Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Avec un sujet cassegueule (handicapés et bons sentiments donnent trop souvent des films mièvres ou racoleurs), le réalisateur a évité tous les pièges. Ses personnages ne sont pas réduits à des silhouettes signifiantes (...) mais laissent percevoir des personnalités riches, tenaillées de contradictions.
Cine Libre
par Philippe leclerqc
La réussite de Pauline et Paulette repose sur un habile mélange poésie-réalité. Poésie pour le côté émouvant du personnage gentiment têtu -et forcément rêveur- de Pauline, réalité (et non réalisme) pour la charge (émotionnelle) que représente son handicap pour les autres, Paulette en premier lieu.
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
est d'une poésie qui n'est pas sans rappeler de Jaco Van Dormael. Un film généreux, juste et émouvant sur l'intolérance et la méchanceté des gens " normaux " envers ceux qui ne leur ressemblent pas.
Ouirock.com
par N. Saint-Bois
A la manière d'un Huitième Jour troisième âge, Pauline et Paulette est une comédie sur la tolérance et le droit à la différence rondement menée par des interprètes impeccables comme on dit.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ainsi cette chronique drolatique, non dénuée de tendresse, (...), a de nombreux points communs avec un Huitième Jour (...) de sinistre mémoire. (...). Le film pourrait être tout à fait réussi s'il s'en tenait à sa vision décalée sur la vie quotidienne des Flamands.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
Pauline et Paulette est une fable doucement drolatique portée par ses interprètes. Si le film enfonce quelques portes ouvertes sur le droit à la différence et la tolérance, il échappe quelque peu au naturalisme (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par S.L
Ce Huitième Jour gérontophile sent évidemment la naphtaline avec son casting troisième âge (...). N'empêche, on rigole bien des facéties de cette veille petite fille (...) qui sait plus que quiconque ce qu'elle veut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par T.C
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Unanimement salué au dernier Festival de Cannes, "Pauline et Paulette" est une charmante fable sur la différence qui ne touchera pourtant que ceux qui ont déjà acquis à cette cause.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Au fur et à mesure que le film organise son rythme binaire (séparation / retrouvailles entre Pauline et Paulette), il lâche du lest et se réfugie dans une épure sentimentale qui le soulage (et nous soulage par la même occasion).
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Zurban
par Véronique Le Bris
Sur un sujet difficile, mais traité avec beaucoup de sensibilité, la toute jeune réalisatrice flamande Lieven Debrauwer signe un premier film ambitieux, retenu à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes. Elle ne parvient toutefois pas à capter l'intérêt jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Chronic'art.com
par David Vincent
Sur ce canevas des plus cyniques, Pauline et Paulette joue la carte de la fable misérabiliste flamande : une galerie de personnages vomitifs peinant à se muer au milieu de décors déprimants et pathétiques.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un cas de belgitude aiguë comme il y en a tant. Si on voulait être méchant, on dirait c'est Amélie Poulain réincarnée dans une trisomique flammande de 70 ans. Mais c'est quand même mieux, moins ripolé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
Trop calculateur et pas assez stylé, le réalisateur mise sur des gags faciles (les "mots d'enfant" de Pauline) et donne l'impression de diriger un numéro de cirque ou un épisode du Muppet show. Involontairement grinçante, la comédie crée le malaise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Avec un sujet cassegueule (handicapés et bons sentiments donnent trop souvent des films mièvres ou racoleurs), le réalisateur a évité tous les pièges. Ses personnages ne sont pas réduits à des silhouettes signifiantes (...) mais laissent percevoir des personnalités riches, tenaillées de contradictions.
Cine Libre
La réussite de Pauline et Paulette repose sur un habile mélange poésie-réalité. Poésie pour le côté émouvant du personnage gentiment têtu -et forcément rêveur- de Pauline, réalité (et non réalisme) pour la charge (émotionnelle) que représente son handicap pour les autres, Paulette en premier lieu.
MCinéma.com
est d'une poésie qui n'est pas sans rappeler de Jaco Van Dormael. Un film généreux, juste et émouvant sur l'intolérance et la méchanceté des gens " normaux " envers ceux qui ne leur ressemblent pas.
Ouirock.com
A la manière d'un Huitième Jour troisième âge, Pauline et Paulette est une comédie sur la tolérance et le droit à la différence rondement menée par des interprètes impeccables comme on dit.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ainsi cette chronique drolatique, non dénuée de tendresse, (...), a de nombreux points communs avec un Huitième Jour (...) de sinistre mémoire. (...). Le film pourrait être tout à fait réussi s'il s'en tenait à sa vision décalée sur la vie quotidienne des Flamands.
Le Monde
Pauline et Paulette est une fable doucement drolatique portée par ses interprètes. Si le film enfonce quelques portes ouvertes sur le droit à la différence et la tolérance, il échappe quelque peu au naturalisme (...)
Première
Ce Huitième Jour gérontophile sent évidemment la naphtaline avec son casting troisième âge (...). N'empêche, on rigole bien des facéties de cette veille petite fille (...) qui sait plus que quiconque ce qu'elle veut.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Unanimement salué au dernier Festival de Cannes, "Pauline et Paulette" est une charmante fable sur la différence qui ne touchera pourtant que ceux qui ont déjà acquis à cette cause.
Urbuz
Au fur et à mesure que le film organise son rythme binaire (séparation / retrouvailles entre Pauline et Paulette), il lâche du lest et se réfugie dans une épure sentimentale qui le soulage (et nous soulage par la même occasion).
Zurban
Sur un sujet difficile, mais traité avec beaucoup de sensibilité, la toute jeune réalisatrice flamande Lieven Debrauwer signe un premier film ambitieux, retenu à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes. Elle ne parvient toutefois pas à capter l'intérêt jusqu'au bout.
Chronic'art.com
Sur ce canevas des plus cyniques, Pauline et Paulette joue la carte de la fable misérabiliste flamande : une galerie de personnages vomitifs peinant à se muer au milieu de décors déprimants et pathétiques.
Les Inrockuptibles
Un cas de belgitude aiguë comme il y en a tant. Si on voulait être méchant, on dirait c'est Amélie Poulain réincarnée dans une trisomique flammande de 70 ans. Mais c'est quand même mieux, moins ripolé.
Télérama
Trop calculateur et pas assez stylé, le réalisateur mise sur des gags faciles (les "mots d'enfant" de Pauline) et donne l'impression de diriger un numéro de cirque ou un épisode du Muppet show. Involontairement grinçante, la comédie crée le malaise.