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Un visiteur
2,5
Publiée le 23 février 2008
L'histoire est plus pesante que dans le premier opus donc forcement,il est moins bien.Oui, le film est peu etre trop long.Un numero moyen.J'ai vu qu'il projette de faire le 3 on verra bien ce que sa donne.
ahhhh revoir cbon vieux schwarzy au début dsa carrière, quand les pecs était encore haut, fais plez! une aventure a la king rising dé années 80 sympa a regarder!!
Ce second volet des aventures de Conan tient la route. Il est un peu plus digeste que le premier car il est moins long et mieux construit. Il contient quelques scènes assez cultes comme le combat dans la chambre des miroirs, mais aussi des personnages mémorables comme celui de Grace Jones qui incarne une esclave guerrière redoutable. Les décors et les costumes sont toujours aussi beaux mais malheureusement, les effets spéciaux sont toujours aussi nazes. En fait, dans chaque épisode de cette saga, il y a de bons moments et d'autres plus inconsistants ce qui est dommage car en synthétisant tout ça dans un seul film, on aurait pu avoir un vrai film culte.
Il faut être honnête, cette séquelle ne peut pas égaler le Conan de John Milius, c'est impossible, il ne retrouve pas le souffle épique, et la B.O. de Basil Poledouris n'est pas aussi puissante ; de plus, certaines scènes sont un peu limite dans le ridicule, et le film est sapé par une princesse virginale un peu cucul. Mais il y a quand même de bons trucs, tout n'est pas nul, faut pas exagérer non plus : Richard Fleischer, c'est quand même le type qui a réalisé "Les Vikings" en 1958, la photo de Jack Cardiff est très soignée, les combats sont bons, Sarah Douglas est une reine Taramis sexy, et il y a bien-sûr Schwarzy avec toujours son impressionnante musculature très photogénique (on dirait même qu'il a grossi par rapport au premier opus). Poledouris reprend certains de ses thèmes musicaux, tout en ajoutant quelques variantes, et le scénario mise plus sur la fantaisie, avec quelques bons moments d'efficacité. Le constat n'est donc pas si mal. Moi, j'aime bien ce film, plus léger que le premier certes, mais attachant, avec une bonne ambiance.
Encore un gros navet avec le gouverneur de Californie ! Ce qu'il y a de plus amusant dans le film, c'est de s'imaginer comment un homme ( même très musclé ) peut combattre une cinquantaine d'homems contre lui et... vaincre ! Quant au sorcier, il m'a fait tout simplement pitié, lui qui se transforme en un oiseau impossible a détruire car il est transparent !! Et la scène du combat avec les miroirs, elle aussi particulèrement pitoyable. Et Grace Jones, qui, même en ayant un rôle déjà horrible, trouve quand même à jouer super mal son rôle. Bref, film tout simplment à éviter !
Donner une suite au CONAN de John Milius et la confier à Richard Fleischer par ce que le producteur Dino De Laurentis adorait THE VIKINGS que Fleischer réalisa 25 ans plus tôt, semblait partir d’une bonne idée. Malheureusement le personnage de Howard a peu de rapport avec ce Conan bavard et par moment ridicule, entouré de la grimaçante Grace Jones et du transparent Wilt Chamberlain, malgré ses 2,16 m et 135 kg. S’ajoutent des effets spéciaux à deux dollars et des décors parfois inégaux, le tout donnant l’impression des films de super héros mythologiques (Hercule, Maciste,..) que cinecitta réalisait à la chaine avant de basculer dans le spaghetti western. Par une intéressante mise en place et un final enfin à niveau, cela peut se laisser voir à condition d’oublier le film de John Milius, la comparaison serait par trop accablante.
Suite d'un must de l'héroïque fantaisie, avec un successeur de taille aux commandes, pour braver le monstre. Après 20 000 Lieux Sous Les Mers et Soleil Vert... finalement un projet était trop lourd à porter. Mais une comédie sublime.
Quel massacre ! Où est passée toute la réflexion du 1er sur le surhomme ? Ce que j'avais beaucoup aimé dans "Conan le Barbare" c'est que John Milius évitait tous les pièges qui lui étaient tendus avec un tel personnage, à savoir qu'il n'en faisait pas une montagne de muscles abruti et qu'il proposait une histoire avec une certaine profondeur pour peu que l'on se donnait la peine de l'analyser.
Avec "Conan le destructeur", Richard Fleischer fait tout l'inverse. Il fait de l'histoire de Conan une vaste blague où le personnage principal n'est plus bon qu'à manier une épée et à mettre de grosses mandales à des animaux.
Pire encore, il introduit des personnages qui sont énervants à un point tel que cela en devient de la torture de regarder l'écran ! Je pense là au personnage incarné par Grace Jones qui ne sait faire que crier des sons incompréhensibles et sauter partout comme une hystérique ou à la princesse d'une niaiserie dingue.
Bref, il n'y a rien à sauver dans cette suite catastrophique de Conan.
En soi je n'ai pas passé un mauvais moment devant ce film mais force est de constater que ce film est a des années lumières de la subtilité du premier film. Ici, on se croirait dans un jeu vidéo. Que ce soit la composition de l'équipe ( chacun étant un personnage quasiment définit par ses compétences, le voleur, le magicien, la guerrière etc...), la mission ( retrouver un item pour ensuite affronter un boss) et l'aventure en elle même ( succession de niveau avec danger différend dedans). On est clairement dans une mission secondaire de RPG. Ce n'est pas un problème en soi, mais c'est quand même léger.
Bizarrement, et bien que ce second opus soit inférieur à l'original, "Conan le destructeur" m'a laissé davantage de souvenir, sûrement dû à la présence d'un certain palais de glaces et d'une guerrière sauvage tout bonnement insupportable, braillant à tout va. Le scénario n'a ni queue ni tête, les scènes de combats sont d'une médiocrité absolue, rien n'est chorégraphié, tout en devient ridicule. C'est bête et frustrant, et ce le sera encore plus pour les amateurs du "barbare".
Le premier épisode devait beaucoup à la mise en scène élégante de John Milius. Celle de Richard Fleischer est moins contemplative et plus classique et ne crée aucun souffle épique. Cette suite semble vouloir s'adresser à un public plus large en introduisant maladroitement de l'humour.
Loin de la violence désespérée de Robert Howard dans le texte, Conan Le Destructeur verse plutôt dans le divertissement d'aventure à petit budget. En l'espace de quelques séquences, on oublie l'univers sombre et cohérent planté dans le film original par John Milius pour plonger corps et âme dans un décor d'heroïc fantasy d'opérette. Il ne nous reste que nos yeux pour pleurer devant ce spectacle incroyablement kitsch (monstres en plastique, décors en carton pâte, effets spéciaux risibles...) où la violence brille par son absence. Aucun acteur n'arrive à tirer son épingle du jeu devant l'étendu des dégâts. Arnold Schwarzenegger est plus bovin que jamais et Grace Jones passe son temps à grogner façon clébard. Même Basil Poledouris n'y arrive plus. Non pas que son score soit mauvais (loin de là), mais il peine à retrouver le faste de ce qui reste sa meilleurs partition à ce jour.
On se demande comment un réalisateur renommé, Richard Fleischer, a-t-il pu bien nous pondre une suite d'une totale absurdité. Si le premier Conan garde un certain sens lyrique, le deuxième n'est qu'un amas de stupidités, résultat voulu pour un film plus familial, plus second degré.
Avec un Schwarzenegger qui est plus là pour exhiber sa musculature qu'autre chose (il est en slip la plupart du temps), le scénario est navrant, construit autour d'un prétexte à l'aventure où les enjeux seront absents et les évènements remplis de facilités et raccourcis beaucoup trop indiscrets pour y croire une seconde (le combat des magiciens est l'exemple type). Les personnages ne sont pas caractérisés, s’introduisent dans l'aventure en se demandant pourquoi (Zula). La prestation générale des acteurs n'aidera pas et les dialogues non plus (certaines séquences sont proches du nanar). L'ensemble est donc bâclé, y compris les trucages et déguisements honteux (les monstres).