film noir et du documentaire font place à l'image.
Télérama
I am Josh Polonski's brother dure une heure et demie, mais donne le sentiment d'être beaucoup plus bref. Plus qu'à un exercice de style, il fait songer par sa concision à un équivalent cinématographique de la nouvelle littéraire…
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Rien à voir avec les névrosés légers du New York de Woody Allen. Dans cette descente aux enfers, la rue est documentaire, la famille oppressante et les tabous profonds. Peu de scénario, mais un découpage où les scènes d'impro sont un peu longuettes, pour un tournage record de 500 000 FF.
Chronic'art.com
(...) autant la caméra super-8 de Raphaël Nadjari retranscrit avec une certaine aisance le milieu familial, non sans abuser parfois de facilités stylistiques (...), autant la description et la reconstitution du New York by night font toc.
Libération
Le film à l'arrivée ne suscite ni passion ni détestation, plutôt un ennui vaguement distingué devant un projet intéressant a priori mais inabouti à souhait.