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Réfractaire à l'automobile, le cadre bancaire et père de famille modèles Martenot doit pourtant se résoudre, par nécessité, à passer le permis de conduire.
Le film de Jean Girault commence comme une comédie de moeurs traitant de l'automobile comme d'un phénomène de société. C'est une fausse piste cependant car le réalisateur montre vite qu'il n'en a ni l'intention ni les qualités. Aussi, Girault se contente-t-il de broder quelques péripéties comiques, communes ou pesantes selon les cas, autour du personnage de Louis Velle, spoiler: si piètre conducteur qu'il ne parvient pas à décrocher son permis et se trouve obligé de rouler sans l'avoir obtenu.
Girault, lui-même piètre cinéaste, semble vite à l'étroit avec son sujet. On le voit quand il fait de Martinot spoiler: un mari adultère
et que la comédie, à mi-film, tourne au pénible vaudeville, avec ses seconds rôles épais (Jacques Jouanneau en beauf de Martinot, Pierre Tornade son chef de service) et ses situations pour le moins simplistes. On y verra de la candeur ou bien de la puérilité selon qu'on est indulgent ou non.
Le film de Jean Girault commence comme une comédie de moeurs traitant de l'automobile comme d'un phénomène de société. C'est une fausse piste cependant car le réalisateur montre vite qu'il n'en a ni l'intention ni les qualités. Aussi, Girault se contente-t-il de broder quelques péripéties comiques, communes ou pesantes selon les cas, autour du personnage de Louis Velle, spoiler: si piètre conducteur qu'il ne parvient pas à décrocher son permis et se trouve obligé de rouler sans l'avoir obtenu.
Girault, lui-même piètre cinéaste, semble vite à l'étroit avec son sujet. On le voit quand il fait de Martinot spoiler: un mari adultère
et que la comédie, à mi-film, tourne au pénible vaudeville, avec ses seconds rôles épais (Jacques Jouanneau en beauf de Martinot, Pierre Tornade son chef de service) et ses situations pour le moins simplistes. On y verra de la candeur ou bien de la puérilité selon qu'on est indulgent ou non.
O secours ! sous fond de plaisanteries Corse et malgré des acteurs sympathiques, 'l'humour' sur le thème Corse se transforme en festival de blagues carambars. Toutes les 2 mn c'est lourd... cliché au possible. J'ai abandonné au bout de 40 mn
Réponse à Jeanvmy: Paul Préboist n'est pas crédit par erreur, il tient le rôle de l'agent SNCF !
C'est une comédie type années 70. A voir rien que pour les voitures, costumes etc... de l'époque.
Et tous ces acteurs disparus.
On s'amuse tout de même.
C'est une comédie type années 70. A voir rien que pour les voitures, costumes etc... de l'époque.
Et tous ces acteurs disparus.
On s'amuse tout de même.
Excellente surprise que ce film totalement oublié. je l'ai découvert par hasard sur YouTube et c'est vraiment excellent. Tout le charme du cinéma français des années 70 sans les scories de beaucoup d'entre eux. Ici, on a une vraie histoire, un réalisme réjouissant et une interprétation légère mais convaincante. C'est une comédie mais sans gags artificiels. Juste une histoire racontée sur un ton fun et qui parvient surtout à capturer toute une époque dans ce qu'elle avait de plus ordinaire. En prime, autour d'un acteur principal - Louis Velle - aussi bon et charismatique qu'oublié aujourd'hui, une jolie brochette de seconds rôles devenus légendaires : Daniel Prévost, Maurice Biraud, Jacques Legras, Pierre Tornade, Robert Cassel. Je l'ai vu plusieurs fois mais je ne m'en lasse pas, on est happé dès les premières secondes et on se régale jusqu'au bout.
Très sympa petit film de série B, qui fleure bon - en 1973 - une France encore optimiste avec l'essor de la petite bourgeoisie rurbaine. Le scénario est simplissime (
spoiler:
un réfractaire à la bagnole, reine en 1970, doit pourtant passer son permis en urgence)
mais donne lieu à des rebondissements qui font plus sourire que rire. D'aucuns pourront dire que c'est un nanar justement oublié. Je ne suis pas d'accord : il se dégage une légèreté devenue rare et les femmes sont superbes (Pascale Roberts, la première !). Un grand rôle pour Louis Velle qui n'a jamais été un grand acteur, loin s'en faut, mais qui participe de cette nostalgie des années 70... et il y a l'impayable Jacques Legras de la "caméra cachée" de mon enfance !
mais donne lieu à des rebondissements qui font plus sourire que rire. D'aucuns pourront dire que c'est un nanar justement oublié. Je ne suis pas d'accord : il se dégage une légèreté devenue rare et les femmes sont superbes (Pascale Roberts, la première !). Un grand rôle pour Louis Velle qui n'a jamais été un grand acteur, loin s'en faut, mais qui participe de cette nostalgie des années 70... et il y a l'impayable Jacques Legras de la "caméra cachée" de mon enfance !
Vu sans le faire exprès, et sans savoir que c'était de Jean Girault. Ça ne casse pas quatre pattes à un canard. Sympa sans plus...mais j'ai déjà vu mieux. Louis Velle est un très bon comédien et il le prouve dans ce film. À part ça, rien a signaler.
Bon petit film, qui n'a d'autre prétention que d'être une comédie. Et qui pourtant aborde avec humour, sans avoir l'air d'y toucher, des questions qui sont plus que jamais d'actualité : les conducteurs sans permis, l'obligation de se déplacer en voiture quand on habite en province,... Avec une pléiade de très bons acteurs, comme c'était le cas à l"époque : outre Louis Velle, Pascale Roberts, Tornade, Robert Castel, Préboist, Biraud, Legras, Lavalette, Chantal Nobel, et même Claude Chabrol. On passe un bon moment.
Jean Girault, le réalisateur du chef-d'oeuvre Pouic Pouic, est un réalisateur sous-estimé.
Jean Girault, le réalisateur du chef-d'oeuvre Pouic Pouic, est un réalisateur sous-estimé.
Bonne comédie des années 70, on retrouve avec plaisir un vent de liberté et d'insoucience en matière de conduite !!
A noter que l'on y crédite Paul Préboist au casting par erreur, en revanche, Bernard Lavalette est oublié .
A noter que l'on y crédite Paul Préboist au casting par erreur, en revanche, Bernard Lavalette est oublié .
Ce flim le permis de conduire et nul a chier avec un mal de tête en prime dur dur ce filme !!!!!!!!!
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