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(...) Tezca se prend très au sérieux, un peu trop. D'autant plus que la flamboyance visuelle de son film n'est au final au service que de quelques vérités toutes faites lourdement soulignées par le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Avec une virtuosité baroque qui séduit dans un premier temps, Macoto Tezka jongle entre les images et les styles, mais finit par s'égarer dans un patchwork fantastico- numérique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) un film qui séduit et désappointe tout à la fois, qu'on aimerait défendre sans être vraiment certain d'avoir raison de le faire. Si ce doute atteste, au mieux, de la singularité du film, au pire de son inaboutissement, il mérite en tous cas d'être explicité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Métaphore de notre présent, si l'on veut, mais alors quelle lourdeur dans la description ! Rendez-nous George Orwell, qui avait déjà tout dit, et bien mieux, dans 1984 !
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Hou, le vilain réaliste poétique des bas-fonds nippons ! Macoto Tezka pèche exactement par le même esthétisme frelaté que les faiseurs audiovisuels qu'il stigmatise dans cette espèce de 1984/Brazil à la sauce new wave (...)
A coups de chromos, d'images pseudo-poétiques et d'enfonçages de portes ouvertes dans les dialogues, le réalisateur brasse du vide, avec prétention en plus. Le film est de surcroît interminable (2h30!).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Chronic'art.com
(...) Tezca se prend très au sérieux, un peu trop. D'autant plus que la flamboyance visuelle de son film n'est au final au service que de quelques vérités toutes faites lourdement soulignées par le cinéaste.
L'Obs
Avec une virtuosité baroque qui séduit dans un premier temps, Macoto Tezka jongle entre les images et les styles, mais finit par s'égarer dans un patchwork fantastico- numérique.
Le Monde
(...) un film qui séduit et désappointe tout à la fois, qu'on aimerait défendre sans être vraiment certain d'avoir raison de le faire. Si ce doute atteste, au mieux, de la singularité du film, au pire de son inaboutissement, il mérite en tous cas d'être explicité.
Première
L'intrigue adaptée d'une nouvelle est le prétexte à une fiction, dont le côté expérimental et la longueur peuvent déconcerter le chaland.
Repérages
Ce film hybride et sophistiqué, entre clips et estampes épurées, ne cesse d'hésiter entre une retenue qui touche et une exubérance qui exaspère.
Télérama
Quelques séquences remarquables dans un bric-à-brac plutôt fumeux.
L'Humanité
Métaphore de notre présent, si l'on veut, mais alors quelle lourdeur dans la description ! Rendez-nous George Orwell, qui avait déjà tout dit, et bien mieux, dans 1984 !
Les Inrockuptibles
Hou, le vilain réaliste poétique des bas-fonds nippons ! Macoto Tezka pèche exactement par le même esthétisme frelaté que les faiseurs audiovisuels qu'il stigmatise dans cette espèce de 1984/Brazil à la sauce new wave (...)
MCinéma.com
A coups de chromos, d'images pseudo-poétiques et d'enfonçages de portes ouvertes dans les dialogues, le réalisateur brasse du vide, avec prétention en plus. Le film est de surcroît interminable (2h30!).
Urbuz
(...) une immense masse boursouflée qui emprunte à tout le monde sans jamais se fixer, frôlant l'indigestion pure et simple.