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    La Cité de l'indicible peur
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    51 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 octobre 2015
    Un des films les plus étranges et les plus poetiques de JPM. La musique typique de ses films, l'étrange démarche sautillante de Bourvil, les "tics" de Poiret, on est dans l'absurde le plus délicieux entre faux monnayeurs et "la bêêêête", la Bargasque.
    C'est magique!
    evariste75
    evariste75

    154 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 avril 2024
    Film insupportable de nullité !

    Il y a pourtant de bons acteurs dont Bourvil, Francis Blanche, Jacques Dufilho, mais la mise en scène est catastrophique...

    Film vu dans le cadre d'un festival Bourvil de 3 jours au Mac-Mahon...

    J'ai pourtant aimé "Un drôle de paroissien" du même metteur en scène, ce qui m'étonne...

    Humour cynique, laid et grinçant...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2015
    "Je cherche un ivrogne frileux, chauve ou portant perruque!!!!!!" Bourvil cherche aussi la bêêêête, la "Barjasse". Un festival de loufoqueries avec une brochettes d'acteurs complètement déjantés. C'est absurde comme souvent dans le cinéma de Mocky, mais c'est assez drôle......
    Alain D.
    Alain D.

    588 abonnés 3 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2023
    Pas un film majeur de Jean-Pierre Mocky, mais une comédie policière qui se laisse regarder avec plaisir, grâce à son rythme et ses bons dialogues. Le scénario Fantastique nous conte une histoire troublante mettant en scène une ribambelle de personnages étranges et attachants.
    Le film nous offre, en effet, un casting royal, une troupe de comédiens que l'on voit hélas trop peu comme Jean-Louis Barrault, René-Louis Lafforgue (le Boucher), Jacques Dufilho ou Francis Blanche. Quant à Bourvil il se montre comme toujours remarquable, alerte et fantasque, surprenant dans un registre inhabituel.
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Intitulé ''La Grande frousse'' à sa sortie puis rebaptisé ''La cité de l'indicible peur'' lors de ses éditions dvd, voilà un film de Mocky bien singulier, à l'univers absurde où tous les personnages ont des tics ou des obsessions auxquelles ils se maintiennent. Bourvil, jouant avec délice un inspecteur parisien candide arrivant dans un village de province menacé par une soi-disant bête sauvage, met à jour les secrets des habitants sans faire exprès, traquant un faux monnayeur qu'il ne parvient pas à retrouver. L'ambiance est particulièrement soignée et les décors très bien choisis, rattrapant au passage un scénario parfois décousu mais qui nous brosse une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve avec bonheur Jean Poiret, Jean-Louis Barrault, Francis Blanche ou encore Victor Francen en médecin alcoolique qui affirme que toutes les morts sont naturelles.
    tixou0
    tixou0

    700 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2013
    Mister Mocky à son meilleur - 1964. "La Grande Frousse", redevenue "La Cité de l'indicible peur" selon les voeux du cinéaste pour les ressorties de son film (puisque librement inspiré du livre homonyme du Belge Jean Ray). Irrésistible de cocasserie, faux "policier" aux accents fantastiques, mais aussi conte moral, annonçant particulièrement "La Grande Lessive ! " (1969), creusant le thème de la bêtise humaine et de ses effets ravageurs, surtout quand multipliés par l'effet de foule - "A mort l'arbitre" (1983). Nostalgie du noir et blanc - celui-ci a près de 50 ans, et est toujours superbe.
    Des interprètes magnifiques, Bourvil (entre drame et comédie, dans le rôle principal de l'inspecteur humaniste Triquet), Jean-Louis Barrault (en "Douve", avec un emploi clin d'oeil à William Kramps de "Drôle de Drame", puisque chez Mocky, il est aussi à bicyclette, et qu'un boucher tient un rôle important dans l'intrigue), Francis Blanche (un autre vieux complice de Mocky, comme Bourvil), Jacques Dufilho, les Belges Victor Francen et Raymond Rouleau, le chanteur René-Louis Lafforgue (le boucher), qui chante aussi la chanson du film, "Fatalitas", l'inénarrable Marcel Pérès (fameux "second rôle" que Mocky employait très souvent), Roger Legris (en potard inquiétant), Fred Pasquali (la voix de tant de dessins animés), Jean Poiret (en brigadier stupide).... Tous disparus. Seule Véronique Nordey (Livina), alors mariée avec Mocky (c'était son 5ème et dernier film, sous sa direction), est toujours en vie, dans les rôles de quelque importance !
    Les dialogues sont de Raymond Queneau (un régal), les images d'Eugen Schüfftan, l'opérateur de "Metropolis" et oscarisé en 1961 ("L'Arnaqueur" de Rossen), les décors (Jacques d'Ovidio), très soignés (voir en particulier la mairie), complètent parfaitement les extérieurs tournés dans la petite ville auvergnate de Salers, les costumes sont du couturier Louis Féraud : que du bonheur ! Revu avec un grand plaisir sur Arte.
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 avril 2019
    Mocky ne voulait pas d'un tel titre pour son film. Le trouvant crétin. Mais bon, à l'époque, la mode était aux titres de films contenant les mots grande ou grosse. Les producteurs adoraient. Alors, il fallait bien s'y plier. Depuis, le film est connu sous le titre voulu initialement. Cette "Grande frousse", je ne l'avais déjà pas spécialement aimée lorsque je l'avais vue la première vue. Le deuxième visionnage m'a encore moins convaincu. Pourtant, ça commence très bien. C'est vraiment cool de voir Bourvil déambuler en pleine nuit dans les rues de ce petit bled. On sent qu'il y a une vraie atmosphère. Et le bruit causé par un vent fort ajoute un peu plus de poids. Ajoutons quelques touches d'humour noir. Et parfois, ça a des allures de conte un peu macabre. A l'image de la décoration du bureau du maire avec les grosses bougies dans les chandeliers. Mais, il y a un souci : il s'agit là d'un film où tout ou presque a été misé sur la dite atmosphère. Du coup, l'histoire est extrêmement maigrelette. Le film trouve rapidement ses limites et s'essouffle après près d'une quarantaine de minutes. Dès lors, tout repose entièrement sur les épaules de Bourvil, dominant très nettement un casting fournissant une qualité d'interprétation inégale. Quant à la Bête, je veux bien admettre que Mocky avait des moyens limités, mais quand même. Ça fait vraiment nanar. Pas grandiose au final.
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2013
    Le Grande Frousse (titre voulu par la production lors de la 1ère sortie du film) est plus connu sous le nom de La Cité de l'indicible peur (qui était celui souhaité par Mocky et qui a servi pour les ressorties suivantes). Il fait parti des films les plus connus de Mocky. Le film bénéficie d'un très beau noir et blanc, d'une atmosphère rappelant un peu celui des films de la Hammer (bien qu'étant une comédie) et d'une musique assez sympathique (notamment la chanson titre, co-écrite par Mocky et Raymond Queneau). A cela s'ajoute un casting impressionant (Francis Blanche, Jean-Louis Barrault, Jean Poiré...) au milieu duquel trône Bourvil (qui est un des rares acteurs à conserver son phrasé habituel et non pas celui typique des films de Mocky). Comme toujours, Mocky profite de sa comédie pour dénoncer les travers de la société ( la vindicte populaire qui préfigure A mort l'arbitre) à travers un univers un peu irréaliste (comment peut-on craindre un monstre aussi ridicule ?). Malgré tout cela, pour apprécier réellement le film, il faut être un adepte de l'univers de Mocky. Autrement, le film se regarde sans déplaisir mais sans réelle passion non plus.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mai 2008
    Entre suspense et loufoquerie Mocky mène adroitement sa barque, ce n'était pas gagné d'avance.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    La Cité de l’indicible peur est un brouillard du sens où tout, des mouvements aux paroles, se couvre de fumées. Le personnage campé par Bourvil est, lui, un feu follet : nous le voyons sautiller à la manière d’un fou dans un village hanté par les spectres de la culpabilité. Il traverse la lande digne d’une enquête de Sherlock Holmes – le manteau anglais appuie cette analogie – comme animé par une énergie aussi étrange que les figures qu’il rencontre. Il se nomme Triquet, soit le battoir servant au jeu de balles et contre lequel se répercutent les coups, ici les crimes d’un lieu apparemment calme. « Il n’y a que des honnêtes gens dans notre bonne ville de Barges ». De barjots, oui ! Dans la pharmacie de M. Paul, Triquet prend plusieurs fois la pose devant une publicité pour des Tricostérils ; c’est dire qu’il agit tel un pansement où se résorbent les violences, la proximité phonétique aidant. Car notre inspecteur de police semble opposer son corps au mal, il n’hésite d’ailleurs pas à intervenir au péril de sa vie. C’est lui qui arrache le costume, c’est lui qui ouvre les portes, ventile les armoires au point d’en extraire une grand-mère – « Si vous n’aérez pas la grand-mère de temps en temps, vous aurez de mes nouvelles » affirme-t-il. Il apporte la lumière au sein des ténèbres, il démasque l’hypocrisie au sein de la banalité du quotidien et oppose à la cruauté froide et dénuée de fondements véritables une certaine forme de candeur. Il ne cesse d’être surpris non par l’incongruité des situations dans lesquelles il se trouve, mais parce qu’il découvre une nature humaine proche de la bestialité qu’il ne soupçonnait pas. « Je ne cherche pas, je trouve, hélas ». L’interjection dit tout. Quant à la fameuse bête, émanation du potentiel magique cher à l’Auvergne – pensons à la Bête du Gévaudan –, elle agit en contrepoint comme force néfaste à l’œuvre : et si le mystère, comme l’horreur, est une construction humaine, Jean-Pierre Mocky prend le soin de n’en jamais lever complètement le voile, si bien que l’atmosphère lugubre triomphe malgré le simulacre de résolution finale. Les brouillards se résolvent, s'expliquent mais restent attachés au territoire qu'ils recouvrent. Il y a ces cavaliers qui ouvrent et ferment le film, des visions apocalyptique tout autant que grotesques qui portent en elles-mêmes la tonalité de l’œuvre, oscillant avec un équilibre rare entre la farce, le thriller et l’épouvante. Cette intrication, nous la devons au romancier à l’origine dudit film, Jean Ray. Également au dialoguiste qui n’est autre que Raymond Queneau : de la répétition loufoque de mêmes répliques aux réflexions pseudo-philosophique de l’inspecteur, l’absurde règne ici en maître. Incendie du sens. Mocky réussit alors à teinter un fantastique déjà audacieux dans le paysage cinématographique français d’intonations sorties d’un théâtre à la Beckett. Ce faisant, il allume un incendie qui détruit les repères traditionnels et abandonne ses personnages dans un grand brouillard, contraints d'avancer à tâtons et de s'entrechoquer. Il signe une œuvre satirique et envoûtante dont le soin accordée à la photographie façonne une ambiance dont on ressort captivé et ravi, certain d’avoir vu là quelque chose de grand enfoui sous des couches de non-sens délectables.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    197 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2013
    un film Caucase mais au final assez banal, du petit film quoi !!!
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    203 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2014
    On est assez loin de l'univers gothique de Jean Ray, dont Mocky a "adapté" le roman. Ici, nous sommes dans la grosse farce guignolesque parfois un peu lourde. Le scénario n'a ni queue ni tête. Reste une pléiade de comédiens fabuleux, parfois sous-utilisés. Les dialogues de Queneau sont en revanche décevants. Un peu plus de finesse et de mystère auraient amélioré ce film bancal. Mais c'est peut-être trop demander à Mocky...
    Arnaud A.
    Arnaud A.

    7 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2023
    Cet incroyable grand-guignol se répète parfois et traîne souvent en longueur, mais il vaut largement le détour pour ses idées foutraques et sa distribution de grande classe, autour de Bourvil dans l'un de ses meilleurs rôles.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    Des faux monnayeurs, des assassins, un ivrogne frileux et une guillotine qui s'enraye! Pas de doute nous sommes bel et bien dans l'univers de Jean-Pierre Mocky! Sorti sous le titre idiot de "La grande frousse" (1964), cette farce macabre a ètè remontèe par le cinèaste pour ressortir finalement quelques annèes plus tard sous le titre de, "La citè de l'indicible peur". L'oeuvre est même devenue culte après son insuccès en salles! Mocky a su crèer une atmosphère, jouant parfaitement avec le noir et blanc grâce à son directeur de la photographie Eugen Schüfftan, et nous offre donc un long-mètrage ètrange dans le genre cinèma fantastique / surrèaliste! L'atmosphère est unique, bien dèfendue par les deux interprètes principaux que sont Bourvil et Jean Poiret, mais aussi par Francis Blanche, Jean-Louis Barrault et Victor Francen! Et la musique est aussi marquante que les prises de vues se dèroulant à Salers dans le Cantal! Alors pourquoi s'en priver...
    Hotinhere
    Hotinhere

    553 abonnés 4 961 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 août 2023
    Un casting jubilatoire au service d'un polar burlesque mais foutraque et pas très réjouissant dans lequel la bourgeoisie provinciale trinque...
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