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Votre avis sur Chevauchée avec le diable ?
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Un sujet intéressant "la guerre de sécession" côté sudiste cependant on préférera la série nord et sud qui traite de cette période sous tous les angles (amitié, famille, noir et blanc, riches et pauvres, hommes et femmes). Ici malgré un tobey maguire correct (pour une fois)et une mention spéciale pour jonathan rhys meyer l'histoire traine en longueur et il n'y a aucune scène marquante et les acteurs sont fades. Un western ou un film de guerre raté dommage pour ang lee
Un film pussiant et intense qui ce passe à l'époque de la guerre de SÉCESSION enfin je pense car je ne suis pas très fort pour deviner de quel l'époque il s'agit . Un film très bien avec de bonne action , ave'ture une réalisation de ang père qui est juste au top et qui montre le talent inclrhnle du cinéaste Chinois .
Les acteurs et actrices du'film sont plutôt bons. Chevauchée avec le diable"(2000) se feuillette comme un élégant livre d'images,Un western, plutot réussi dans sa mise en scène et son parti pris,On ne s'ennuie pas même si certains passages manquent de souffles.En voila un honnête divertissement qui se laisse tout à fait regarder! bons passages et si le casting, étonnant, avait de quoi rendre dubitatif, finalement ça rend plutôt bien. Ang Lee veut montrer l'horreur de la guerre dans laquelle ces jeunes gens se perdent, mais sa volonté de soigner les plans, les paysages rend le film joli mais ça empêche souvent l'immersion totale.
Les acteurs et actrices du'film sont plutôt bons. Chevauchée avec le diable"(2000) se feuillette comme un élégant livre d'images,Un western, plutot réussi dans sa mise en scène et son parti pris,On ne s'ennuie pas même si certains passages manquent de souffles.En voila un honnête divertissement qui se laisse tout à fait regarder! bons passages et si le casting, étonnant, avait de quoi rendre dubitatif, finalement ça rend plutôt bien. Ang Lee veut montrer l'horreur de la guerre dans laquelle ces jeunes gens se perdent, mais sa volonté de soigner les plans, les paysages rend le film joli mais ça empêche souvent l'immersion totale.
Un bon film merveilleusement filmé par Ang Lee qui raconte un épisode sombre de l'histoire américaine. Plus que la guerre de sécession qui sert de toile de fond, c'est l'émergence de l'amitié entre Jake, sudiste d'ascendance allemande et Daniel, nègre au service d'un blanc, qui a suscité mon intérêt. Leur collaboration dans l'adversité balaye en eux tous les préjugés raciaux, la cause si chère au sud. Même si les valeurs patriotiques sans foi ni loi et vaines sont l'argument premier de cette fresque, elles ne m'ont pas convaincu.
"Chevauchée avec le diable" d'Ang Lee avait attiré mon attention comme étant un film traitant d'un sujet assez méconnu mais qui m'intéressait beaucoup et sur lequel j'avais lu plusieurs ouvrages. Quand j'ai vu la bande annonce j'étais satisfait . C'est donc plein d'enthousiasme que je regardais le film et à vrai dire il faut noter une chose : l'ambiance est bien retranscrite et on a envie de se plonger dans l'action et d'en savoir plus. Le début est très bien ça bouge vite les personnages son rapidement présentés, on a deux premières fusillades plutôt pas mal ...
Seulement voilà, à partir de la moitié, le film devient lent, lourd mis à part cela on reste quand même un peu dans l'action tout en essayant de profiter du jeu des acteurs qui, sans avoir l'air de se détacher du film, semblent ressortir leurs répliques sans intérêt apparent. Mais c'est la deuxième partie qui m'a vraiment posé problème: il reviennent voir leur bande de guérilla puis leur chef décident d'attaquer la ville de Lawrence ( fait historique). Connaissant l'événement je m'attendais à une grande séquence montrant les atrocités commises par la bande... pas vraiment en fait, on nous montre quelques meurtres alors que le massacre de Lawrence à fait environ 200 morts: ça va trop vite, on a pas le temps de se mettre dans la situation, c'est mal filmé des scènes sont coupées sans raison, pareil pour la bataille finale. Lee d'approfondit pas vraiment la psychologie des personnages. J'ai quand même trouvé que la rivalité entre Jake Roedel ( Tobey McGuire) et Pitt Mackeson ( Jonathan Rhys Meyers) était plutôt bien rendue et Mackeson est le seul personnage que j'ai trouvé intéressant et marquant au final. Malgré des points faibles le film tente tout de même d'aborder un thème méconnu le tout porté sur de beaux costumes et une bande son entraînante.
Seulement voilà, à partir de la moitié, le film devient lent, lourd mis à part cela on reste quand même un peu dans l'action tout en essayant de profiter du jeu des acteurs qui, sans avoir l'air de se détacher du film, semblent ressortir leurs répliques sans intérêt apparent. Mais c'est la deuxième partie qui m'a vraiment posé problème: il reviennent voir leur bande de guérilla puis leur chef décident d'attaquer la ville de Lawrence ( fait historique). Connaissant l'événement je m'attendais à une grande séquence montrant les atrocités commises par la bande... pas vraiment en fait, on nous montre quelques meurtres alors que le massacre de Lawrence à fait environ 200 morts: ça va trop vite, on a pas le temps de se mettre dans la situation, c'est mal filmé des scènes sont coupées sans raison, pareil pour la bataille finale. Lee d'approfondit pas vraiment la psychologie des personnages. J'ai quand même trouvé que la rivalité entre Jake Roedel ( Tobey McGuire) et Pitt Mackeson ( Jonathan Rhys Meyers) était plutôt bien rendue et Mackeson est le seul personnage que j'ai trouvé intéressant et marquant au final. Malgré des points faibles le film tente tout de même d'aborder un thème méconnu le tout porté sur de beaux costumes et une bande son entraînante.
Comment dire, j'ai beaucoup aimé cette aventure au coeur des troupes sudistes "non officielles" pendant la guerre de Sécession, qui comporte de très bons acteurs, des décors superbes et des scènes de batailles spectaculaires (bien qu'un peu trop brouillonnes par moments, du genre la règle des 180° qui passe au cachot) mais l'histoire est sans réel but : les héros tendent des embuscades, une amourette envahissante s'invite dans le récit, les héros repartent tendre des embuscades, et le tout finit comme un cheveu sur la soupe après une confrontation qui sort des clichés entre Tobey Maguire et Jonathan Rhys Meyer. Un film qui se suit sans déplaisir mais dont on a l'impression qu'un bon quart a été passé aux oubliettes tant les ellipses sont nombreuses.
Je ne connais pas toute la filmographie d'Ang Lee mais je dois dire que le peu que j'en connais m'a beaucoup plu. Dans le cas de cette Chevauchée avec le diable, il y a tout sur le papier pour m'intéresser. On a en premier lieu un contexte historique assez peu représenté au cinéma de nos jours, la guerre de Sécession qui est ici traitée d'un point de vue personnelle, à savoir celui de deux étrangers, un allemand et un noir, qui tentent de
spoiler:
légitimer leur patriotisme en rejoignant la cause des sudistes.
Il y a ensuite une pléthore d'acteurs que j'apprécie beaucoup à commencer par Tobey Maguire, très juste dans son rôle et à mille lieues de celui de Spiderman dans lequel je l'avais découvert. Parmi les seconds rôles, on trouve Jonathan Rhys-Meyer (Joue-là comme Beckham, la série Les Tudors), Simon "The Mentalist" Baker à peine reconnaissable ainsi que la chanteuse Jewel dont il s'agissait du premier rôle au cinéma. Passé le premier tiers qui se résume à une série d'affrontements, le film dérive lentement vers un drame plus inspiré qui s'attarde longuement sur l'aspect historique, la lente prise de conscience de ce qui se passe réellement et de ce que cela implique tout comme les conséquences de leurs actes. spoiler: D'un côté, le jeune allemand qui subit les offenses des autres sudistes et dont la prise de position coûtera la vie à son père et de l'autre le "nègre" qui voue à un "blanc" une loyauté indéfectible allant jusqu'à lutter contre lui-même.
Les moments où ces deux-là apprennent à se connaître, à partager et à comprendre leur situation respective donnent au film toute sa saveur, son style et surtout son rythme afin qu'au final, le spectateur puisse exprimer toute l'émotion et le plaisir qu'il a ressenti en se laissant conter cette histoire. Car c'est bien la force de ce film : nous faire croire à la guerre pour mieux faire ressortir l'humanité des personnages loin de la froideur de l'histoire. Un point de vue qu'Ang Lee s'évertue à travailler que ce soit dans son dernier en date, Hotel Woodstock, où il réussit à parler du plus grand événement musical des la deuxième moitié du 20ème siècle en occultant quasiment la musique ou plus loin de nous dans Raisons et sentiments où les états d'âmes des deux sœurs ne servent en fait de prétexte qu'à dresser un portrait de l'image de la femme à cette époque. Qu'il nous parle de la guerre de Sécession, d'homosexualité ou de combats à l'épée, une seule chose a de l'importance, Ang Lee imprime sa patte à chacun de ses films, une marque de fabrique que seuls les plus grands possèdent.
Il y a ensuite une pléthore d'acteurs que j'apprécie beaucoup à commencer par Tobey Maguire, très juste dans son rôle et à mille lieues de celui de Spiderman dans lequel je l'avais découvert. Parmi les seconds rôles, on trouve Jonathan Rhys-Meyer (Joue-là comme Beckham, la série Les Tudors), Simon "The Mentalist" Baker à peine reconnaissable ainsi que la chanteuse Jewel dont il s'agissait du premier rôle au cinéma. Passé le premier tiers qui se résume à une série d'affrontements, le film dérive lentement vers un drame plus inspiré qui s'attarde longuement sur l'aspect historique, la lente prise de conscience de ce qui se passe réellement et de ce que cela implique tout comme les conséquences de leurs actes. spoiler: D'un côté, le jeune allemand qui subit les offenses des autres sudistes et dont la prise de position coûtera la vie à son père et de l'autre le "nègre" qui voue à un "blanc" une loyauté indéfectible allant jusqu'à lutter contre lui-même.
Les moments où ces deux-là apprennent à se connaître, à partager et à comprendre leur situation respective donnent au film toute sa saveur, son style et surtout son rythme afin qu'au final, le spectateur puisse exprimer toute l'émotion et le plaisir qu'il a ressenti en se laissant conter cette histoire. Car c'est bien la force de ce film : nous faire croire à la guerre pour mieux faire ressortir l'humanité des personnages loin de la froideur de l'histoire. Un point de vue qu'Ang Lee s'évertue à travailler que ce soit dans son dernier en date, Hotel Woodstock, où il réussit à parler du plus grand événement musical des la deuxième moitié du 20ème siècle en occultant quasiment la musique ou plus loin de nous dans Raisons et sentiments où les états d'âmes des deux sœurs ne servent en fait de prétexte qu'à dresser un portrait de l'image de la femme à cette époque. Qu'il nous parle de la guerre de Sécession, d'homosexualité ou de combats à l'épée, une seule chose a de l'importance, Ang Lee imprime sa patte à chacun de ses films, une marque de fabrique que seuls les plus grands possèdent.
Quand Ang Lee réalise un western, ça donne une oeuvre un peu trop longue, semblant plus portée sur l'esthétisme que sur son sujet en tant que tel. Du coup, c'est sûr que c'est beau. Il y a par ailleurs de bons passages et si le casting, étonnant, avait de quoi rendre dubitatif, finalement ça rend plutôt bien. En revanche, si au niveau divertissement ça reste correct, on peut se demande : à quoi bon? Ang Lee veut montrer l'horreur de la guerre dans laquelle ces jeunes gens se perdent, mais sa volonté de soigner les plans, les paysages rend le film joli mais ça empêche souvent l'immersion totale. L'ensemble a donc un aspect un peu édulcoré, faible, que l'excellente fin ne rattrape pas.
un western littéraire qui manque d'authenticité...malgré une belle photo...sur le thème,je préfère des films moins consensuels comme "José Wales hors la loi"...
Le passeport pour Hollywood en poche avec le succès international du virevoltant "Tigre et Dragon",le taïwanais Ang Lee s'attaque à un sujet très scolaire et cathartique pour les Américains: la Guerre de Sécession. Mais vue d'un point de vue sudiste,et plus particulièrement des bandes de rebelles,nommées les Bushwhackers. "Chevauchée avec le diable"(2000) se feuillette comme un élégant livre d'images,mais ne captive jamais. La faute à un scénario très précautionneux,qui s'enferme trop rapidement dans le mélodrame,et déballe tous les clichés possibles du genre. Bien sur,Lee sait filmer les grands espaces,qu'ils soient désolés,luxuriants ou enneigées. Son point de vue plus intérieur sur la guerre,l'honneur et les hommes fébriles est interessant. John Ford et Howard Hanks se seraient probablement délectés d'un tel sujet. Seulement,la flamme n'apparaît jamais,que ce soit l'émotion,l'attachement aux personnages(Tobey Maguire,plus pâlot que jamais),ou même les scènes d'assauts,en pilotage automatique. La durée de 140 minutes n'aide en rien.
Si un film ne devait sa valeur qu'à son histoire alors "chevauchée avec le diable" serait un classique car LEE redéfini une oeuvre littéraire réussie, une belle épopée de l'histoire Américaine, des perdants. Excellente imagination pour le personnage de Holt, une bonne idée reprise 10 ans plus tard par TARRANTINO pour "the django unchained". Certains dialogues font mouches comme pour le partage du bacon. Mais un film c'est également du visuel, ce qui pêche ici, à commencer par les décors de mauvaises qualités. Les scènes d'actions sont biens, également les costumes. Aucun acteur n'est épatant, et MAGUIRE en premier.
ça faisait un moment que je voulais voir ce film, un des rares Lee que j'avais pas vu et très déçu du résultat. Le fond (guerre de Sécession) est bon mais la forme pêche un peu, certaines longueurs (accentuée par une histoire d'amour) plombe l'ensemble. Intéressant de voir cette partie de cette guerre sale et de retrouver tant d'acteurs jeunes. Dommage.
TTNOUGAT
Enfin un western réaliste réussi, Ang Lee ne cherche pas à faire du spectacle en montrant la réalité et encore moins en l’accentuant, il met juste une grande application à tenter de restituer au mieux ce qu’il a ressenti de l’ambiance de la guerre de sécession. Ses qualités de cinéaste et son regard extérieur ‘’taïwanais’’ lui ont bien servi. C’est un film édifiant sur ce sujet, sans doute le plus intéressant historiquement de tous ceux que j’ai pu voir. Pour bien en profiter, il faut étudier un minimum cette période effroyable de l’histoire américaine. Par exemple on y voit le sinistre Quantril mais Ang Lee nous laisse le soin de l’identifier. Dans ces conditions, il n’y a aucun héros dans le scénario et aucune star hollywoodienne, les acteurs sont tous excellents et la personnalité de Tobey Maguire se sent déjà. On ne sort pas de là enthousiaste, je n’ai pas aimé ce film, mais il est utile pour tous. La réalité de la guerre civile nous serre la gorge et nous ne pourrons oublier l’attaque de Lawrence, filmée à l’ancienne avec de très nombreux figurants. De même, la scène intime qui voit Sue Lee demander à Jake Roedell s’il est vierge, obtenir un acquiescement et comme réponse: ‘’ j’ai tué 15 hommes’’. Jamais la phrase ‘’Faites l’amour et pas la guerre’ ’n’avait pris une telle force au cinéma.
c esy pas mal surtout la deuxième partie oul l histoire romantique marche bien mais j'ai toujours du mal avec les western s
Un western, plutot réussi dans sa mise en scène et son parti pris, mais qui ne renouvelle pas le genre. 13/20
100% d'accord avec le commentaire d' Henrico, je ne rajouterai donc rien de plus. Je n'écris ces lignes que dans le but de relever la note de ce film qui vaut amplement ce petit effort.
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