Note moyenne
2,5
13 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Parisien
Pour son premier « premier rôle » au cinéma, Dieudonné fait merveille en balourd façon Ventura d'origine, doublé d'un candide éberlué façon Bourvil. Ses partenaires lui donnent brillamment la réplique. Ce mini-« Pulp Fiction » à la française, franchement distrayant, mérite le détour.
L'Express
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MCinéma.com
Une fois le postulat de base posé, le scénariste-réalisateur-dialoguiste semble s'être reposé sur le seul talent de ses comédiens, qui ne sont pas à remettre en cause dans le ratage de cette comédie noire.
Première
La faconde d'une brochette d'acteurs bien de chez nous y est pour beaucoup. Dieudonné devient humain, Mouchet martienne, et Wilson reprend du service stylé après Jet Set. L'écriture en solitaire du réalisateur, plutôt auteur que metteur, les limite toutefois.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
A force de sans doute trop regarder les films de Quentin Tarantion, Jean-Paul Lilienfeld a décidé de mélanger lui aussi violence et humour dans son cinéma. Mais comme Jean-Paul Lilienfeld doit être un gentil garçon, il pense à construire une thématique de rédemption autour du personnage de Marchand. Une idée qui tombe complètement à plat (...)
Chronic'art.com
Consternante parodie de film noir (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Dès le départ, Jean-Paul Lilienfeld (...) condamne son film (...). L'anti-« Pulp Fiction », quand le film se voudrait, semble-t-il, son pendant frenchy.
Le Journal du Dimanche
Dialogues pesants, scénario alambiqué et sans originalité, HS se résume à une pâle imitation de Pulp Fiction, la subtilité en moins.
Repérages
(...) une pantalonnade assommante.
Télérama
(...) énième sous-«tarantinade» basiquement dopée aux effets visuels et sonores, où les cinglés de la gâchette répètent sans fin les tics de langage et les postures figées qui leur tiennent lieu d'identité.
Urbuz
(...) du divertissement de masse gâteux, de la vieille France en barres siliconée et relookée façon Taxi.