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Note moyenne
4,1
23 titres de presse
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Chronic'art.com
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Ciné Live
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L'Obs
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Le Point
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Les Inrockuptibles
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Libération
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Positif
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Télérama
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Urbuz
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Fluctuat.net
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L'Express
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Le Figaro Magazine
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Le Journal du Dimanche
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Le Monde
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Le Parisien
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Les Echos
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MCinéma.com
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Première
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Studio Magazine
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Cahiers du Cinéma
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Repérages
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Le Figaro
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Le Figaroscope
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Chronic'art.com
(...) Cédric Kahn parvient à donner au déroulé chronologique des faits et gestes des personnages une épaisseur très troublante.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
A tous, le personnage échappe, seul le film le capte, moments de vie, scènes d'action filmées avec une efficacité extrême (...), fragments d'une existence qui se consume. Parce que cela, seul le cinéma peut le faire, il a même été inventé pour ça.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) polar clinique chargé de suspens mais exempt de surplomb moralisateur. Un film superbe.
Libération
Le film, impressionnant de rigueur, d'équilibre et de maîtrise, tire sa puissance de ce perpétuel changement de vitesse.
Positif
Cinéaste racé, Kahn nous livre une étude béhavioriste, sans la moindre graisse, d'un tueur pathologique (...)
Télérama
Ce n'est ni un thriller ni la reconstitution d'un fait divers, encore moins le portrait d'un serial killer. C'est un grand film sur l'opacité.
Urbuz
Sans doute Roberto Succo est il l'un des rares (le seul ?) films d'action de la modernité, en ce sens qu'il fusionne l'absurdité moderne avec la trivialité du cinéma américain. Ce qui en fait un objet véritablement étrange.
Fluctuat.net
R. Succo n'est pas une figure de la contestation, Cédric Kahn l'a ainsi compris. Il n'y a pas de la part du cinéaste de fascination pour ce tueur. Seulement une tentative de toucher la mort elle-même, d'aller au plus près possible de la folie, de toucher l'intouchable.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
C'est le mérite de Cédric Kahn de s'être privé de toute tentative romantique, au seul service des faits, terrifiants dans leur déroulement.
Le Journal du Dimanche
(...) Cédric Kahn n'a pas choisi la facilité. Il a su éviter le piège qui aurait consisté à transformer Succo en héros (...). Sans verser non plus dans le documentaire, le cinéaste est resté le plus possible fidèle aux faits (...)
Le Monde
"Roberto Succo" pose une question simple : que peut-on montrer ? Il propose des réponses dérangeantes.
Le Parisien
C'est un film d'une maîtrise totale qui ricoche d'une prise d'otage à une autre, et dans lequel la jeune Isild Le Besco, valeur montante du cinéma français, trouve un vrai beau rôle.
Les Echos
Roberto Succo a existé, nous l'avons rencontré. Nous n'en sommes pas heureux. Mais son biographe en images, Cedric Kahn (...), est à l'évidence un vrai cinéaste
MCinéma.com
(...) le portrait d'un homme a priori ordinaire. Pourtant, en toute innocence, c'est un monstre. Mais le réalisateur ne le juge pas, ne le condamne pas, et constate avec un certain désespoir son vide existentiel, sa fragilité (...)
Première
Enfin, un beau crime français ! Sans explications ni effets de manche, sans exhibitionnisme, le film tourné en scope suscite une peur hypnotique (...). Pour citer Hemingway, ce fut un merveilleux cauchemar.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
C'est (...) ce qu'on reprochera le plus volontiers à Cédric Kahn : de se coltiner au genre moins pour le modifier à sa façon, y apposer sa marque (...), que pour se laisser marquer par lui, afin de prouver que le cinéma (...), il sait faire
Repérages
Cette plongée dans l'esprit confus du tueur évite les artifices du thriller à l'hollywoodienne (...). Le procédé (...) est dirigé par un mouvement perpétuel dont on se demande, au fur et à mesure, la finalité.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) le film est une longue succession, sans ordre, d'agressions, de meurtres, de cadavres découverts (...). Certes le propos du cinéaste est clair : il cherche à déranger. Mais ce parti pris à son revers : il s'appelle l'ennui.